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dahbou
205 abonnés
2 186 critiques
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0,5
Publiée le 28 novembre 2008
Ca fait mal de voir le grand Al se copromettre dans ce type de film uniquement pour l'argent surtout quand c'est réalisé pr Jon Avnett qui n'est pas du tout n bon réalisateur. Tournée en semi-temps réel à la 24H chrono dont il reprend beaucoup d'artifices, 88 minutes est une sorte de thriller bancale qui esssaye de s'appropier des idées qu'il ne comprends pas. Il faut dire aussi qu'il est trés mal scènarisé avec une multitude de secods rôles rôles et de fausses pistes aussi mal écrites que mal intègrés enfonçant bien souvent les situations dans le ridicule avec évidemment un final grotesque où le tueur ,desormais découvert, prête quand même beaucoup à rire. Au milieu de tout ça, le pauvre Al a beau courrir de tous les côtés il n'a jamais paru aussi vieux et fatigués et livre peut-être la pire prestation de sa carrière alors qu'il arrête de tourner n'importe quoi avec n'importe qui.
John Avnet réalisateur qui est bien tomber dans les oubliettes, j'en demandais pas énormément de 88 Minutes et j'en suis satisfait. Il me vient à l'esprit un film de John Badham, "Meurtre en suspend" qui traite aussi le temps et qui date de 1995, 88 minutes est cinq fois plus consistant. Pacino est entourer d'un casting féminin bien stimulant. J'ai accroché grave pendant 1h17 bien que le final est pas aussi intense que le début, mais le tout est bien boosté.
nul !!! Al Pacino rabaisser a 100 %. un die hard raté. une certaines présion, mais trop lent. à éviter pour les fans d'Al Pacino, or les amateur de télé films appréciront cette d'aube.
Bon Thriller. Il remplit son contrat avec le charisme intact de Pacino et quelques retournements de situation de qualité. Un bon divertissement dans le genre.
Petit polar sans originalité sauvé de justesse de la broyeuse à navet par Pacino (mais quel dommage de le voir dans ce genre de film). Il nous fait presque oublier le scénario indigent, les dialogues au ras des pâquerettes et le manque de tension général (un comble pour un film basé sur un compte à rebours!). Je dis bien presque..., l'ennui prend le dessus dès la 5ème minutes du film.
[88 Minutes, 2/5] Décevant. Les deux points sont attribués à Al Pacino. Les scènes de crimes sont trop crues, bien loin de la subtilité de Seven. Le dénouement se devine trop tôt, diminuant grandement le suspens. A éviter.
C'est vrai qu'elles peuvent paraître plus que généreuses ces deux étoiles. Pourtant, et même s'il faut reconnaître que ce « 88 minutes » s'avère basique à tout point de vue, je ne me suis en définitive pas vraiment ennuyé devant un divertissement très basique et ô combien prévisible (ai deviné l'identité du tueur en 15 minutes), mais plutôt efficace dans le genre lourdaud et emprunté (je sais, cela peut paraître paradoxal, mais bon...) A moins que ce ne soit la présence de la plus que ravissante Alicia Witt qui m'amène à cette indulgence... Vraiment rien de transcendant ni d'indispensable donc, mais un gros divertissement qui tâche pour un samedi soir sans prise de tête : certains sauront s'en contenter.
Bof, pas mal déçu par ce petit film. Certes il y a l'interprétation comme d'habitude impeccable de Pacino mais hormis ça il y a pas grand chose à ce mettre sous la dent. C'est dommage parce que le pitch de base est plutôt pas mal et avec un bon scénariste sa aurait donner quelque chose de vraiment sympa. Mais malheureusement le film s'enlise dans de la grosse série B de bas niveau. En dénote la fin vraiment nullisime et en plus je trouve un peu la dernière image du film douteuse. Un Pacino vraiment mineur, je me demande ce qu'il est venu faire dans ce film.
Quelques semaines avant de se faire plumer par Danny Ocean et son gang, revoici ce bon vieil Al Pacino dans la peau d’un profiler ayant un telle dent contre les tueurs en série (il faut dire que sa petite sœur a jadis été victime de l’un d’eux, comme nous l’apprend le dialogue estampillé “séquence émotion”), qu’il n’hésite pas à légèrement falsifier des preuves pour envoyer le dénommé Jon Forster derrière les barreaux. Sauf que, le jour de son éxécution, d’autres meurtres sont commis selon le même modus operandi. Et si Al avait fait une erreur ? Une question à laquelle il va vite devoir répondre, vu qu’un appel lui annonce sa mort dans 88 minutes tout rond, et l’oblige à accélérer une enquête qui n’aura, finalement, d’intérêt que pour les futurs auteurs de “24 heures chrono, le film”. Car “88 minutes” leur offre, en images, un exemple probant de ce qu’il ne faut pas faire, dans la catégorie “thriller en temps réel” : un suspense inexistant (on tente de nous faire douter de la culpabilité d’un tueur qu’on voit pourtant commettre un crime, et le mystère de l’indentité du complice ne fait pas long feu), une ambiguïté à peine plus consistante, des acteurs qui cabotinent (Al Pacino et Leelee Sobieski en tête) dans des rôles de clichés ambulants, et un rythme on ne peut plus mou du genou. Un comble pour un film reposant sur un ultimatum et un compte à rebours censés accroître la tension, mais qui, finalement, ne nous renseignent que sur le temps qu’il nous reste à endurer ce sous-thriller, où le tic-tac le plus obsédant reste encore celui de notre montre.
On est habitué à voir un héros courir contre la montre depuis les 6 saisons de « 24 heures chrono ». Cependant, ici, on ne comprend pas pourquoi notre héros prend tous ces risques (surtout que physiquement, il n'a pas les capacités d'un agent de terrain comme Jack Bauer) alors qu'il lui suffirait simplement d'aller voir la police pour se mettre en sécurité puisque le « méchant » ne menace pas de détruire la planète si notre héros appelle la police. Mais, bon, comme souvent avec le tout-venant des productions hollywoodiennes, si vous mettez de côté le réalisme du scénario, vous passerez un bon moment car le film est bien fait et on ne s'ennuie pas une minute en suivant Al Pacino dans ses 88 minutes de cauchemar. Un petit bémol quand même pour finir, la multiplication de fausses pistes très (trop) artificielles nuit à la crédibilité de chacune d'entre elles.