Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Un film indispensable où apprentissage et constat social se mêlent subtilement. (...) Andrés Wood montre enfin comment explose la barbarie quand le pouvoir est au bout du fusil, et lorsqu'il n'y a plus rien à faire, reste toujours le choix d'être fidèle à soi-même.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
C'est poignant, fort, réaliste. La critique du monde adulte vue à travers le regard d'un enfant.
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La Rédaction
L'exercice est aussi classique que périlleux, mais Andrès Wood, qui ne cache pas ses références à François Truffaut et à Louis Malle, s'en sort avec une sensible efficacité, puisée notamment à la source de ses souvenirs personnels. (...) Il met de la subtilité, de la vigueur et de la spontanéité dans le mouvement de ses jeunes héros vers un éveil aux réalités de la vie et de leur pays.
Paris Match
par Christine Haas
Le talent des jeunes comédiens, authentiques et bouleversants, contribue à l'émotion d'un récit à la lisière des rêves et de l'âpre réalité d'une époque.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Score
par V. McKay
Sous ses airs de portrait cru d'une époque charnière, Machuca dissimule la colère d'un peuple dans les larmes d'un récit émouvant et populaire. Une autre manière, habile, d'aborder la politique-fiction.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Emouvant, puis, vers la fin, bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Entre drame politique et comédie d'initiation, le film trouve un point d'équilibre presque intuitif et réussit à fusionner les nombreux éléments de son propos en un ensemble harmonieux, allègre et poignant (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette manière décalée d'aborder la réalité historique fait toute l'originalité du film, même si on peut regretter que le passage des destins individuels à l'histoire collective manque un peu de lyrisme. Mais, jusque dans les moments les plus convenus, Andrés Wood garde cette générosité du regard où l'on sent l'influence (revendiquée) de Truffaut et de Louis Malle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Addison de Witt
Fortement imprégné de souvenirs autobiographiques, le film réussit la gageure d'éviter tout didactisme (...). On sourit à la manifestation anti-Allende des mères de famille huppées, et il est difficile de ne pas pleurer lors d'une scène en hommage à Au revoir les enfants. (...) Une bonne occasion de se replonger dans les tourments de l'époque.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Cinéma gentil, mais qu'on n'aime pas vraiment tant rien ne vient heurter l'assemblage mélo + bouilles de gosses + leçon d'histoire pour les nuls (le cinéma qu'on aime, lui, est fait de heurts et de dérangements).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinéastes
par Caroline Veunac
L'ombre de l'académisme planait sur le thème choisi par Andrés Wood pour son troisième long-métrage. Au final, le réalisateur chilien n'y échappe pas toujours complètement, mais sauve tout de même la mise. Il y a du bon et du moins bon, du nouveau et du déjà-vu dans Mon ami Machuca.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un joli film de qualité, bien peigné, avec musique néoclassique à la clarinette. Au-delà de sa dimension politiquement correcte (...) ce n'est qu'un petit film rétro seventies parmi d'autres. On préfère d'ailleurs les scènes les plus pop -la boum avec Black is black- aux séquences tire-larmes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Samuel Douhaire
Dans le registre du film initiatique, Mon Ami Machuca fait souvent penser à Au revoir les enfants de Louis Malle, qu'il cite : mêmes scènes d'école entre amitié et vacheries, même pari de se limiter au seul point de vue d'un petit garçon qui découvre le monde des adultes, ses émancipations et ses horreurs
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Rien de bien surprenant dans ce film à la facture classique. (...) Machuca reste un film intéressant mais pas passionnant.
Positif
par Grégory Valens
Le film peine tout d'abord à convaincre : les personnages sont trop éloignés pour qu'on puisse adhérer sans réserve à l'intrigue, et le cinéaste n'évite pas l'écueil de la caricature (...). En revanche, à mesure que la situation politique se durcit et que le film imbrique réellement les affaires personnelles aux rapports de classe, Mon ami Machuca se pare d'une émotion qui culmine dans les séquences finales.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
Pour Andrès Wood, émule latino de Truffaut, ce qui compte, c'est les hormones, l'insouciance de la jeunesse et cette relation que la société essaie d'écraser.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
Un film indispensable où apprentissage et constat social se mêlent subtilement. (...) Andrés Wood montre enfin comment explose la barbarie quand le pouvoir est au bout du fusil, et lorsqu'il n'y a plus rien à faire, reste toujours le choix d'être fidèle à soi-même.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
C'est poignant, fort, réaliste. La critique du monde adulte vue à travers le regard d'un enfant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
L'exercice est aussi classique que périlleux, mais Andrès Wood, qui ne cache pas ses références à François Truffaut et à Louis Malle, s'en sort avec une sensible efficacité, puisée notamment à la source de ses souvenirs personnels. (...) Il met de la subtilité, de la vigueur et de la spontanéité dans le mouvement de ses jeunes héros vers un éveil aux réalités de la vie et de leur pays.
Paris Match
Le talent des jeunes comédiens, authentiques et bouleversants, contribue à l'émotion d'un récit à la lisière des rêves et de l'âpre réalité d'une époque.
Score
Sous ses airs de portrait cru d'une époque charnière, Machuca dissimule la colère d'un peuple dans les larmes d'un récit émouvant et populaire. Une autre manière, habile, d'aborder la politique-fiction.
Télé 7 Jours
Emouvant, puis, vers la fin, bouleversant.
TéléCinéObs
Entre drame politique et comédie d'initiation, le film trouve un point d'équilibre presque intuitif et réussit à fusionner les nombreux éléments de son propos en un ensemble harmonieux, allègre et poignant (...).
Télérama
Cette manière décalée d'aborder la réalité historique fait toute l'originalité du film, même si on peut regretter que le passage des destins individuels à l'histoire collective manque un peu de lyrisme. Mais, jusque dans les moments les plus convenus, Andrés Wood garde cette générosité du regard où l'on sent l'influence (revendiquée) de Truffaut et de Louis Malle.
Zurban
Fortement imprégné de souvenirs autobiographiques, le film réussit la gageure d'éviter tout didactisme (...). On sourit à la manifestation anti-Allende des mères de famille huppées, et il est difficile de ne pas pleurer lors d'une scène en hommage à Au revoir les enfants. (...) Une bonne occasion de se replonger dans les tourments de l'époque.
Chronic'art.com
Cinéma gentil, mais qu'on n'aime pas vraiment tant rien ne vient heurter l'assemblage mélo + bouilles de gosses + leçon d'histoire pour les nuls (le cinéma qu'on aime, lui, est fait de heurts et de dérangements).
Cinéastes
L'ombre de l'académisme planait sur le thème choisi par Andrés Wood pour son troisième long-métrage. Au final, le réalisateur chilien n'y échappe pas toujours complètement, mais sauve tout de même la mise. Il y a du bon et du moins bon, du nouveau et du déjà-vu dans Mon ami Machuca.
Les Inrockuptibles
Un joli film de qualité, bien peigné, avec musique néoclassique à la clarinette. Au-delà de sa dimension politiquement correcte (...) ce n'est qu'un petit film rétro seventies parmi d'autres. On préfère d'ailleurs les scènes les plus pop -la boum avec Black is black- aux séquences tire-larmes.
Libération
Dans le registre du film initiatique, Mon Ami Machuca fait souvent penser à Au revoir les enfants de Louis Malle, qu'il cite : mêmes scènes d'école entre amitié et vacheries, même pari de se limiter au seul point de vue d'un petit garçon qui découvre le monde des adultes, ses émancipations et ses horreurs
MCinéma.com
Rien de bien surprenant dans ce film à la facture classique. (...) Machuca reste un film intéressant mais pas passionnant.
Positif
Le film peine tout d'abord à convaincre : les personnages sont trop éloignés pour qu'on puisse adhérer sans réserve à l'intrigue, et le cinéaste n'évite pas l'écueil de la caricature (...). En revanche, à mesure que la situation politique se durcit et que le film imbrique réellement les affaires personnelles aux rapports de classe, Mon ami Machuca se pare d'une émotion qui culmine dans les séquences finales.
Première
Pour Andrès Wood, émule latino de Truffaut, ce qui compte, c'est les hormones, l'insouciance de la jeunesse et cette relation que la société essaie d'écraser.