Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Après un premier long métrage égocentrique et chaotique, Scarlet Diva, Asia Argento entre aujourd'hui, à 28 ans, dans la cour des grands avec ce film sur la maltraitance. (...) Asia n'épargne pas le spectateur. Un film dur, grave, insoutenable, qui pose des questions vraies sur notre société.
Le Monde
par Isabelle Régnier
Bien qu'employés avec parcimonie, des artifices visuels participent pleinement à la narration. Contre-plongées vertigineuses, zooms sur des détails inertes, effets d'accélération ou de floutage traduisent les malaises, émotions et autres hallucinations du jeune garçon (...) De la fange et de la peur, Asia Argento fait jaillir une lumière, petite mais intense. C'est là sa vraie réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Anthony Clément
Il y a des films éprouvants, qui hantent longtemps l'esprit. Le livre de Jérémie est de ceux-là. (...) La réussite majeure de la réalisatrice n'est pas de dépeindre avec acuité l'univers des autoroutes et des motels miteux, où se perdent les protagonistes. Le tour de force est plutôt de montrer cette horreur via le regard d'un enfant qui la subit, sans tomber dans le misérabilisme et les bons sentiments.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Vrai film punk, qui ne cherche pas à plaire, avec parfois un rien de roublardise, mais sans qu'on cesse d'avancer avec lui, porté par son audace, tenu par sa volonté d'échapper à peu près à tout. "Le Livre de Jérémie" est un film qui ne va pas avec tout, c'est sa force.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Le film est vraiment fort sur l'incarnation, la densité qu'il confère à ses personnages, la puissance des sentiments qui circulent entre eux. Dans l'élan avec lequel elle les accompagne dans leur amour fou et mortifère, Asia Argento trouve finalement un ton, un sujet, une matière qui n'appartiennent qu'à elle et transcendent la somme de fétiches underground qui pavent superficiellement son film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Le Livre de Jérémie est une force désordonnée et montre une résistance hors du commun aux coups. C'est surtout une expérience traumatisante où personne n'est montré du doigt ni condamné. Asia Argento exclut la moralité de son champ de vision, lui préférant une morale de survivante : ce qui ne tue pas la rend plus forte.
Paris Match
par Alain Spira
Aussi percutant que "Panique à Needle Park", " Dernière sortie pour Brooklyn" ou "Requiem for a dream", ce film dérangeant fait l'effet d'un bon coup de santiag là où ça fait le plus mal. C'est-à-dire à l'enfance.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Score
par Anthony Wong
Compensant sans cesse la violence des situations par des incursions dans la satire et l'onirisme (...), Le Livre de Jérémie remue autant qu'il bouleverse. Dur mais beau.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Un film difficile, mais avec d'authentiques moments de grâce.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Il plane certes une certaine autosatisfaction mais l'ensemble a le mérite de bousculer les idées reçues et d'emmener le spectateur là où il s'y attend le moins. La splendide photo d'Eric Alan Edwards, le chef-opérateur du Kids de Larry Clark, ajoute une aura supplémentaire à ce petit film bien barge : foisonnant et ultra-personnel, provocateur et singulier. Sincère et brut.
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Quelque chose fascine, mais il ne s'agit sans doute pas de l'impureté d'un montage nettoyé par une désinvolture underground, ni de l'entreprise pop ici risquée (...) Punk, c'est peut-être ainsi qu'il faut appeller l'organisation du film en juxtaposition parfois maladroite de courtes séquences autonomes et thématiques, comme des chansons calibrées sur un format de deux minutes.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette litanie des excès d'une diva des parkings n'est pas renversante en soi. Mais l'Italienne fait mouche avec un regard personnel porté sur l'Amérique. (...) On retiendra donc moins les dérapages contrôlés de l'héroïne que la capacité de la cinéaste à capter l'Amérique ordinaire, à l'instar de nombre d'Européens avant elle.
Télérama
par Frédéric Strauss
La bizarrerie et la violence de cette histoire (...) deviennent ici presque anecdotiques. Asia Argento ne s'offusque de rien : comme cette mère sous l'influence de toutes sortes de substances, elle s'égare dans des extravagances qu'elle ne semble pas mesurer. Cela donne au film un côté spontané, plus naïf que racoleur. Mais (...) Le Livre de Jérémie manque aussi de ressenti, et nous émeut bien trop peu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Charlotte Lipinska
Accrochez-vous, le film est glauquissime. Mais, aussi dur soit-il, l'instinct de survie et l'imaginaire développés par Jérémie finissent par faire mouche. (...) On en sort sonné, agacé par la surenchère trash, mais également ému par la naissance d'un amour filial qui avait pourtant tout contre lui.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Pas même l'aspérité rêche d'un ovni raté, le charme rebelle d'un affreux nanar : juste un océan de médiocrité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
par La Rédaction
Asia Argento adapte un roman autobiographique de JT Leroy. Des torrents d'images cradingues étouffent le cri de détresse qu'elle voudrait faire entendre.
Première
par Gérard Delorme
Un road-movie brinquebalant et fauché, détournant au passage le sujet du livre (le fils) à son profit : elle joue la mère indigne avec un narcissisme fascinant mais vain.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaroscope
Après un premier long métrage égocentrique et chaotique, Scarlet Diva, Asia Argento entre aujourd'hui, à 28 ans, dans la cour des grands avec ce film sur la maltraitance. (...) Asia n'épargne pas le spectateur. Un film dur, grave, insoutenable, qui pose des questions vraies sur notre société.
Le Monde
Bien qu'employés avec parcimonie, des artifices visuels participent pleinement à la narration. Contre-plongées vertigineuses, zooms sur des détails inertes, effets d'accélération ou de floutage traduisent les malaises, émotions et autres hallucinations du jeune garçon (...) De la fange et de la peur, Asia Argento fait jaillir une lumière, petite mais intense. C'est là sa vraie réussite.
MCinéma.com
Il y a des films éprouvants, qui hantent longtemps l'esprit. Le livre de Jérémie est de ceux-là. (...) La réussite majeure de la réalisatrice n'est pas de dépeindre avec acuité l'univers des autoroutes et des motels miteux, où se perdent les protagonistes. Le tour de force est plutôt de montrer cette horreur via le regard d'un enfant qui la subit, sans tomber dans le misérabilisme et les bons sentiments.
L'Obs
Vrai film punk, qui ne cherche pas à plaire, avec parfois un rien de roublardise, mais sans qu'on cesse d'avancer avec lui, porté par son audace, tenu par sa volonté d'échapper à peu près à tout. "Le Livre de Jérémie" est un film qui ne va pas avec tout, c'est sa force.
Les Inrockuptibles
Le film est vraiment fort sur l'incarnation, la densité qu'il confère à ses personnages, la puissance des sentiments qui circulent entre eux. Dans l'élan avec lequel elle les accompagne dans leur amour fou et mortifère, Asia Argento trouve finalement un ton, un sujet, une matière qui n'appartiennent qu'à elle et transcendent la somme de fétiches underground qui pavent superficiellement son film.
Libération
Le Livre de Jérémie est une force désordonnée et montre une résistance hors du commun aux coups. C'est surtout une expérience traumatisante où personne n'est montré du doigt ni condamné. Asia Argento exclut la moralité de son champ de vision, lui préférant une morale de survivante : ce qui ne tue pas la rend plus forte.
Paris Match
Aussi percutant que "Panique à Needle Park", " Dernière sortie pour Brooklyn" ou "Requiem for a dream", ce film dérangeant fait l'effet d'un bon coup de santiag là où ça fait le plus mal. C'est-à-dire à l'enfance.
Score
Compensant sans cesse la violence des situations par des incursions dans la satire et l'onirisme (...), Le Livre de Jérémie remue autant qu'il bouleverse. Dur mais beau.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un film difficile, mais avec d'authentiques moments de grâce.
aVoir-aLire.com
Il plane certes une certaine autosatisfaction mais l'ensemble a le mérite de bousculer les idées reçues et d'emmener le spectateur là où il s'y attend le moins. La splendide photo d'Eric Alan Edwards, le chef-opérateur du Kids de Larry Clark, ajoute une aura supplémentaire à ce petit film bien barge : foisonnant et ultra-personnel, provocateur et singulier. Sincère et brut.
Cahiers du Cinéma
Quelque chose fascine, mais il ne s'agit sans doute pas de l'impureté d'un montage nettoyé par une désinvolture underground, ni de l'entreprise pop ici risquée (...) Punk, c'est peut-être ainsi qu'il faut appeller l'organisation du film en juxtaposition parfois maladroite de courtes séquences autonomes et thématiques, comme des chansons calibrées sur un format de deux minutes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Cette litanie des excès d'une diva des parkings n'est pas renversante en soi. Mais l'Italienne fait mouche avec un regard personnel porté sur l'Amérique. (...) On retiendra donc moins les dérapages contrôlés de l'héroïne que la capacité de la cinéaste à capter l'Amérique ordinaire, à l'instar de nombre d'Européens avant elle.
Télérama
La bizarrerie et la violence de cette histoire (...) deviennent ici presque anecdotiques. Asia Argento ne s'offusque de rien : comme cette mère sous l'influence de toutes sortes de substances, elle s'égare dans des extravagances qu'elle ne semble pas mesurer. Cela donne au film un côté spontané, plus naïf que racoleur. Mais (...) Le Livre de Jérémie manque aussi de ressenti, et nous émeut bien trop peu.
Zurban
Accrochez-vous, le film est glauquissime. Mais, aussi dur soit-il, l'instinct de survie et l'imaginaire développés par Jérémie finissent par faire mouche. (...) On en sort sonné, agacé par la surenchère trash, mais également ému par la naissance d'un amour filial qui avait pourtant tout contre lui.
Chronic'art.com
Pas même l'aspérité rêche d'un ovni raté, le charme rebelle d'un affreux nanar : juste un océan de médiocrité.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
Asia Argento adapte un roman autobiographique de JT Leroy. Des torrents d'images cradingues étouffent le cri de détresse qu'elle voudrait faire entendre.
Première
Un road-movie brinquebalant et fauché, détournant au passage le sujet du livre (le fils) à son profit : elle joue la mère indigne avec un narcissisme fascinant mais vain.