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chrischambers86
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3,0
Publiée le 15 février 2017
Une suite bien meilleure que le premier film du même Guillermo del Toro! Un sale caractère, un physique à faire peur...Hellboy, le super-hèros venu tout droit de l'enfer, rempile pour un second volet où il est question une fois de plus de protèger la planète! Et y a du boulot [...] Un spectacle graphique proche du "Labyrinthe de Pan" avec pas mal de choses en commun avec l'univers de Tolkien pour un blockbuster assez brillant à l'arrivèe! L'intèrêt majeur de "Hellboy II: The Golden Army" rèside dans le personnage de Ron Perlman qui gagne ènormèment en profondeur par rapport au premier volet! Pourtant les premières quarante cinq minutes n'envisagent rien de bon! Arrive alors la sèquence très spectaculaire de combat avec la crèature à tentacules! C'est à ce moment là que cette suite change de bord avec une excellente seconde partie où le rèalisateur approfondit la psychologie des personnages avec des sentiments et des èmotions! Quand l'imaginaire de del Toro est au rendez vous dont il tire parti avec maestria, on en redemande! Vous êtes amoureux ? Prenez donc une bière et patientez pour voir le troisième volet de "Hellboy" qui se fait mèchamment attendre...
Tout aussi réussi (et même meilleur) que le premier film ! Ici, plus de place pour la présentation et la mise en place des personnages, comme c'était le cas dans le premier volet (au point tel que le duel final entre Hellboy et l'entité lovecraftienne était limite totalement bâclé, car expédié vite fait). L'action et l'humour priment, les décors, personnages et scénario sont époustouflants. Un chef d'oeuvre de plus dans la filmo de Del Toro, et un autre grand, grand film de super-héros après "Hellboy", "The Dark Knight" et la trilogie "Spiderman". Déjà culte !
J'aime beaucoup Guillermo Del Torro car il oeuvre au sein du système hollywoodien du blockbuster populaire et mainstream mais se révèle suffisamment doué et intelligent pour proposer des œuvres visuellement impressionnantes à la réalisation et au propos maîtrisé, le tout en surfant sur plusieurs genres pour les redéfinir et créer ainsi une identité singulière. C'est à nouveau le cas ici, suite du premier *Hellboy* que j'ai découvert assez jeune et qui m'avait marqué grâce à ses personnages, son bestiaire et son univers. Plusieurs années après, c'est son sens du cadrage, du rythme, de la mise en scène qui me percutent. *Hellboy II* n'est pas un blockbuster comme on en voit aujourd'hui, il possède le charme de ces films adaptés de comics books de la première moitié des années 2000, réalisés par des auteurs tels que Sam Raimi, Ang Lee ou encore Brian Singer.
Au delà du film commercial, on ressent avant tout la passion de son réalisateur et l'intérêt qu'il porte à ses personnages. De fait, *Hellboy II* aborde ici de façon plus longue et frontale la question de l'identité et avant tout de la responsabilité. Les personnages y sont plus touchants, plus humains, que ce soit dans le clan des gentils comme dans celui des "méchants". Je lui reprocherai peut-être son manque de profondeur, le film est tout de même assez simpliste dans sa manière d'aborder les choses et de développer son intrigue.
Mais quoi qu'il en soit, on prend son pied devant ce divertissement de qualité, porté par ses personnages et son metteur en scène enjoué. Il ne s'agit pas d'un chef d'oeuvre du genre mais est suffisamment maîtrisé et tenu pour nous faire passer un très bon moment, épique, fun, drôle et touchant. Dans la continuité du premier. A voir !
Guillermo Del Toro offre à son monstre favori une deuxième épopée de haute envergure. Et même si l'histoire rappelle vaguement celle entrevue dans BLADE II du même réalisateur, HELLBOY II atteint un niveau excellent et mérite amplement de se faire une place au soleil au côté des productions Marvel & DC. Surtout que le développement des personnages est admirable avec notamment les love story compliquées mais, ô combien, plus réalistes que la majorité de celles des super héros.
Suite d'un premier opus déjà plutôt réussi, ce "Hellboy II" s'apparente à peu près à tout ce qu'on est en droit de mander à un blockbuster. Car même si l'on pourra reprocher à Guillermo Del Toro un aspect légèrement puéril (notamment dans les dialogues), force est de reconnaître que le divertissement a de la gueule, beaucoup de gueule. On est d'abord impressionné par l'univers créé par le réalisateur autour de son personnage, et qui nous éblouit de bout en bout par la beauté de ses couleurs et de ses décors. Seulement, et contrairement à beaucoup d'autres, Del Toro ne se contente pas de miser sur les (très) nombreux effets spéciaux présents dans le film, mais pense aussi à nous raconter une histoire, certes assez classique, mais diablement efficace et n'hésitant pas à faire fortement travailler notre imaginaire (les dernières séquences font même preuve d'une poésie tout à fait inattendue.) Bref, du très beau cinéma de spectacle, inventif et chatoyant : que demander de plus?
En 2004, Guillermo Del Toro dévoilait au monde entier une créature des plus atypiques, rouge avec des cornes ! Hellboy prend vie par le biais des Nazis, on le découvre, ainsi que ceux qui vivent auprès de lui. Voilà ce que nous réservait le premier opus, une réalisation réussie mais limitée et imposée par les studios. Cette fois-ci (et malgré le faible score au box office), Del Toro récidive avec plus de liberté, ce qui au final, ajoute une nouvelle touche au personnage, dont une pointe d’humour qui n’est pas des plus désagréables. Avec toujours plus de monstres et de trouvailles, le cinéaste mexicain prouve qu’il a de la ressource et livre une fois de plus un film de supers héros qui se démarque des habituelles productions Hollywoodiennes. Bien que la fin ne présage pas de troisième opus, on imagine mal le cinéaste s’arrêter en si bon chemin !
Les deux Hellboy le démontrent, ainsi que le magnifique Labyrinthe de Pan.
En effet, ce ne sont pas les scénarios qui font l'intérêt de ces deux opus réalisés à 5 ans d'intervalle, même si la patte de l'auteur américain de comics Mike Mignola rend l'intrigue ... mythologiquement consistante.
L'intérêt des deux films est ailleurs.
D'abord les inventions visuelles, notamment en ce qui concerne les décors et surtout les monstres, sont magnifiques, à la fois originales et poétiques, inquiétantes et séduisantes. Dans ce domaine Hellboy II : The golden army, sorti en 2008 est éblouissant. Les mini-monstres qui ouvrent ce deuxième épisode, le marché des trolls sous le pont de Brooklyn, l'immense monstre vert en forme de fleur, la "Pythie aux cent yeux" dans sa grotte sont autant de morceaux de bravoure étourdissants.
Ensuite, le deuxième degré ironique et léger qui court dans les deux films est délicieux. La figure de Hellboy, grand enfant et terreur à la Bud Spencer, amoureux jaloux et fugueur invétéré, est particulièrement réussi. Son désir de reconnaissance est très touchant. Les autres comparses sont formidables, en particulier l'inénarrable homme-poisson Abe.
Au final, en regardant les deux films en deux soirées, on retrouve un plaisir pop corn et grand spectacle intelligent qui devient rare.
Noir, beau, drôle, poétique.
Vivement Hellboy III, toujours par le grand Del Toro, prévu pour 2012. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
On retrouve avec plaisir notre démon préféré et ses compagnons d’aventures. Dans ce deuxième épisode, Hellboy doit faire face aux petits tracas de la vie de couple avec la belle Elisabeth Sherman, pyrokinésiste de son état, spoiler: qui attend un (des) heureux événement(s). Mais la vie de super-héros de l’ombre n’est pas de tout repos. Dans ce film, il doit empêcher la reconstitution d’une couronne qui permet à celui qui la porte de commander une armée invincible, de briser la trêve vieille de plusieurs millénaires entre le peuple des elfes, orques, gobelins, trolls et les êtres humains. Hellboy est-il dans le bon camp ? Lui qui est haïe par les hommes à cause de la peur qu’il inspire. Combats époustouflants et monstres encore plus nombreux sont au menu de ce nouveau "Hellboy". Bref, c’est un film très distrayant, supérieur même au précédent.
Quelle bonne surprise de voir que Guillermo Del Toro a su imposer son style, son imaginaire et sa personnalité à cette suite. Il en résulte un blockbuster remarquable à l'inventivité visuelle extraordinaire.
Un Pur Régal. Aprés un Premier Episode prometteur,le Réalisateur Guillermo Del Toro met la barre encore plus haut avec ce nouvel Episode qui surpasse a tous les niveaux le premier volet.Grace a une Réalisation Éblouissante, ce Second épisode possède une Intrigue encore plus Aboutie et Captivante qui ne faiblit jamais. Ensuite les Décors sont Époustouflants a souhait tout comme la galerie de Créatures Baroques qui est multiplier dans ce film,ajouter a cela une BO toujours composer par Marco Beltrami qui est enrichissant au service d'une Réalisation irréprochable. En ce qui Concerne les Scènes D'Actions elle sont plus nombreuses tout en étant trés Spectaculaires grâce a des Effets Spéciaux remarquables tout en n'oubliant pas son dose d'Humour Piquant ainsi qu'une Touche de Poésie et D’Émotion plutôt bienvenue.Enfin on retrouve avec plaisir nos personnages favoris dont l'interprétation des Comédiens est Intact avec Ron Perlman qui colle parfaitement dans la peau du Démon Rouge au Caractère bien tremper dont ses amis Liz Sherman et Abe Sapien ont un rôle plus poussé dans cette suite et sans oublier l'arrivée de nouveaux arrivants de choc tels que l’énigmatique Johann Krauss jouer par Seth Macfarlane qui apporte du piment mais surtout l'arriver du Charismatique et Inquiétant Prince Nuada camper avec panache par Luke Goss. En Conclusion, Hellboy 2 Les Légions D'Or Maudites est une remarquable suite du Démon Rouge en étant a la fois Épique,Poétique,Drole,Touchant et Merveilleux dont les fans du Premier Episode et de ce genre de ce film seront littéralement combler par cette nouvelle aventure dont on attend toujours avec impatience le Troisième et Ultime Episode pour conclure cette saga Fantastique inoubliable a voir absolument.
4 ans après avoir réaliser un très bon film sur Hellboy, le héro de Mike Mignolia, Guillermo Del Toro a décidé de prendre peu ou prou les mêmes et de recommencer. Ainsi naquit Hellboy II : Les Légions d'or maudites, un film assez incroyable car il a eu un succès critique supérieur aux précédents, mais que les puristes le trouvent moins bon. Alors qu'est-ce que moi je pense au fond ? Ben ni l'un ni n'autre en faite.
Déjà, on peut vraiment parler de suite pour ce film. En effet, niveau réalisation et ambiance, c'est vraiment le jour et la nuit au sens propre. En effet, là où le premier film était résolument sombre et de nuit, ici les scènes d'actions ont lieu parfois durant la journée. Cela renforce le faite que Hellboy, Liz et Abe Sapiens ont arrêté de se cacher, au grand dam de Manning, qui veut préserver le caractère secret. Mieux encore, le film exploite mieux l'univers d'Hellboy qui est résolument plus fantastique, là où le premier était bien plus dans le sens où l'univers était plus caché et donc réaliste. Ainsi, on a tout un royaume qui était caché et qu'avant était considéré comme une légende et non évoqué dans le précédent film. Aussi, le film développe un peu plus les personnages afin de les mettre dans de nouveaux défis.
Hellboy (Ron Perlman) est comme à son habitude tout comme Liz (Selma Blair). Ils vivent ensemble mais ils doivent gérer leur problèmes de couples, entre les sautes d'humeurs de Hellboy (ou est John ?) et de Liz.
spoiler: Du au fait qu'elle est enceinte de jumeaux !
Au combat, ils sont comme à leur habitude, efficace. Mais ils doivent maintenant composés sur des événements inattendus au B.P.R.D
Abe Sapien (Doug Jones) est cette fois mieux exploité et mis en avant. Anecdotique dans le premier volet, il est maintenant devenu un personnage développé dans ce volet. Amoureux de la Princesse Nuala, il sera plus utile au combat et aura un peu plus d’interaction avec Hellboy, là où le premier volet était plus avare de ce coté là.
La Princesse Nuala (Anna Hualton) est la princesse innocente victime qui est contre son frère qui veut conquérir le monde avec son armée de super géant. Et aura de l'affection avec Abe.
Le Prince Nuada (Luke Goss ) est le prince méchant parce qu'il est méchant. Il est aussi calculateur et cliché qu'il devrait et n'a pas de profondeur. Personnage bien écrit mais prévisible; il constitue une menace crédible pour Hellboy a cause du lien sensoriel qu'il partage avec sa sœur, mais cela s'arrête là
spoiler: D'autant, qu'il meurt parce que sa sœur se suicide
Parmi le nouveau venu le docteur Johann Kraus (James Dodd avec la voix de Seth Mc Farlane en V.O) est celui qui est sensé gérer Hellboy et son équipe, mais qui finalement les aidera à lutter contre l'armée du prince Nuada. Bon personnage et assez bizarre au fond.
Et on a Tom Manning (Jeffrey Tambor) qui est comme le premier film. Dommage car on aurait pu conserver un peu de sa complicité avec Hellboy mais bon.
Là où le premier film lorgnait sur une version un peu différente d'une histoire à la Batman dans un monde démoniaque, ici, Guillermo Dell Toro nous raconte plus une histoire simple à la héroïque fantasy. Elle est bien racontée mais on sens la volonté d'ôter de la noirceur du premier volet en exploitant les personnages différemment. Ils n'ont pas changé mais font face à de nouveaux défis et nouvelles situations. Ce n'est pas une redite et c'est assez distrayant. Elle n'est ni moins bonne ni meilleur que le premier volet mais résolument différente. Et ...c'est assez bien en faite. Autre avantage, le film se conclut mieux que le premier volet
spoiler: En effet, l'équipe démissionne de la B.P.R.D afin que Hellboy et Liz puisse fonder leur famille
Ce qui est dommage, c'est que l'histoire perd un peu de l'attrait par rapport au premier volet, mais est compensé par d'autres qualités non négligeables. Mieux encore, on nous montre un Hellboy vraiment en difficulté et au seuil de la mort pendant une bonne partie du film, ce qui n'était pas le cas dans le précédent volet. Bon ok, cela fait un dilemme certes prévisible mais qui fait quand même son petit effet.
Comme beaucoup, je préfère le précédent à ce film. Cela dit il n'est pas mauvais pour autant ; différent certes mais à la hauteur. Guillermo Del Toro a pris le risque d'emmener la franchise dans une nouvelle direction et il y arrive. Pour l'heure, j'ignore si un Hellboy III est en chantier. Mais s'ils le fassent, s'en nul doute qu'on arrivera à nous surprendre !
Mais qu'est-ce que c'est que ce truc ? Un brouet totalement indigeste dans lequel Del Toro a jetées pêle mêle des idées prises dans ce que le cinéma américain des 20 dernières années compte de films les plus crétins destinés à un public de teen-agers gavés de pop-corn. C'est extraordinairement chiant de la première à la dernière seconde. Cela prouve qu'un film c'est bien plus qu'une succession d'images : la même imagination qui a contribué à faire du Labyrinthe de Pan un grand film, tourne ici complètement à vide et ne peut rien pour combler l'absence totale de propos de cette daube.
Pour son deuxième Hellboy, Del Toro a choisi d’enrichir considérablement la galerie de monstres entourant « Red ». Soit. Mais cette débauche d’effets spéciaux et de créativité picturale s’est faite au détriment du pauvre Hellboy qui semble un peu perdu au milieu de cet aréopage. Or ce qui nous intéressait dans le premier opus c’est le tempérament si particulier d’Hellboy qui tranchait avec ses confrères dont les patronymes se finissent en « man ». Du coup l'on s’ennuie un peu à voir notre garnement devenu trop sage. De même l’histoire de l’armée d’or est moins convaincante que celle de Raspoutine bravant la mort pour permettre aux nazis de franchir les portes du temps afin d’ acquérir l’invulnérabilité. Une relative déception si on pense au chef-d’oeuvre d’inventivité et de drôlerie que constituait le premier épisode. Si un numéro 3 doit voir le jour, il faut que Del Toro nous rende notre Hellboy.
Tout aussi plaisant que le premier opus, Hellboy 2 s'inscrit dans la droite lignée de son prédécesseur. Les scènes d'actions sont toujours aussi efficaces, les décors et maquillages toujours aussi sublimes et les combats sont très bien chorégraphiés. Avec cette suite, Guillermo del Toro nous livre un excellent divertissement qui, malheureusement, restera sans suite...
Personnellement, j'en attendais plus de Guillermo del Toro, le célèbre réalisateur du Labyrinthe de Pan. Les trois acteurs principaux (Ron Perlman, Selma Blair et Doug Jones) sont vraiment supers, les protagonistes sont attachants, le visuel est très travaillé ect... donc je ne peut pas me permettre de lui mettre moins de la moyenne mais je ne sais pas, je décroche avec l'histoire au bout de 20-30 minutes, peu être parce que l'univers d'Hellboy a du mal à me séduire. De plus les nouveaux personnages sont plus ou moins intéressants (ça dépend lesquels).