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Votre avis sur Jugez-moi coupable ?
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Assez bon film de Sidney Lumet, avec un Vin Diesel métamorphosé. Le personnage principal est drole, mais cela ne comble pas le manque de suspens, surtout pour un film réalisé par le spécialiste du film judiciare. Le procès n'et en effet qu'une tribune au fanfaron Jack DiNorscio, mais ni ne sert à éclairer véritablement une affaire ni ne se place dans un contexte particulièrement intriguant.
Encore un chef-d'œuvre signé Sidney Lumet . Moi qui m'attendait a un film d'action j'ai été éblouis par la magnifique interprétation de Vin Diesel qui n'a aucun mal a nous faire vivre un bon moment ...... A la fois émouvant et hilarant ce film bénéficie également d'une mise en scène simple mais efficace..... BREF "JUGEZ-MOI-COUPABLE" est un grand film a voir et a revoir et a ne rater sous aucun prétexte !!!!!
soniadidierkmurgia
« Jugez-moi coupable » est l’avant-dernier film que tournera Sidney Lumet avant de s’éteindre en 2011 à l’âge de 86 ans. Il faut reconnaître que le réalisateur traverse alors et depuis une grosse dizaine d’années une période de flottement. Ses films à forte intensité dramatique et à connotation sociale et politique marquée ne sont plus dans l’air du temps, le public depuis la fin des années 1980 étant essentiellement attiré par les films de pur divertissement.
L’idée de « Jugez-moi coupable » est venue du scénariste T.J. Mancini qui avait activement suivi le procès fleuve (22 mois) qui 20 ans plus tôt avait concerné les mafieux de la famille Lucchese et Giacomo di Norscio un de leur sbires déjà incarcéré pour un autre délit. Il avait contacté Di Norscio pour recueillir ses mémoires et lui proposer la mise en chantier d’un film sur le procès. Sidney Lumet qui arrive sur le projet pense à Joe Pesci pour interpréter Di Norscio qui refuse. C’est Di Norscio qui après avoir vu « Fast and Furious » (1981) suggère Vin Diesel dont il trouve qu’il lui ressemble.
Lumet qui participe à l’écriture du scénario retrouve sans doute avec plaisir l’ambiance du film de procès dont il a perdu le parfum après « Verdict » en 1982. La personnalité fantasque de Di Norscio oriente l’intrigue en lui apportant une légère touche comique. On pourra à ce propos être surpris par l’atmosphère un peu foutraque régnant dans la salle d’audience où les nombreux inculpés sont disposés en cercle avec chacun leur avocat à leur côté. On est loin de l’imposante sacralité dramatique qui imprégnait « Douze hommes en colère », « Serpico » ou encore « Verdict ». Une salle de procès devenant une salle de spectacle pour un Vin Diesel surprenant et tout-à-fait convaincant dans ce rôle principal où il ne jouera pas de ses biceps et de ses pectoraux, ayant pris plusieurs kilos pour l’occasion. À ses côtés on soulignera la présence de Ron Silver parfait en juge tout à la fois magnanime et en parfaite maîtrise de son autorité et celle plutôt courte mais comme toujours signifiante d’Annabella Sciorra.
On ne s’ennuie pas même si l’on peut regretter que pour l’une des très rares fois de sa carrière Lumet se soit laissé aller à livrer un parti-pris en présentant spoiler: toute cette bande de malfrats comme des garçons plutôt sympathiques auxquels comme le jury on aurait envie de donner l’absolution.
Sans doute conscient qu’après lui les choses ne changeraient guère plus que pendant ses presque cinquante ans de carrière où il s’est évertué à interroger les institutions régaliennes de son pays, le grand réalisateur a peut-être voulu s’offrir une petite bouffée d’air frais. Heureusement un an plus tard à 7h58 exactement, Lumet a remis les pendules à l’heure, en proposant avec « 7h58, ce matin-là » un de ses films les plus radicaux.
L’idée de « Jugez-moi coupable » est venue du scénariste T.J. Mancini qui avait activement suivi le procès fleuve (22 mois) qui 20 ans plus tôt avait concerné les mafieux de la famille Lucchese et Giacomo di Norscio un de leur sbires déjà incarcéré pour un autre délit. Il avait contacté Di Norscio pour recueillir ses mémoires et lui proposer la mise en chantier d’un film sur le procès. Sidney Lumet qui arrive sur le projet pense à Joe Pesci pour interpréter Di Norscio qui refuse. C’est Di Norscio qui après avoir vu « Fast and Furious » (1981) suggère Vin Diesel dont il trouve qu’il lui ressemble.
Lumet qui participe à l’écriture du scénario retrouve sans doute avec plaisir l’ambiance du film de procès dont il a perdu le parfum après « Verdict » en 1982. La personnalité fantasque de Di Norscio oriente l’intrigue en lui apportant une légère touche comique. On pourra à ce propos être surpris par l’atmosphère un peu foutraque régnant dans la salle d’audience où les nombreux inculpés sont disposés en cercle avec chacun leur avocat à leur côté. On est loin de l’imposante sacralité dramatique qui imprégnait « Douze hommes en colère », « Serpico » ou encore « Verdict ». Une salle de procès devenant une salle de spectacle pour un Vin Diesel surprenant et tout-à-fait convaincant dans ce rôle principal où il ne jouera pas de ses biceps et de ses pectoraux, ayant pris plusieurs kilos pour l’occasion. À ses côtés on soulignera la présence de Ron Silver parfait en juge tout à la fois magnanime et en parfaite maîtrise de son autorité et celle plutôt courte mais comme toujours signifiante d’Annabella Sciorra.
On ne s’ennuie pas même si l’on peut regretter que pour l’une des très rares fois de sa carrière Lumet se soit laissé aller à livrer un parti-pris en présentant spoiler: toute cette bande de malfrats comme des garçons plutôt sympathiques auxquels comme le jury on aurait envie de donner l’absolution.
Sans doute conscient qu’après lui les choses ne changeraient guère plus que pendant ses presque cinquante ans de carrière où il s’est évertué à interroger les institutions régaliennes de son pays, le grand réalisateur a peut-être voulu s’offrir une petite bouffée d’air frais. Heureusement un an plus tard à 7h58 exactement, Lumet a remis les pendules à l’heure, en proposant avec « 7h58, ce matin-là » un de ses films les plus radicaux.
Nul!
Enième film judiciare qui n'apporte rien de nouveau. Et même s'il est réalisé par un maitre en la matière et même si Vin Diesel est pas mal du tout dans un role inédit pour lui.... on a du mal à adhérer, il n'y a pas de rythme, trop de longueurs, bref, je me suis ennuyé......
Enième film judiciare qui n'apporte rien de nouveau. Et même s'il est réalisé par un maitre en la matière et même si Vin Diesel est pas mal du tout dans un role inédit pour lui.... on a du mal à adhérer, il n'y a pas de rythme, trop de longueurs, bref, je me suis ennuyé......
Sydnet Lumet est moins judicieux mais arrive à faire un bon film qui est très réaliste,drôle,bien interprété de la part de Vin Diesel qui d'habitude ne me plaît pas du tout.La fin m'a aussi beaucoup plu.
Drôle et subtil, Sydney Lumet n’a rien perdu de ses talents de réalisateur et Vin diesel est plutôt convaincant. Mais au final ce jugez moi coupable n’a pas la grandeur de douze hommes en colère et une question reste en suspens : pourquoi le doublage en français d’un homme musclé adopte-t-il systématiquement la voix de Stallone dans Rambo ?
Pour Sydney Lumet, une belle réalisation ,
pour Vin Diesel une belle interpretation ,
au final un film pas mal me direz-vous , OUI
mais ont aurait pus pousssé encore un peu plus l'idée de départ qui me semblait trés éxploitable.
pour Vin Diesel une belle interpretation ,
au final un film pas mal me direz-vous , OUI
mais ont aurait pus pousssé encore un peu plus l'idée de départ qui me semblait trés éxploitable.
Splendide!! Voila ce que je pense de ce film a mille lieu des roles habituel ( que l'ont connais le plus en tout cas) de Vin Diesel ! Un trés bon film sur une histoire vraie. Génial a voir sans hésiter
un tres bon film a voir !
j'aime pas vin diesel mais là, il est plutôt bon :p
j'aime pas vin diesel mais là, il est plutôt bon :p
Chapeau bas pour ce film , Inspiré de fait réel c'est un très bon film , avec un très très bon casting , magnifiquement bien joué par le célèbre acteur " Vin DIESEl "... Bravo.
Vin Diesel dans un film où l’intelligence prime sur les actions, ça peut faire peur… ou surprendre ! JUGEZ-MOI COUPABLE conte l’histoire vraie d’un procès qui dure 2ans sur une famille entière suspectée d’être mafieuse dont l’un des accusés va se défendre lui-même. Drôle d’un bout à l’autre, assez ironique, le film étonne autant qu’il détonne. Malgré son côté huis-clos et dialogues sans fin, le film, grâce à une réalisation qui permet des situations qui prêtent à sourire tout le temps, de se laisser regarder d’une traite sans temps mort. Le parti pris du réalisateur est évident (à défaut d’être moral) et un peu sectaire (la justice méchante, la mafia gentille). Mais le véritable choc du film s’avère être Vin Diesel, humain macho au possible, qui réalise là une véritable prouesse d’acteur.
Vin Diesel dans son meilleur rôle! Un film drôle et bien construit! A voir
Si il y a une chose à retenir, c'est bien la performance de Vin Diesel, dans un rôle inhabituel. Quant au film lui même, une assez bonne surprise. Des personnages dotés de beaucoup de charisme, ce qui entraine pas mal de tension parmi certains d'entre eux.
Un scénario écrit avec brio et une interprétation magistrale de Vin Diesel. lui bien connu pour ses films d'action (adrénaline et cascades en tout genre!)nous montre qu'il est un brillant acteur. je conseille ce film en VO.
Henrico
L’excellence du point de vue technique et dans le choix des thématiques est une constance dans les films de Sydnet Lumet. « Find Me Guilty » ne déroge pas à la règle. Le film retrace les minutes d’un procès initié récemment dans le New Jersey par un juge très soucieux de faire condamner les dirigeants de la mafia de la ville. L’objectif de Lumet, de toute évidence, était de mettre en exergue les méthodes pour le moins discutables du juge. L’inconvénient c’est que la démarche de Lumet aurait gagné en persuasion si la présentation qu’il fait des mafieux était plus neutre. C’est plus un ramassis de beaufs, grossiers mais rigolards et plutôt inoffensifs que Lumet s’évertue de montrer des mafieux. Par contre, il évite soigneusement de montrer les aspects qui font de ces mafieux un important facteur de nocivité sociale (rackets de toutes les entreprises de la ville, prostitution, trafic de drogues) et de dangerosité permanente (trafic d’armes, élimination physique récurrente des récalcitrants etc…). La performance de Peter Dinklage, l’acteur nain interprétant le principal avocat de la défense, est époustouflante. Il était tout simplement scandaleux qu’un comédien aussi brillant ne soit pas plus souvent sollicité. Après ce Lumet, son ascension n'a pas cessé de progresser, au point de culminer au statut d'idole incontournable, constatée dans "Game Of Thrones".
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