Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ouest France
par La rédaction
Jacques Villeret si expressif et touchant dans les compositions de personnages débonnaires, simples et nature dans leur philosophie du bon sens. Cette nouvelle prestation s'inscrit dans l'ombre du François Pinon qu'il était dans le Dîner de cons. (...) Vincent de Brus, à qui les moyens n'ont visiblement pas été refusés, s'y promène sans beaucoup de frénésie pour trousser ce tranquille amusement familial à l'ancienne
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Agréable surprise, ce premier film est bien construit, plein d'entrain, et si Jacques Villeret y déploie toute la finesse qu'on lui connaît (...), Christian Clavier, mieux dirigé qu'il ne le fut parfois, s'avère constamment drôle. (...) la comédie s'essoufle dans une dernière partie alourdie de clichés, où l'invraissemblance amusante du récit devient insistance.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Christian Clavier (...) obtient là son meilleur rôle comique depuis plus de dix ans. [...] Son duo avec Villeret, parfait dans le rôle du provincial naïf et jovial, fonctionne sans fausse note, même si on peut regretter quelques relents franchouillards propres à ce type de productions (...). L?Antidote est une comédie classique, mais efficace, dont le duo mal assorti nous rappelle parfois le (...) Dîner de cons (...). Une bonne raison pour aller y jeter un coup d??il.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Certains diront, à la vision téméraire de L'Antidote (...) qu'il se passe quelque chose du côté de Christian Clavier. Pas faux. Un frémissement, pas plus, mais quelque chose : Clavier se donne du mal ces temps-ci, au moins il essaie un truc [...]. Alors ? Alors dîner de con, match retour.[...] Curieux film en définitive, mais navrant aussi, au fond très heureux de barboter avec les bouées raffarinesques que sont Villeret, Clavier et Drucker, forcément de la partie.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Comédie empoisonnante. [...] Le défaut de cet ersatz industriel est le manque de contraste entre les héros comiques, le regretté Jacques Villeret et Christian Clavier.
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Vincent de Brus a réalisé cette comédie de facture classique qui marche sur un principe que Gérard Oury et Francis Veber ont utilisé avec maestria : celui du couple, du tandem formé par deux personnages diamétralement (...). Vincent de Brus reprend cette idée de la cohabitation forcée avec de grosses ficelles. C'est du déjà-vu. Jacques Villeret (...) et Christian Clavier sont pourtant excellents dans leur numéro de duettistes, mais la mayonnaise ne prend pas.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce pourrait être amusant (le scénario est assez souvent inventif) si ce n'était mis en scène avec brutalité et lourdeur. Et si, par bonheur, l'un des gags surnage, une musique atroce (de celles qui font effectuer une descente chromatique à une trompette à sourdine pour souligner un fiasco : pouet, pouet, poueeet) se charge de l'achever.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette production musclée de Christian Fechner débute comme une parodie jamebondesque avant de révéler sa vraie ambition : cloner le cinéma de Francis Veber (...). La seule bonne piste, la caricature de Jean-Marie Messier, est à peine esquissée. Le reste, rondement mené, relève de la pure recette et manque cruellement d'âme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Nicolas Schaller
Pour une fois qu'une comédie française a de la gueule, un pitch insolite et un duo de vedettes inédit qui fonctionne, pourquoi faut-il que les situations comiques soient aussi poussives et convenues ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Cécile Mury
Une comédie poussive, ni méchante ni drôle, qui n'émeut qu'à cause de la présence de Jacques Villeret, disparu tout récemment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Dès que Clavier endosse son costume parodique de grand patron de la finance, le film bascule dans la pure tradition de la comédie française à deux têtes à la Francis Veber. Mais les frères Besnard, les scénaristes, ne possèdent pas la même verve et Vincent de Brus, le réalisateur, a une inspiration des plus mesurées. Dommage, car l'idée d'un petit comptable servant d'antidote psychologique à un requin de la finance est inattendue.
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
La disparition de Jacques Villeret promettant à L'antidote un triomphe, et puisqu'il n'est pas possible, ni après tout souhaitable, de l'empêcher, risquons plutôt une question : cette comédie peut-elle influer sur l'avenir de la droite française à l'horizon 2007 ? [...]La fracture [sociale], c'est quand on a perdu Boubi [l'ours en peluche du grand patron français représenté par le personnage de Christian Clavier]
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Se voulant cynique et gentiment acerbe vis-à-vis du monde de la haute finance, le scénario ne fait qu'accumuler les clichés (...). Jamais le film ne parvient à être méchant ou grinçant mais finit par sombrer dans le vaudeville le plus commun (...). Les multiples références au Dîner de cons ne font qu'amplifier la douloureuse impression d'assister à un spectacle sans personnalité ni originalité... Du cinéma à papa inutile et ennuyeux qui n'a même pas l'avantage d'être drôle !
Paris Match
par Alain Spira
Difficile de trouver un scénario plus tiré par les cheveux. Ce film, c'est du sous-Francis Veber, interprété par un Christian Clavier qui fait du sous-Louis de Funès et par le regretté Villeret qui fait du sous-"Dîner de cons". Bref, c'est en dessous de tout.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
L'association de Clavier (...) et de Jacques Villeret (...) promettait des étincelles. Hélas le scénario se révèle d'une ringardise pathétique et renvoie à un cinéma franchouillard qu'on croyait mort et enterré.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ouest France
Jacques Villeret si expressif et touchant dans les compositions de personnages débonnaires, simples et nature dans leur philosophie du bon sens. Cette nouvelle prestation s'inscrit dans l'ombre du François Pinon qu'il était dans le Dîner de cons. (...) Vincent de Brus, à qui les moyens n'ont visiblement pas été refusés, s'y promène sans beaucoup de frénésie pour trousser ce tranquille amusement familial à l'ancienne
Télé 7 Jours
Agréable surprise, ce premier film est bien construit, plein d'entrain, et si Jacques Villeret y déploie toute la finesse qu'on lui connaît (...), Christian Clavier, mieux dirigé qu'il ne le fut parfois, s'avère constamment drôle. (...) la comédie s'essoufle dans une dernière partie alourdie de clichés, où l'invraissemblance amusante du récit devient insistance.
aVoir-aLire.com
Christian Clavier (...) obtient là son meilleur rôle comique depuis plus de dix ans. [...] Son duo avec Villeret, parfait dans le rôle du provincial naïf et jovial, fonctionne sans fausse note, même si on peut regretter quelques relents franchouillards propres à ce type de productions (...). L?Antidote est une comédie classique, mais efficace, dont le duo mal assorti nous rappelle parfois le (...) Dîner de cons (...). Une bonne raison pour aller y jeter un coup d??il.
Chronic'art.com
Certains diront, à la vision téméraire de L'Antidote (...) qu'il se passe quelque chose du côté de Christian Clavier. Pas faux. Un frémissement, pas plus, mais quelque chose : Clavier se donne du mal ces temps-ci, au moins il essaie un truc [...]. Alors ? Alors dîner de con, match retour.[...] Curieux film en définitive, mais navrant aussi, au fond très heureux de barboter avec les bouées raffarinesques que sont Villeret, Clavier et Drucker, forcément de la partie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Comédie empoisonnante. [...] Le défaut de cet ersatz industriel est le manque de contraste entre les héros comiques, le regretté Jacques Villeret et Christian Clavier.
Le Figaroscope
Vincent de Brus a réalisé cette comédie de facture classique qui marche sur un principe que Gérard Oury et Francis Veber ont utilisé avec maestria : celui du couple, du tandem formé par deux personnages diamétralement (...). Vincent de Brus reprend cette idée de la cohabitation forcée avec de grosses ficelles. C'est du déjà-vu. Jacques Villeret (...) et Christian Clavier sont pourtant excellents dans leur numéro de duettistes, mais la mayonnaise ne prend pas.
Le Monde
Ce pourrait être amusant (le scénario est assez souvent inventif) si ce n'était mis en scène avec brutalité et lourdeur. Et si, par bonheur, l'un des gags surnage, une musique atroce (de celles qui font effectuer une descente chromatique à une trompette à sourdine pour souligner un fiasco : pouet, pouet, poueeet) se charge de l'achever.
Les Inrockuptibles
Cette production musclée de Christian Fechner débute comme une parodie jamebondesque avant de révéler sa vraie ambition : cloner le cinéma de Francis Veber (...). La seule bonne piste, la caricature de Jean-Marie Messier, est à peine esquissée. Le reste, rondement mené, relève de la pure recette et manque cruellement d'âme.
Première
Pour une fois qu'une comédie française a de la gueule, un pitch insolite et un duo de vedettes inédit qui fonctionne, pourquoi faut-il que les situations comiques soient aussi poussives et convenues ?
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Une comédie poussive, ni méchante ni drôle, qui n'émeut qu'à cause de la présence de Jacques Villeret, disparu tout récemment.
Zurban
Dès que Clavier endosse son costume parodique de grand patron de la finance, le film bascule dans la pure tradition de la comédie française à deux têtes à la Francis Veber. Mais les frères Besnard, les scénaristes, ne possèdent pas la même verve et Vincent de Brus, le réalisateur, a une inspiration des plus mesurées. Dommage, car l'idée d'un petit comptable servant d'antidote psychologique à un requin de la finance est inattendue.
Cahiers du Cinéma
La disparition de Jacques Villeret promettant à L'antidote un triomphe, et puisqu'il n'est pas possible, ni après tout souhaitable, de l'empêcher, risquons plutôt une question : cette comédie peut-elle influer sur l'avenir de la droite française à l'horizon 2007 ? [...]La fracture [sociale], c'est quand on a perdu Boubi [l'ours en peluche du grand patron français représenté par le personnage de Christian Clavier]
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Se voulant cynique et gentiment acerbe vis-à-vis du monde de la haute finance, le scénario ne fait qu'accumuler les clichés (...). Jamais le film ne parvient à être méchant ou grinçant mais finit par sombrer dans le vaudeville le plus commun (...). Les multiples références au Dîner de cons ne font qu'amplifier la douloureuse impression d'assister à un spectacle sans personnalité ni originalité... Du cinéma à papa inutile et ennuyeux qui n'a même pas l'avantage d'être drôle !
Paris Match
Difficile de trouver un scénario plus tiré par les cheveux. Ce film, c'est du sous-Francis Veber, interprété par un Christian Clavier qui fait du sous-Louis de Funès et par le regretté Villeret qui fait du sous-"Dîner de cons". Bref, c'est en dessous de tout.
TéléCinéObs
L'association de Clavier (...) et de Jacques Villeret (...) promettait des étincelles. Hélas le scénario se révèle d'une ringardise pathétique et renvoie à un cinéma franchouillard qu'on croyait mort et enterré.