Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
chrischambers86
14 034 abonnés
12 481 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 23 octobre 2010
Suite des aventures du gènial pirate Jack Sparrow avec un troisième volet assez decevant,beaucoup trop long et finalement ennuyeux!Le film alterne le bon comme cette bataille navale vertigineuse,disputée au canon à boulets ramés entre le Hollandais volant et la Black Pearl sur les parois liquides d’un cataclysmique maelström et le grotesque comme le retournement spatio-temporel de la galère de Jack Sparrow lui-même démultiplié, façon trip hallucinogène!Avec un budget de 300 millions de dollars Gore Verbinski et Disney Pictures ont simplement oublié l'essentiel dans ce film: la simplicité et l'humour kitsch qui était présent dans le premier opus "Pirates des caraibes"! Dommage de cloturer une trilogie si bien commencèe de cette manière là...
C'est finalement une belle conclusion que celle de cette triolgie de Pirates des Caraïbes. Même si on pourra regretter quelques aspects plutot ridicules (le trip de Johnny Depp sur fond blanc fait peine à voir) et quelques longuers par ci par là, c'est tout de même une très belle aventure que l'on vit pendant près de trois heures, avec des effets visuels plutot saisissants, et un humour un peu moins présent, ce qui n'est pas pour me déplaire par rapport au deuxième opus. De plus, les acteurs sont dans l'ensemble meilleurs que dans Le Secret du coffremaudit, sans doute du à un Orlando Bloom plus inspiré qu'à l'habitude, et un Geoffrey Rush en très grande forme. De plus, les personnages ont pris de l'épaisseur, et on n'oubliera pas la parodie de western spaghetti, et encore moins la magnifique bataille finale, remarquablement maitrisée et techniquement superbe. Enfin, la fin est assez émouvante, et c'est assez emballé que l'on sort de ce divertissement haut de gamme et extrêmement plaisant.
Rare sont les franchises, qui, dans l'histoire du cinéma Hollywoodien auront su laisser leurs empreintes et marquer les esprits. Seuls quelques chefs d'oeuvres tels que la saga Indiana Jones (1981/1984/1989) ou Le Parrain (1972/1975/1991) y étaient parvenues. Une chose est sûr, en sortant de la projection, Pirates Of The Caribbean 3 en fait bel et bien partie. Il rejoint donc au Panthéon les quelques trilogies (ou hexalogies, comme Star Wars), qui auront su au fil des années, garder leurs charmes, leurs magies et leurs intensités. Après le premier volet : La malédiction du Black Pearl (2003), puis le second : Le secret du coffre maudit (2006), on retrouve nos chers flibustiers, dix mois après, pour un ultime épisode, clôturant ainsi avec brio et beaucoup de réussite, une suite & fin qui allie tout au long du film, de l'humour, des scènes d'actions renversantes et surtout, des effets-spéciaux remarquables ! On retrouve une fois de plus, une distribution qui vaut le détour, avec comme toujours Johnny Depp, Keira Knightley, Orlando Bloom & Geoffrey Rush, ajouter à ce casting, des nouveaux venus, comme Chow Yun-Fat & Keith Richards. Un nouvel opus booster par de l'adrénaline et une bonne dose de dérision, mais reprenant vite son sérieux aux travers des indénombrables et gigantesques scènes d'actions à vous en couper le souffle ! Porté à l'écran depuis le début de l'aventure par Gore Verbinski et produit par Jerry Bruckheimer, tous deux auront réussi le pari, celui de transposer à l'écran une attraction Walt Disney, mais surtout, une formidable aventure de pirates à voir en famille ! ! Si le réalisateur ne se sent pas d'attaque pour poursuivre l'aventure, Walt Disney Pictures a quant à lui, d'ors et déjà annoncé que Jack Sparrow ne s'arrêterait pas en si bon chemin, alors affaire à suivre (aux alentours de 2009/2010) !
Arf... L'épisode de trop. D'un côté je me dis que, pourtant, rien n'est vraiment moins bon dans cet épisode que dans les précédents. Le seul souci c'est qu'un élément de taille est à prendre en compte : la lassitude. Bah oui... Au bout du troisième épisode l'univers et les ficelles scénaristiques sont connus. S'il n'y a pas un véritable effort créatif de réinvention, ça s'essouffle. Or, c'est clairement ce que j'ai ressenti. Ce "Jusqu'au bout du monde" essaye de réutiliser tous ses personnages et toutes ses bons points accumulés lors des films précédents mais ce n'est pour moi pas suffisant. Cela beaucoup trop : on reprend les mêmes et on recommence, ce qui est dommage, car d'un côté je trouve que ça rend le personnage de Johnny Depp de plus en plus agaçant, et de l'autre cela contribue à dévoiler l'incroyable transparence d'Orlando Bloom et de Keira Knightley... Dommage... La corde a été trop usée matelos...
Une grande fin pour une très bonne trilogie... Le lien entre Calypso et Davy Jones est très bien faite, le scénario a bien ficelé tous ces noeuds, pas facile et bien fait. Quelques petites longueurs par ci par là (surtout au début), et on sent que Johnny Depp est moins dedans que dans les deux premiers volets. Dommage que Chow Yun-Fat n'est eu qu'un aussi petit rôle... J'espèer que la fin n'est pas un prélude à d'autres suites, une trilogie est toujours risqué mais là cela deviendrait suicidaire. Vivement le cofret DVD.
L'épisode de trop. Déjà que la série était moyenne, là ça devient n'importe quoi. A sauver l'introduction extrêmement dramatique, complétement déconnecté du ton je-m'en-foutiste du reste de la réalisation.
Bô mon bateauuu. Evitant de verser dans le festival de cabrioles made in Johnny Depp sur lequel vogauit Le secret du coffre maudit, Gore Verbinski reprend la barre avec un meilleur sens de l'équité pour ses personnages. En bout de course, Elizabeth s'impose, battante, en reine des septs mers. L'impréssionnant Sao Feng fait froid dans le dos. Davy Jones retrouve son amour maudit... Tous auront droit à leur part de lumière dans un écrin visuel parfois étourdissant de beauté. Seul hic, la complexité des intrigues secondaires rend Jusqu'au bout du monde trop bavard. Pourtant, de la puissance inaugurale du chant de centaines de pirates menés à la corde à la bataille navale finale du Black Pearl contre le Hollandais Volant dans un tourbillon gigantesque, Pirates des Caraibes 3 navigue sous un vent épique, de la poupe à la proue, pour nous laisser sous le coup d'un grand spectacle à l'âme vibrante de liberté.
Bof, franchement, ce film commence assez bien et le niveau baisse à l'apparition de Depp (ce qui est un comble), mais ils y a quelques scènes sympathiques, mais globalement le film est trop lent, des scènes très longues, un film trop long. Keith Richard, ne sert pas à grand chose, enfin, la fin est pas conforme à ce qu'on aurait pu prédire, un bon point donc… sinon le principal attrait du film à savoir Depp n'est pas assez présent, et il n'y a plus autant de boutades que lors du premier épisode. Un syndrome à la matrix qui est bien dommage, alors que le premier volet était génial…
Une très bonne conclusion à une trilogie remarquable de cohérence et ludique à souhait."Pirates des Caraïbes-Jusqu'aù bout du monde" tire sur la fibre fantastique,avec la déesse Calypso,l'autre monde ou l'histoire du coeur emprisonné.A vouloir tout inclure,personnages secondaires comme révélations fracassantes,le film semble d'accès difficile,impossible même si l'on n'a pas vu le reste de la saga.2h45,c'est également trop long,avec une première heure molle du genou.Mais après,on entre dans l'émerveillement imaginé.Les scénaristes lâchent la bride et inventent des tornades au milieu de l'océan,des navires se rouant de coups de canon et les 9 seigneurs de la piraterie.Car le thème principal ici est celui de la liberté,ce qui fait qu'on admire tant les pirates lorsque l'on est enfant.Et à ce titre,la Compagnie anglaise des Indes est un rude adversaire,à la soif de modernité,presque totalitariste.Jack Sparrow,dans son numéro savoureux,laisse cette fois la vedette à Elizabeth,consacrée capitaine et reine des pirates;à Will qui retourne sa veste plusieurs fois ou à Lord Beckett,gringalet détestable.Une épopée dingue,follement énergique,riches en trahisons et légendes.Une attraction en forme de grand huit,que l'on reverra encore et encore sans se lasser.De la détente de luxe.
Après deux épisodes ma foi bien convaincant, voire même excellent pour le premier film, ce troisième épisode, qui est aussi la suite directe du deuxième, est une déception. C’est un grand barnum très foutraque. Le film est clairement trop long, et trop fouillis. C’est une sorte de condensé de pleins d’histoire différentes, cumulant les ellipses, les raccourcis, les digressions, et finissant par devenir insipide. Il y a beaucoup trop de personnages principaux et d’enjeux pour que l’on s’attache aux péripéties des uns, et à peine les péripéties de l’un s’achèvent que débutent celle de l’autre, puis encore d’un autre, et parfois on laisse en plan un héros trente minutes avant de revenir à lui. Le rythme en souffre, même si le métrage essaye d’entretenir la nervosité avec des scènes d’action et de l’exotisme, et surtout sur 2 heures 40 environ ça devient pesant, lourd. D’autant qu’il y a aussi des remplissages inutiles (les deux soldats bavards du premier film) et de vrais ratages à force de grotesque (les séquences de Depp avec ses doubles frôlent l’insupportable). Formellement Jusqu’au bout du monde retrouve la recette de ses prédécesseurs. Gros effets spéciaux, décors superbes, photographie ultra-léchée, le film est un spectacle hautement réussi, même s’il y a des redondances évidentes avec les deux précédents films, et même si finalement ça manque un peu de créature. Le kraken du 2 était un grand moment, il manque une équivalence dans cet épisode. Mais bon, ça reste du très bon boulot, avec une mise en scène toujours signée par un Gore Verbinski au top, qui force un poil le trait ici. Le final de l’Endeavour est de ceux-là, on dirait presque un clip ! La bande son est excellente, mais elle ne surprendra pas, puisque c’est la même que dans les autres épisodes de la saga. Enfin, le casting condense surtout des anciens. Malgré la présence du petit nouveau Chow-Yun-Fat, le principal nouvel acteur du film, les têtes sont quasiment toutes connues. Le plaisir vient ici de revoir un Geoffrey Rush toujours aussi excellent dans la peau de Barbossa. Il vole volontiers la vedette à un Depp un peu en retrait et surtout qui hérite de scènes parfois ridicules. L’acteur se débrouille, mais apparait moins et les scènes « trip hallucinogène » sont de trop. Boom et Knightley sont dans des positions plus dramatiques, voire tragiques que dans les deux films antérieurs. Cela déconcertera peut-être un peu, mais je dois dire que ça donne davantage de relief à leurs rôles, qui sont un peu au cœur du film ici. Je ne vais pas m’étendre davantage sur Jusqu’au bout du monde, épisode faible de la saga, même s’il n’est pas le plus faible en vérité. Très fouillis, tirant inutilement en longueur en démultipliant les sous-intrigues et les séquences visuelles gratuites, il pourra ennuyer. Reste que le spectacle est visuellement convaincant et l’interprétation ludique et solide. La recette semble néanmoins s’épuiser, s’étouffant de grandiloquence. 2.5
Tourné à la suite du "Secret du coffre maudit", ce "Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde" vient clore une trilogie (continuée depuis avec beaucoup moins de réussite) tout à fait spectaculaire, renaissance du mythe du pirate sur grand écran grâce à une histoire complexe et ambitieuse, entièrement vouée au divertissement total. Gore Verbinski et ses compères scénaristes ont créé un univers singulier et particulièrement original où les pirates côtoient le fantastique sans sourciller et dans lequel on retrouve chez le réalisateur un sens du spectacle réjouissant et enfantin que Spielberg ne renierait certainement pas. Largement attendu après la fin ouverte du second film, ce troisième opus tient toutes ses promesses. On y retrouve certainement les petits défauts de la saga, plus préoccupée par le spectacle que par son scénario, tournant parfois au désavantage de ses personnages (Will Turner, pas tout à fait inintéressant mais vraiment fade dans l'interprétation qu'en fait Orlando Bloom) mais il faut bien reconnaître qu'on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer devant la multiplication des intrigues, des retournements de situation, du soin apporté à l'univers et devant les scènes d'action. Qui dit dernier volet de la trilogie dit d'ailleurs grand morceau de bravoure et à ce niveau-là, on sera également gâtés avec une scène d'action final aussi impressionnante que remplie d'enjeux. Rempilant dans le rôle de l'irrésistible Jack Sparrow, Johnny Depp cabotine de plus en plus sans pour autant vampiriser l'écran tandis que Geoffrey Rush semble réellement ravi d'être de nouveau de l'aventure. Keira Knightley n'est pas en reste, s'affirmant de plus en plus. Et puis il y a Davy Jones, campé par un méconnaissable Bill Nighy, méchant visuellement audacieux et inoubliable. Que du plaisir donc devant "Pirates des Caraïbes", parfois coupable il est vrai mais il serait dommage de bouder un tel divertissement, certainement plus gonflé et plus inventif que la plupart des blockbusters actuels.
On a beau dire : que c'est uniquement commercial et pour faire de l'argent (plus d'un milliard de $ de recettes pour le 2è opus), que c'est la plus rentable des attractions Disney, on peut critiquer, mais le constat est là : voilà du grand divertissement. Après la surprise du premier volet, la déception du deuxième (simple remake du premier avec plus de moyens), ce troisième film était attendu au tournant. Excellente surprise ! C'est le meilleur de trois. Un souffle épique souffle bien plus puissant que dans ses prédécesseurs. De plus l'humour est plus fin et le romantisme est plus présent. Interprétation solide du casting habituel. Johnny Deep, moins présent que dans Le secret du coffre maudit, est aussi plus convaincant, avec un jeu moins maniéré et plus calme, et c'est tout aussi bien. Très belle performance de Geoffrey Rush et Chow Yun-fat nouveau venu dans le casting. Techniquement le film est parfait. La mise en scène est musclée et percutante, avec des scènes de batailles navales époustouflantes. Les décors, costumes et maquillages sont impressionnants. Les effets spéciaux sont de nouveau de très haute facture et sont vraiment très réussis. La photo est superbe, les images sont de toutes beautés. Un grand film d'aventures épiques, magnifiquement mis en scène. Un grand spectacle de 2h48 bourré d'humour et de romanesque, qui passe comme un éclair. Une belle réussite.
D'excellentes idées, une fois encore, pour ce troisième volet. Une très grande aventure, très bien réalisée et bourrée d'action, d'humour et de légendes. J'ai beaucoup aimé les crabes et le bateau à l'envers.
Je viens de le revoir et j'ai un peu de mal avec ce 3 ème épisode ! Je préfère de loin le premier. Une bonne mise en scène, un casting impliqué, une photographie toujours aussi agréable... mais ce long-métrage possède celons moi trop de longueurs, le spectateur est moins impliqué. Une petite déception !
Alors que le Secret du Coffre Maudit se voulait avoir une approche plus fantastique de l'univers de Pirates des Caraïbes, ce nouvel opus préfère se concentrer sur les créatures merveilleuses et se tourne plus vers Jack Sparrow, que l'on découvre encore plus barge et original que par le passé. Ses doubles sont étranges et se comptent la plupart du temps par deux. C'est quand on aperçoit Depp qui commande une armée de Johnny pour naviguer le Pearl que l'on découvre l'entière bizarrerie qui résume ce métrage. D'autres éléments sont surprenants, comme les membres d'équipage transformés en animaux de mer, déja aperçus dans le volet précédent . Du côté des effets-spéciaux, c'est un sans faute; rarement on n'aura vu pareilles batailles navales aussi spectaculaires et techniquement irréprochables. Et grâce à la mise en scène de Gore Verbinski, ce film atteint un niveau d'excellence bien rare dans les blockbusters d'aujourd'hui, en plus de posséder une durée des plus honorables.