Derniers Avis : Hellboy II les légions d'or maudites - Page 12

Bien mieux que le premier volet, on retrouve ici la patte Del Toro. Visuellement carrément mieux, une mise en scène bien meilleure, beaucoup plus d'effet spéciaux et un univers plus riche et mieux contrôlé. Ron Perlman est toujours au top et on est aussi un cran au dessus au niveau de l'action et de l'humour.

La première partie du film est très réussi mais ensuite ça s'essouffle assez vite (hélas). Le scénario est assez banal, pas vraiment de surprise mais c'est vrai que le visuel est très réussi. Je le recommande pour les fans de ce genre de film ( comme la momie et X mens).

HOUA !Pire que le premier ( je croyait pas ça faisable )!! Alors là faut le faire! Tout est aussi nul que dans le premier ! Les acteurs, qui n'étaient déjà pas terribles, atteignent des somoms de médiocrité, c'est vous dire! Les monstres sont toujours aussi mal faits et la réalisation est toujours aussi....comment dire? nul? archi nul ? Allez, on prends archi nul. Sinon l'histoire est un peu mieux que dans le premier mais la mise en scène qui n'était pas si mal dans le premier est pas terrible ici. Les scenes d'action sont pas mal faites ( et encore! ). Bref , rien à sauver dans ce film qui est nul du début a la fin. C'est juste divertissent.

Un second opus à la hauteur des espérances suscitées par le premier film et qui développe les persos au fil d'une aventure trépidante.
J'attends le troisième avec grande impatience....

j'ai un peu plus aimé que 1,je ne sais pas pourquoi mais ce qui est sur c'est que c'est mon préféré film de Guillormo Deltoro

J'avais beaucoup aimé le premier hellboy, mais ce deuxiéme épisode et encore meilleur. Plus beau, plus drole aussi et surtout magnifique visuellement car l'univers de celui-ci est génial. Luke Goss qui était deja le méchant dans blade2 du meme realisateur est impressionnant dans le role du Prince Nuada. Hellboy 2 est un grand film d’action avec
une trés belle intrigue, vivement le 3éme!

Le scénario est efficace, les acteurs sont convaincants, et la réalisation est démente: l'univers d'Hellboy est d'une beauté visuelle époustouflante, et les effets spéciaux sont d'excellente facture. Reste alors les personnages, tout aussi attachants que dans le premier. Un divertissement parfait et un univers visuel immense. Un petit défaut pourtant : l'histoire laisse présager une suite, suite qui n'a toujours pas pointé le bout de son nez ! C'est pas très sérieux, ça, Guillermo del Toro !

"Hellboy II" est un peu ce que "Batman, le défi" est au premier batman de Tim Burton: L'univers à été posé avec le premier film, et la suite repousse les limites en proposant un univers plus riche, plus personnel.
Certes, celui ci est plus enfantin que le premier, sa structure scénaristique est plus simple également mais mieux écrite, l'intêret ne s'en trouve pas là mais bien dans la richesse et l'amour de Del Toro pour ses personnages plus complexe que dans le premier,ainsi que la mise en scène et l'univers incroyablement développé. De l'héroic fantasy à un soupçon de SF, en ajoutant un bestiaire de monstres impressionnant, "Hellboy II" est surement l'un des blockbusters les plus riches jamais crée. Seul petit défaut, la scène d'ouverture ou l'on voit hellboy enfant, celui ci étant un peu ridicule.
Cependant je me pose quand même une question: à quand un "Hellboy 3" ?

Je n'ai pas vu le premier, mais cela ne m'a pas du tout gêné. Le début du film résume ce qu'il faut savoir avec rapidité et précision. Après tout se gâte, et cela pour un certain temps : en effet, outre quelques scènes comme celle du troll, il est très difficile
de rentrer dans le monde fantastique d'Hellboy. Tout d'abord, on peine à s'y retrouver au milieu de tout ces monstres et personnages, et de plus c'est du pur fantastique donc...on ne comprend pas vraiment ce qui se passe si on a pas déjà été initié a u monde dont il est question. Mais une fois passé la scène spectaculaire de la plante géante, on commence vraiment à se sentir dans ces rues noirâtres peuplées de monstres diverses. Et les scènes d'actions mettant en jeu lesdits monstres exploitent bien leur potentiel de destruction, et les effets spéciaux sont très biens gérés. Mis à part ça les personnages sont assez attachant pour certains (celui qui est plutôt aquatique), mais dans l'ensemble il ne sont pas très développés, leur comportement est caricatural au possible (Hellboy lâche des vannes il est bourrin et touti quanti) et le méchant par contre est un désastre. Les répliques dîtes avec un sérieux qui se veut faire peur donnent envie de rire, tout comme sa tête au maquillage ridicule. Mais par contre le scénario en lui même est très classique, vraiment trop prévisible pour me plaire. Mais cette ambiance à la fois sombre, comique et décontractée, intrigante et explosive et vraiment pas mal foutue. Le dernier combat contre les légions d'or est convenu mais très très bien réalisés : l'action est 'trop mortelle » et la tournure des évènement...imprévisible.

Une excellente suite sur le super-héros Hellboy,signé une fois de plus,Guillermo Del Toro.Une excellente adaptation du comic de Mike Mignola.L'histoire est excellente,la mise en scène est géniale,Ron Perlman est excellentissime dans le role de l'ironique brute rouge,Selma Blair est géniale,les effets-spéciaux sont grandioses,les maquillages sont superbes et les combats sont géniaux.

Guillermo Del Toro est un cinéaste visionnaire.


Les deux Hellboy le démontrent, ainsi que le magnifique Labyrinthe de Pan.

En effet, ce ne sont pas les scénarios qui font l'intérêt de ces deux opus réalisés à 5 ans d'intervalle, même si la patte de l'auteur américain de comics Mike Mignola rend l'intrigue ... mythologiquement consistante.

L'intérêt des deux films est ailleurs.

D'abord les inventions visuelles, notamment en ce qui concerne les décors et surtout les monstres, sont magnifiques, à la fois originales et poétiques, inquiétantes et séduisantes. Dans ce domaine Hellboy II : The golden army, sorti en 2008 est éblouissant.
Les mini-monstres qui ouvrent ce deuxième épisode, le marché des trolls sous le pont de Brooklyn, l'immense monstre vert en forme de fleur, la "Pythie aux cent yeux" dans sa grotte sont autant de morceaux de bravoure étourdissants.

Ensuite, le deuxième degré ironique et léger qui court dans les deux films est délicieux. La figure de Hellboy, grand enfant et terreur à la Bud Spencer, amoureux jaloux et fugueur invétéré, est particulièrement réussi. Son désir de reconnaissance est très touchant. Les autres comparses sont formidables, en particulier l'inénarrable homme-poisson Abe.

Au final, en regardant les deux films en deux soirées, on retrouve un plaisir pop corn et grand spectacle intelligent qui devient rare.

Noir, beau, drôle, poétique.

Vivement Hellboy III, toujours par le grand Del Toro, prévu pour 2012. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/

Une suite efficace et originale qui fait de ce film un bon divertissement.

Beau spectale, très bien réalisé et les effets spéciaux sont très beaux ! par contre ça me gave toujours que nos héros doivent sauver le monde entier mis en danger par des forces effroyables et extravagantes. Ne peuvent-ils pas seulement s'occuper de menaces un peu plus rationnel mais beaucoup plus présentes et réalistes ?

Très grand film de Guillermo Del Toro, dont j'apprécie de plus en plus le travail. Les effets spéciaux sont superbes, le scénario aussi. Del Toro se montre très à l'aise dans cet univers fantastique. 17/20

Quand je parle d'un film j'ai souvent pour habitude de commencer par aborder les points positif c'est donc sur les bonnes choses de ce Hellboy II que je commencerais ma critique. Et les gros gros point fort du film sont son visuel et son univers, les deux étant bien entendu intimement liés. Les couleurs sont éclatantes, la photographie assez somptueuse et les décors d'une imagination qui paraîtrait presque inépuisable -Il est d'ailleurs dommage que cette imagination n'est pas profité au scénario...-.Ainsi chaque décors révèle son lot de surprise notamment celui qui sera le spectacle d'un combat final bien orchestré, la restriction des espaces, le continuité des mouvements, la cohérence des codes couleurs, tout est présent pour plaire visuellement. On continuera sur un autre point positif qui est le bestiaire, je ne pourrais pas vraiment comparer avec le comic-book d'origine mais Hellboy II présente un nombre de bêtes fantastiques très satisfaisant, l'on ne fait la plupart du temps que les effleurés, n'apprenant que quelques règles sur leur univers mais cette impression de richesse est appréciable et contribuera à intriguer les plus accros des mondes imaginaires.
Et ça en est déjà fini pour les gros point positifs et c'est avec malheur que je me dois de parler des déceptions de ce second volet déjanté. Et pour prendre en point de comparaison le premier qui à défaut de proposer quelque chose d'époustouflant avait le mérite de proposer des personnages un minimum consistants et attachants à contrario de ce second opus. Car notre bonne grosse masse rouge perd énormément en caractère du premier au second faute à une volonté trop appuyée de jouer à fond la carte du grand film d'action ce qui aura pour effet de caricaturé au possible le personnage d'Hellboy et malheureusement le constat ne s'arrête pas à lui et se poursuit notamment sur Liz, si attachante et intrigante dans le premier opus et si anecdotique dans le second.
L'humour est en berne, pas qu'il ne soit que très peu présent -Au contraire !!!- mais beaucoup trop futile, puéril voire même un brin énervant à tel point son abondance fini par nuire au charme ambiant de l'univers. Et en plus de l'humour plus que limite l'on se retrouve avec la horde de répliques clichés tout aussi énervantes et qui contribueront à la superficialité de l'oeuvre. Non il est clair que dans ces domaines le premier opus était supérieur et malgré sa panoplie de défauts le second Hellboy se laisse presque agréablement voir grâce notamment à des scènes d'action bien orchestrés. Car l'action devient omniprésente mais pas envahissantes pour autant, Guillermo Del Toro nous offre quelques tours de malice et l'allie à une maîtrise parfaite de sa caméra en mouvement afin de nous desservir quelques bons moments de plaisir tel qu'on le demande à un gros blockbuster. Et c'est cette ingéniosité de mise en scène qui réussira à apporter le souffle nécessaire afin que l'oeuvre ne tombe pas totalement dans l'indigence ou l'ennui. Ainsi l'on se souviendra pendant quelques temps de la bataille finale où le mécanisme de la vie -représenté par les rouages- joue constamment des tours au grand méchant, mettant en exergue la futilité d'une espèce dans le long écoulement de la vie, ainsi soit-il et il ne peut en être autrement.
J'aimerais conclure sur la bande originale de Danny Elfman que je trouve de plus en plus en manque d'inspiration, il délivre une nouvelle fois une composition très orchestrale mais trop fade, pas assez épique pour réellement plaire. Et même si elle accompagne convenablement le film, elle reste assez loin de ce qu'il peut faire de mieux. L'on préférera sans hésitation le score du premier signé Marco Beltrami.

Le second opus n'a plus rien à voir avec le premier. Des répliques plus fades, des personnages plus superficiels mais un visuel encore plus somptueux et des scènes d'actions très bien dirigés. Hellboy s'oriente clairement du coté blockbuster, ce qui plaira à certains, moins à d'autres.

Hellboy 2 est un vrai régal pour les amateurs de Blockbusters : Maestria visuelle, univers fouillé, scénario maîtrisé pas abscon, dialogues parsemés d'humour, personnages attachants et réfléchis. Le fils de Satan est confronté dans cette suite à une fabuleuse histoire mythologique créé par Del Toro comme celui-ci adore en inventer (Le Labyrinthe de Pan), celle de l'Armée d'or maudite. Les transitions entre ce passé antique et notre monde contemporaine sont parfaitement huilées et le spectateur ne connait pas du tout de baisse de régime dans ce second volet Hellboy. On adore l'inventivité constante et la générosité des cadres et des FX. Y'a pas à dire Guillermo Del Toro est bien l'un des plus grands auteurs contemporains du 7e Art.