Un camp de concentration pour femmes, une directrice sadique à la poitrine démesurée, des gardiennes blondes et perverses... Un film d'exploitation très sexuel et violent. Les tortures (de la castration, au viol avec mèche enflammée, pieds écorchés etc) sont ignobles et ridicules à la fois. A l'époque, ce genre là était florissant. Ilsa est un personnage du cinéma bis devenu culte aujourd'hui (Rob Zombie lui rend hommage dans sa fausse bande annonce du projet Grinhouse de Tarantino). Avouons le, ce film était destiné à un public spécifique. Il y a du sexe (soft), de longs plans sur la poitrine de Dyanne Thorne, du gore pas mal fait, et un humour involontaire irrésistible. Et en plus c'est fauché ! les décors sont ceux utilisés dans la série Papa Schulz, les costumes sont (de source sûre) trop grands et correspondent aux costumes militaires de la guerre 14. Dans le genre bis, c'est un incontournable.
Quel film curieux. Ilsa est a la fois tortionnaire,docteur et nymphomane. Elle travaille dans un camp a des expériences de tortures entrecoupées de ses soirées "olé olé" avec des prisonniers. Sexe, torture et gore, on pourrait qualifier ce nanar d'un genre "Erotico malsain". Beaucoup de filles nues bien velues tout le long du film. Une vingtaine de prisonniers pour deux gardes et demis, font qu'il ne faut pas trop s'attarder sur la crédibilité de ce camp. D'ailleurs la révolte finale et ses combats "a la va vite", font qu'on se demande pourquoispoiler: les prisonniers ne ce sont pas échappés avant. Au bout du compte cela ne paraissait pas si compliqué que ça . A un moment j'ai pensé: "Papa Schultz va arriver". Mais finalement , non! Le film mérite tout de meme le coup d'oeil. Pas un film qu'on regarderai tous les jours.
Vraiment nul ! Une introduction mentionnant le caractère témoin de ce film ? Franchement c est n importe quoi ... réalisme historique limite, juste prétexte à des scènes de tortures et de perversions. Compliqué de tenir l ensemble du film tellement c est nul. À ranger aux oubliettes
Ce film est très con mais très bon. L'histoire : une SS qui torture des femmes dans un camp de concentration pour montrer qu'elle peuvent résister parfois plus longtemps que les hommes et donc leur être supérieures (féminisme très "seventies" vous trouvez pas ?). Enfin, même 30 ans après, le film n'a pas trop vieilli et ferait parfois passer certains films d'horreur d'aujourd'hui pour une franche partie de rigolade (les séquences de tortures nous font avoir mal pour ces belles gonzesses). Mention spéciale à Dianne Thorne, qui a trouvé le (seul) grand rôle dans sa carrière dans ce film qui initia la nazisploitation (ou nazi-porn) au cinéma.
Ce film est exceptionnel dans le sens ou il se révèlerait inconcevable de faire un truc du genre de nos jours... ! Attention tout de même... Ce film est extrèmement violent et donc à réserver à un public averti !
Ce film est très spécial.Il s'agit de l'histoire d'un camp d'extermination durant la seconde guerre mondiale:le camp numero 9.Cette histoire a pour centre Ilsa(mémorable dyanne Thorne),une ss qui utilise des prisonnière pour des expériences pour le troisième reich.Ce film est un mélange sexe/gore qui donne une sensation d'inutilité de par ce côté osé.Cependant,n'est ce pas ce qui le rend interessant?En effet il s'agit là du principal représentant d'un genre underground dans les années 60/70:le nazi porn.Le film a vieilli,cependant,il n'a rien perdu de sa force:les scènes de torture demeurent toujours éprouvantes.
Pour sa Liste de Schindler, certains critiques accusèrent Spielberg de transformer les camps de concentration en un spectacle mélodramatique hollywoodien. Ici, pas de quoi s'inquiéter, Don Edmonds se contente d'en faire un film érotico-gore qui semble constamment osciller entre l'envie de faire bander son spectateur le plus débauché et celle d'ébranler celui qui n'aurait pas encore l'âme totalement corrompue, bien que le simple fait de l'avoir regardé constitue un symptôme alarmant à cet égard.
Chose étonnante, Ilsa, la louve des SS n'est pas si mal foutu pour un film de ce genre. Même si la mise en scène est hasardeuse, au moins autant que le jeu des acteurs, même si l'intrigue est aberrante, le film parvient à entretenir l'intérêt de son spectateur jusqu'au bout, là où tant d'autres deviennent très rapidement chiants à mourir. L'ignominie dans laquelle baigne cette histoire devient presque fascinante.