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fandecaoch
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5,0
Publiée le 17 juillet 2014
Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde : Suite et fin de cette magnifique trilogie qui ne cesse de nos en mettre plein la vue. Ça c’est de l’aventure et ils ont garder le meilleur pour la fin. Car les enjeux sont plus important : c’est la bataille final et donc le film est plus mature. Et pas on ne décroché pas : c’est captivant et prenant du début jusqu'à la fin. Avec une aventure palpitant pour un final des plus grandioses et épique. Car l’aventure en au rendez vous, avec de l’action pour une combat final qui est spectaculaire ou on a le souffle coupé. Appuyer par la réalisation qui s’améliore d’épisode en épisode. Car coté réalisation : c’est toujours aussi travaille et soignée avec des décors et paysages somptueux. Mais le point qui évolue encore, c’est les effets spéciaux qui sont monstrueux. Et pour revenir au scénario: on a donc toujours droit a de l’action, de l’humour qui fait le charme de la série : de l’humour toujours aussi fin lors des scènes un peu décalé et ça marche toujours aussi bien. Mais surtout, l’humour vient toujours de notre bon vieux Capitaine Jack Sparrow qui est dans cet épisode plus déjanté que jamais : la, il atteint les sommets de son humour, pour notre plus grand plaisir. Ensuite, on retrouve l’histoire du film la ou on l’avait laissé dans le deux : cette fois ci, ils doivent libérer ce pauvre Jack Sparrow qui est spoiler: «mort » dans les eaux profondes du bout du monde. Pour pouvoir affronter un ultime combat sans merci. Donc voila, un scénario captivant avec pas de scènes, dialogues inutiles. Peut être que il y a deux, trois rebondissement qui se répète mais bon : excellent aventure qui se termine en beauté. Ensuite, coté casting, on ne change pas une équipe qui gagne : on retrouve tout le monde avec grand plaisir : Johnny Depp, Orlando Bloom, Keira Knightley, Geoffrey Rush… avec un nouveau sur le pont : Chow Yun-Fat. Enfin, ils sont tous très convaincant : bravo a eux. Et pour finir comme d’habitude : les musiques sont toujours aussi mémorable, surtout le thème principale de Hans Zimmer que je ne cesse d’adoré car il a un souffle aventure/épique que j’adore. Voila, une trilogie qui se fini en apothéose. Moi, j’ai vraiment adoré et passé un excellent moment devant cette épisode ou j'ai une petite préférence. Du grand divertissement cette trilogie. Et comme disait ce plaisant Jack Sparrow : traquons mes jolies, OhOh !!!
A première vue, la déception est présente pour les adorateurs des deux premiers films. Gore Verbinski signe sans doute le film le plus allumé de la saga à tel point que le spectateur lui-même s'y perd. Le côté humour un peu délaissé par un scénario qui commence à prendre son histoire un peu trop au premier degré (et des évènements beaucoup plus sombres que ce qui se faisait auparavant), et qui pourtant ne lésine pas sur les trahisons tordues et l'empilage de scènes wtfesques (Le sauvetage de Jack par des crabes, la libération chaotique d'une déesse aquatique) qui nous font parfois nous demander à qui était destiné le film. Parce qu'autrement on garde l'essence des précédents, et ce même si le film a perdu en action et gagné en longueur ; ainsi on est tout de même moins distrait qu'on l'était autrefois. La bande son accompagne malgré tout admirablement une poignée de scènes au souffle intense (contre quelques scènes foireuses telles que le discours chevaleresque d'Elizabeth Swan devant une troupe de pirates apeurés). Le film peut être ravi de compter de nouveau le personnage de Barbossa à son bord ... du reste, rien n'a changé : Les bad guys sont bons, Depp est inlassablement brillant, et le couple de la saga un peu chiant. Au final, un film qui se place loin des espérances : Beaucoup moins trépignant que son prédécesseur, mais beaucoup plus perché, à se demander qui était le dealer de Gore Verbinski à cette époque. Le blockbuster peut être salué comme une fin de trilogie presque réussie, mais n'est à conseiller qu'aux amateurs de Pirates des Caraïbes et pas à ceux qui se sentaient déjà un peu perdus au 2e volet. En tout cas, ça a pour moi un léger gout de reviens-y, contrairement au suivant film qui est d'une platitude blasante.
Une très bonne conclusion à une trilogie remarquable de cohérence et ludique à souhait."Pirates des Caraïbes-Jusqu'aù bout du monde" tire sur la fibre fantastique,avec la déesse Calypso,l'autre monde ou l'histoire du coeur emprisonné.A vouloir tout inclure,personnages secondaires comme révélations fracassantes,le film semble d'accès difficile,impossible même si l'on n'a pas vu le reste de la saga.2h45,c'est également trop long,avec une première heure molle du genou.Mais après,on entre dans l'émerveillement imaginé.Les scénaristes lâchent la bride et inventent des tornades au milieu de l'océan,des navires se rouant de coups de canon et les 9 seigneurs de la piraterie.Car le thème principal ici est celui de la liberté,ce qui fait qu'on admire tant les pirates lorsque l'on est enfant.Et à ce titre,la Compagnie anglaise des Indes est un rude adversaire,à la soif de modernité,presque totalitariste.Jack Sparrow,dans son numéro savoureux,laisse cette fois la vedette à Elizabeth,consacrée capitaine et reine des pirates;à Will qui retourne sa veste plusieurs fois ou à Lord Beckett,gringalet détestable.Une épopée dingue,follement énergique,riches en trahisons et légendes.Une attraction en forme de grand huit,que l'on reverra encore et encore sans se lasser.De la détente de luxe.
Johnny Depp retrouve pour la troisième fois le personnage du capitaine Jack Sparrow dans ce nouvel opus réussi avec toujours de très bons effets spéciaux.
Le premier opus de la saga "Pirates des Caraïbes" fut un gros succès surprise, rapportant plus de 600 millions de dollars au box-office mondial. Un score largement dépassé par le deuxième qui atteint la barre symbolique du milliard de dollars de recettes. Pour sa suite directe (les volets 2 et 3 formant une seule et même histoire), les studios sont donc quasiment assurés du succès. Un budget de 300 millions de dollars est mis à la disposition de l'équipe du film pour clore en beauté cette trilogie. Et même si ce troisième opus n'atteint pas le score du deuxième, il rapporte tout de même environ 960 millions de dollars à travers le monde. "Jusqu'au bout du monde" est la digne suite du "Secret du coffre maudit". On y retrouve certains défauts comme certaines qualités. Parmi les défauts, il y a notamment cette grande part de dialogues et de complots entre les personnages. Tout le monde manigance contre tout le monde, des alliances, parfois éphémères, se forment et cela peut venir perturber le public qui peut s'y perdre. Même si Ted Elliot et Terry Rossio ont prouvé qu'ils étaient deux très bons scénaristes, ils ne parviennent pas à éviter ce problème, une deuxième fois de suite. De plus, on peut leur reprocher l'écriture de la partie où Jack Sparrow est dans l'autre monde et, par extension, toutes les scènes où Jack parle à ses hallucinations. Cette idée d'ajouter de la folie au personnage n'était pas utile et surtout, ces scènes manquent d'intérêt. Elle ont clairement une visée humoristique mais cela ne prend pas, et font plus trainer en longueur le récit qu'autre chose. Le problème repose surtout sur le fait que durant les 2H50 de film, contrairement au deuxième volet de la saga, celui-ci n'a pas de grandes scènes d'action (comme celle avec la roue du moulin) pour booster un peu le rythme. Par conséquent, on peut percevoir quelques longueurs dans le récit. Mais cela est en réalité dû au fait que le film se réservait pour nous préparer une séquence finale dantesque. Gore Verbinski, qui est maintenant habitué à ce genre de scènes, est visiblement très à l'aise et nous filme un affrontement très spectaculaire. Avec de superbes effets spéciaux, et le côté fun habituel de cette saga, ce troisième volet donne tout ce qu'il a dans cette ultime bataille pour nous offrir un show extraordinaire. Enfin, on ne peut pas parler d'un film "Pirates des Caraïbes" sans mentionner la bande originale. Hans Zimmer est évidemment de retour à la baguette, pour le plus grand plaisir de nos oreilles. Il reprend les principaux thèmes, toujours aussi géniaux, tout en ajoutant de nouvelles partitions. Cependant, ces dernières ne sont pas aussi marquantes que celles des précédents opus, mais la bande originale reste néanmoins très bonne. Quant au casting, il n'y a rien de vraiment nouveau. Les acteurs connaissent leur rôle et le jouent bien. Johnny Depp, malgré les hallucinations de son personnage, reste encore excellent en capitaine pirate, tout comme Geoffrey Rush. "Jusqu'au bout du monde" est peut-être finalement un peu inférieur aux deux précédents opus, mais il garde toute la saveur d'un bon film "Pirates des Caraïbes". Et ce ne sont pas les quelques baisses de rythme qui vont venir gâcher un tel divertissement, époustouflant et fun, accompagné d'une super musique.
At World’s End est un déchaînement de tous les éléments, climatiques – désert irradié par le soleil, tempête nautique, navires incendiés –, narratifs et tonals en ce qu’il mêle allégrement l’aventure et l’action, l’humour et l’horreur dans ce qu’elle peut avoir de plus viscérale et romantique. Il y a même de la comédie musicale, en ouverture et lors des figures exécutées collectivement – pensons aux mouvements de l’équipage pour retourner le Black Pearl. Gore Verbinski signe une œuvre somme qui offre une époustouflante conclusion à sa trilogie tout en en proposant une relecture audacieuse. Car il est moins question d’exotisme, thème du précédent opus, que de diplomatie entre pirates véreux une main sur le code, l’autre à portée de flingue : la première partie est une longue discussion à Singapour et se doublera d’autres sessions de négociations, pourparlers en tout genre, marchandage de vies humaines ou surhumaines, qui confère à l’ensemble une densité fort appréciable. De telles séquences verbales ont plusieurs effets sur lesquels il convient d’insister : elles retardent les batailles, ce qui accroît leur dimension épique ; elles complexifient les relations entre des personnages inconnus, connus mais mal connus en raison de leur opacité intérieure. Chacun, protagoniste comme antagoniste, est à la fois une araignée soucieuse de dévorer son entourage et une proie prise dans différentes toiles ; Verbinski croit en la force du dilemme et rejoue, derrière la couardise savoureuse de Jack Sparrow, l’écartèlement des grands héros tragiques. Son film apparaît peu à peu comme une tragédie à part entière, tragicomédie pour gagner en exactitude : les enjeux internationaux et intimes s’emmêlent afin d’incarner à l’écran, par la confusion des motivations personnelles et des caractères qui s’affrontent, l’origine de toute guerre, un cœur brisé. Le regard de Davy Jones lorsqu’il écoute la berceuse de Calypso suffit à dire la souffrance et la solitude d’êtres destinés à se manquer, à se blesser, à éprouver leur douleur en faisant souffrir autrui. Aussi l’ultime affrontement refuse-t-il le manichéisme pour redistribuer l’humanité à tous ses personnages, donnant à chacun l’occasion du sublime. Nous assistons, devant At World’s End, à la fin d’un monde et d’un art du blockbuster qui non seulement recourt au numérique de façon époustouflante – les effets spéciaux nous engloutissent, là où ceux des productions actuelles nous assomment – mais croit surtout en ses personnages et aux histoires qu’ils vivent et racontent. Gore Verbinski est un conteur hors pair qui sait articuler premier et second degré, un metteur en scène de génie qui touche ici à la perfection de son geste. Trois heures de beauté tourmentée pour une traversée aux confins du monde qui nous ouvre un horizon de fictions et de possibles.
Dans ce troisième volet il ne reste plus rien du charme présent dans le premier épisode des aventures de Jack Sparrow. La recette semble la même,pourtant les scénaristes cherche tellement à refaire ce qu'ils ont deja fait,qu'ils ne réussissent à faire qu'un navet sans aucun gout. Le résultat est simplement insupportable de crétinerie.
Un très bon 3ème volet des fabuleuses épopées du capitaine Jack Sparrow qui reste fantastique ! L’histoire est toujours aussi convaincante et l’univers des pirates est encore très plaisant ! Johnny Depp nous montre une nouvelle fois son talent et il reste absolument génial dans son rôle toujours aussi extravagant ! Orlando Bloom et Keira Knightley sont encore très convaincants et Bill Nighy est une nouvelle fois satisfaisant dans la peau du terrifiant Davy Jones et reste surtout toujours aussi bien élaboré ! Geoffrey Rush qui incarne le redoutable capitaine Barbossa fait un grand retour très sympathique et il est encore très convenable ! Tous les autres acteurs sont une nouvelle fois très corrects et l’équipage du terrible Davy Jones reste acceptable et toujours aussi bien fait ! Les images sont encore très bonnes et les effets spéciaux sont une nouvelle fois très bien réalisés ! Les décors restent super et les paysages sont toujours aussi agréables. Les lieux rencontrés sont encore formidables et une nouvelle fois vraiment très bien conçus, le contexte de l'époque avec la piraterie reste très bien reproduit ! Les costumes sont toujours aussi fabuleux et Johnny Depp est encore très bien maquillé comme d'autres acteurs ! Les objets et équipements sont une nouvelle fois très efficaces, les armes restent très bien faites et les bateaux sont toujours aussi superbes ! L'ambiance est encore très plaisante et les clins d'œil à la célèbre attraction Disney sont une nouvelle fois très cool. Les musiques restent très bien composées avec toujours la cultissime "He's a Pirate" qui est encore très entraînante ! Les petites pointes d'humour sont une nouvelle fois très amusantes et les répliques restent très bien ! Les scènes d’action et les cascades sont toujours aussi spectaculaires comme pour le début à Singapour ainsi que la sublime bataille finale qui est juste épique ! Il y a un peu d'émotion et les rebondissements sont encore intéressants, l'aventure nous emporte une nouvelle fois très vite ! Un 3ème opus donc très réussi où l’on découvre enfin le final du récit captivant, entamé dans le précédent film ! On apprend une révélation assez surprenante sur le personnage mystérieux de Tia Dalma et l’ensemble reste très rythmé avec un casting toujours aussi performant dans un environnement encore très bien créé à l'esthétisme une nouvelle fois très soigné !
Véritable orgie spectaculairement réussie, "Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde" est le troisième et dernier opus de la saga homonyme réalisé par Gore Verbinski ("The Lone Ranger").
Aussi grandiose que le précédent film, ce divertissement nous entraîne de mers en mers pour sauver le capitaine Jack Sparrow. L'histoire tient la route du début à la fin durant toute la durée des 2h50. Cependant, lors de cette longue épopée des longueurs peuvent se faire ressentir. Le rythme est certes prenant et poignant grâce à la très bonne mise en scène du réalisateur mais le film est long et on le perçoit bien. Tous les personnages s'affrontent entre eux et créent par conséquence des intrigues grandiloquentes et absurdes.
Gore Verbinski nous offre des séquences épiques par leur visuel bluffant et la réalisation énergique. Le metteur en scène multiplie les scènes de combats, jusqu'à atteindre le paroxysme de ce qu'a ce blockbuster a à nous montrer ! Le bataille finale dans le maelstrom est l'une des plus belles, spectaculaires et ahurissantes que j'ai pu voir ! Les plans, à la photographie superbe et dans des décors somptueux, sont accompagnés par des effets spéciaux tout aussi bons, et des maquillages splendides. Les hommes-poissons sont très convaincants, et mieux exploités. Tout comme les autres protagonistes d'ailleurs. Chacun se constitue son armée et la met en valeur jusqu'à l'affrontement cité.
Le casting de la saga reprend forme avec des acteurs toujours aussi crédibles dans leurs rôles bien écrits. Johnny Depp ("Public Enemies") n'a plus rien à prouver, Geoffrey Rush ("Green Lantern") et Bill Nighy ("Indian Palace") non plus. Ce dernier devient attachant par la présence d'émotions dans le long-métrage. La joie et la tristesse nous empare dans cette aventure avec de parfaits enchainements scénaristiques. Stellan Skarsgard ("Nymph()maniac"), Kevin McNally ("Turn"), Keira Knightley ("A Dangerous Method") et Orlando Bloom ("Le Hobbit") sont quant à eux tout aussi convaincants et accueillent Chow Yun-Fat ("Confucius") au sein de leur compagnie. L'humour est présent et fonctionne bien, les gags sont burlesques par les comiques de situations et de gestes ; la dynamique du film est convenablement amenée et retranscrite à l'écran. L'ambiance brumeuse et explosive est superbe et ne nous fait pas décrocher grâce à toutes ces qualités écrites. Les enjeux sont grands et bien abordés par les scénaristes, et l'aspect fantastique et monstre des mers bien plus présenté.
La BO de Hans Zimmer ("Inception") est quant à elle très bonne et sublimine les scènes mouvementées avec des morceaux très bien composés. L'ensemble de ce qu'a la production à nous présenter tient parfaitement ses promesses et signe une conclusion grandiose à l'une des franchises les plus rentables en terme de divertissements.
Ce troisième opus de la saga est mon film préféré des 5 films de la franchise Pirates des Caraïbes et le meilleur selon moi. Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde nous propose tout ce qu'on aime voir dans les films, du grand spectacle, de l'émotion, de l'aventure, mais aussi proposer une assez longue durée pour bien conclure cette trilogie mais aussi introduire deux trois petits éléments pour la suite la carte de Sao Feng menant à la Fontaine de Jouvence qui mène les héros jusqu'à l'antre de Davy Jones mais je reparlerai de ceci dans ma prochaine critique sur Pirates des Caraïbes 4 La Fontaine de Jouvence. On peut tout de même dire que c'est la parfaite durée pour un troisième film qui en plus peut chercher à aboutir encore plus fort que ses deux prédécesseurs. C'est vraiment le Pirates des Caraïbes le plus épique selon moi, cette bataille finale oh mooooooooon dieu !!! Ça restera la meilleure bataille navale du cinéma que j'ai vu ! C'est dans ce troisième opus que Gore Verbinski poffinera encore plus sa patte dans la réalisation, c'est vraiment la meilleure esthétique parmi tout les autres films de la franchise, je veux une palme d'or pour Verbinski, il le mérite. Le casting est au top ! Johnny Depp en Jack Sparrow, toutes les scènes qui tournent avec ce personnage c'est de l'or massif pur. Orlando Bloom l'accompagne très bien en Will Turner tout comme Kiera Knightley en Elizabeth Swann, en plus Will Turner et Elizabeth Swann dans ce film, ils occupent une place central dans ce film c'est vraiment l'un des couples les plus réussis avec Han Solo et Leia Organa dans Star Wars ou encore Aragorn et Arwen dans le Seigneur des Anneaux, il peut rentrer dans cette catégorie avec pleins d'autres couples au cinéma. Hans Zimmer à la musique, c'est comme Johnny Depp en Jack Sparrow, c'est de l'or ! C'est l'une de ses meilleures B.O avec Gladiator, Interstellar ou plein d'autres musique de films signés Hans Zimmer encore. Avec tout ce que je viens de dire franchement, 5/5 c'est amplement mérité pour un film surméritant.
Un 3 ème opus spectaculaire qui clot avec brio la trilogie. Les acteurs sont toujours aussi bons, l'humour est drôle, les effets spéciaux très impressionnants et les combats très dynamiques. Tout à une fin dans cet opus, tout les ennemis se regroupent. J'aime quand les héros se sentent coincé car il y a bien trop d'adversaire. Bon, il y a quelques longueurs et je m'attendais à un énorme monstre à la fin mais bon. Ca reste mon préféré de la saga !
Une seule critique ne suffirait pas à décrire l'immense boxon qu'est ce film. Les trahisons se comptent pas dizaines, rendant l'ensemble franchement lassant. Des rebondissements oui, mais ici c'est indigeste. Le nombre de personnages secondaires est mirobolant, et inutile, puisque très peu sont réellement traités (calyspo, norgington??). Le pourquoi de la présence de Orlando Bloom m'échappe encore. Le scénario basique mais efficace du 1er laisse place à un bordel sans nom, au détriment de l'efficacité. En fait, le scénario ne sert que les intérêts d'Elizabeth Swan, devenant tour à tour capitaine et reine des pirates... Voir truc et truc, les deux pirates, et truc et truc, les deux soldats, ça plait peut-être aux enfants, mais pour les autres spectateurs, c'est quoi le but de ces personnages. Enfin le dénouement est incohérent et bidon... Elizabeth va rester 10 ans sur son ile à attendre Will??? Reste les rares interventions de Sparrow et de Barbosa qui portent le film à eux deux et une bonne dose d'humour.
Ce troisième volet fait fort: il réussit à être encore plus mauvais que son grand frère et ça, il fallait le faire. D'ailleurs, le film ne fait pas illusion bien longtemps. En plus, l'apparition tardive de Johnny Depp finit de le flinguer rapidement. Le fait que la saga est totalement dépendante de Depp est désormais un fait acquis. Parce que ce n'est pas Keira Knightley (pourtant capable de bien mieux) et Orlando Bloom qui sont capables de tirer tout ça vers le haut. Verbinski laisse passer un temps fou avant de lancer l'action. Quand elle arrive, c'est trop tard, le mal est déjà fait depuis bien longtemps. "Pirates des Caraïbes 3", jusqu'au bout de l'ennui, du vide du début à la fin. Et, il paraît que le quatrième volet est encore pire.
A vouloir surfer sur un succès, on finit par s'y perdre. C'est ce qui arrive avec cet opus, bourré d'incohérence, à la sauce Disney. Il n'y en a que pour les protagonistes principaux dans la grande confrontation notamment pendant que les autres doivent regarder, on a même le droit à un mariage ou à des combattants très doués d'équilibre sur un mât d'un bateau en mouvement dans un tourbillon. Heureusement qu'un peu d'humour permet de ne pas s'endormir sur un scénario où tout le monde trahit tout le monde mais se rabiboche deux minutes plus tard. Bref, un film à oublier rapidement malgré de beaux décors.
une fois de plus c'est un sans faute pour nos pirates. "jusqu'au bout du monde" est un film fun, et décalé. mais c'est aussi un vrai film de pirates. bref. Un très grand cru.