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Un visiteur
0,5
Publiée le 9 avril 2010
Je n'ai pas pu regarder le filme en entié, tant il en dégageait une impression malsaine. Parfois les avertissements pour le public sont exagérée, ici, c'est tout le contraire!
"tideland" est un conte sombre qui envoûte par sa constante opposition, les vastes et magnifique paysage tranche avec les interieurs étouffant et lugubre, la cruelle réalité ne percent jamais le fantasme onirique de la jeune héroine, les thèmes developpés par terry gilliam aurait pu être éprouvant si il n'avait pas donné a son film son cotés poëtique. la jeune actrice jodelle ferland est d'une incroyable justesse, elle crève litteralement l'ecran.
Sorte d'Alice au pays des Merveilles, mais façon hollywoodienne, Tideland n'est donc qu'une suite de situations "imaginaires" ennuyantes. Les personnages sont agaçants et manquent cruellement de charisme ; tandis que l'histoire n'est qu'une bouffonnerie, des clichés, qui ne font pas sens. Trop long, trop lent, trop classique même dans son dénouement. Le délire personnel de Terry Gilliam ne regard que lui, en fin de compte.
c'est clair!!!! terry gilliam(monty python) nous a sortie un film hors du commun. ce que j'ai adoré c'est le jeu ou il joue avec les limite du dérangeant,proc' sur les bord, et toujours avec sa vision psyché de la vie, j'ai senti(personnellement bien sûr....) que c'est un film à voir d'une part avec des yeux d'enfant mais aussi ceux d'une personne averti.... rappelez-vous brazil,qui pour moi est un chef-d'oeuvre qui donne la possibilité de le comprendre de façon totalement différente pour les spectateur, j'attends de voir son dernier bébé ''l'imaginarium du docteur parnassus''!!! salutation à tous les amoureux du cinéma(le vrai)................. (^^,)
Un film fort, provocant, intense, inattendu, loufoque et touchant. Un film sur le pouvoir de l'imagination, traité avec inventivité, et qui s'adresse à un public prêt à tout pour rêver. Boudé par la critique ? Tant mieux, il n'en sera que plus précieux...
Un film personnel et inacessible. Pour garder son public (et trouver des financeurs), Gilliam ferait bien de rythmer un peu la structure de ses histoires. Long, dérangeant et pas forcément passionnant, malgré la surdouée Jodelle Ferland.
Que dire sur ce film?... habituellement friand de ce genre de récit, je suis quelque peu déçu. Le début laisse présager le meilleur mais au final, il ne se passe pas grand chose durant 1h55, ca tourne un peu en rond et certaines scènes sont très tordues, troublantes... voir presque malsaines! Mais le jeu de la gamine ainsi que la plastique de ce film sauvent les meubles... A voir une fois, éventuellement pour les curieux.
Un film qui propose de bonnes idées mais qui me dépasse par certaines scènes de bisou bisou avec un débile mental qui pourrait quasiment être sont père, ce genre de choses ne passe pas personnellement.
Terry Gillian s'est certainement fait plaisir avec ce film mais l'impression est assez mitigée . Les 20 premières minutes sont prometteuses puis on s'oriente progressivement vers des numéros d'acteurs proches du cabotinage . La petite fille joue une partition superbe et sauve le film du naufrage car il ne suffit pas de baigner dans l'onirique et les références des vieux contes pour faire un film .
J'étais impacient de voir ce film.J'ai transpiré pendant une bonne partie du film.Bien sûr, c'est un film bouleversant sur une enfance solitaire et détruite par ses parents.Un bon souvenir.
Cette relecture du conte 'Alice aux pays des merveilles' évoque la solitude et l’innocence avec beaucoup de sensibilité. Malheureusement, TIDELAND souffre d’un réel manque de contenu. Le tout est bien trop superficiel et répétitif pour parvenir à nous embarquer dans cette aventure aussi sombre que coloré où l’onirisme et la candeur y ont une place majeure. Ennuyeux et surtout très creux.
La première chose que je me suis dit à la fin du film c'est que décidément, Gilliam est très culotté. Se moquant pas mal de sa réputation dans le milieu, il se décide avec "Tideland" d'adapter ce qui parait inadaptable. Pourtant dans un premier temps, on est subjugué par le pouvoir du récit et l'intelligence de son double-regard, avec d'un côté celui de l'enfant avec son imaginaire naïf foisonnant qui ne parvient pas à comprendre le poids de la réalité et de l'autre celui de l'adulte spectateur qui pourra se demander ce que fait la DDASS pour cette gamine et sera troublé par la schizophrénie de Jeliza-Rose. Néanmoins, 1h55 : c'est vraiment trop long pour un tel film car on finit par se lasser de scènes redondantes de jeu avec les poupées notamment et il faut souligner que Gilliam se laisse encore emporté par un récit très confu et qui finalement n'aboutit sur rien, mais on s'en doutait un peu dès le début. Par ailleurs il se veut plutôt provocateur en abordant des thèmes très sensibles qui pourront choquer ceux qui regardent ce film de manière trop sérieuse (relation avec Dickens + père empaillé...). Deux points forts sont à souligner dans le film, d'abord la qualité de la photographie et des décors que ce soit dans la beauté des paysages que dans la reconstitution de la maison crasseuse ; et surtout la performance époustouflante de la jeune Jodelle Ferland qui fait preuve d'une remarquable maturité vu la complexité du rôle qu'elle interprète.