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Cohle.
54 abonnés
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5,0
Publiée le 21 avril 2011
Le premier long-métrage de Kim Jee Woon est malheureusement trop méconnu, hors c'est une perle ! Jouissif, The quiet family est une comédie noire excellente et macabre à souhait, et qui n'aurait strictement rien à envier à une œuvre des frères Coen. Si vous aimez le cinéma Coréen et surtout l'humour noir, hâtez-vous de vous le procurer.
Humour noir et délire macabre dans ce film avec Choi Min Sik et Song Kang Ho, deux grosses pointures du cinéma coréen. On prend plaisir à voir l'enchaînement malheureux et le pétage de plomb des différents membres de famille durant tout le film. Encore un bon film (sorti en 1998) du réalisateur Kim Jee-Woon qui s'impose aujourd'hui de plus en plus comme un des acteurs majeur du dynamisme cinématographique coréen. À découvrir...
Premier film du grand réalisateur Coréen Kim Jee-Woon et pour ses débuts il s'attaque a une comédie noir remplit de situations de plus en plus déjantés et nous offres en plus de ça un casting des plus merveilleux avec Choi Min-Sik( Old Boy ) ou encore le grand Song Kang-ho ( Memories of Murder ) . Les acteurs nous montre des talents comique excellent ( Surtout Song Kang-ho ) L'histoire est simple une famille rachète un hôtel au fin fond de nul part mais personne ne vient , sauf un jour ou un homme vient pour se suicider et a partir de là les cadavres vont commencer a s'empiler .
Si vous n'aimez pas l'humour noir passez votre chemin car il n'y a que ça, au contraire si vous adorez vous serez servi, les situations de plus en plus barrés s'enchainent suivi de pétages de plomb pour les personnages , tandis que le spectateur lui hurle de rire , c'est donc une comédie aussi drôle que macabre . Étant le premier film de Kim Jee Woon, il y a quelques défauts comme cette photographie pas super belle et ce coté répétitif vers la fin , mais dans l'ensemble c'est une très bonne comédie a l'humour noir , drôle de bout en bout et au interprétation sans faille .
Je connais très peu Kim ki-Duk, et pas du tout Hong Sang-soo. Avant, pourquoi pas, de découvrir ces deux auteurs, Jee-Won Kim est le dernier représentant de la nouvelle-vague coréenne auquel je compte m'intéresser. Sur le papier, son premier long-métrage pourrait rappeler Shining (un cercle familial confronté à la mort dans un hôtel nouvellement investi qui semble hanté par le malheur). Pourtant, loin s'en faut que The Quiet Family confirme cette possible piste de développement, évoquant plutôt Shallow Grave, bien que très vaguement là-aussi, et surtout davantage l'humour noir des Coen. Apparemment bâti sur cet unique argument, bien insuffisant pour convaincre dans un premier temps, ce premier long-métrage paraît pendant un bon tiers ne pas vraiment tenir la route. Mais il faut s'avérer patient, car ses ressorts comiques tiennent surtout à un effet d'accumulation, et s'avèrent en fin de compte assez efficace pour attirer la sympathie. Au-delà de quelques sourires pourtant, je ne retiendrai pas grand chose de cette oeuvre clairement trop peu incisive pour qu'on aille plus loin avec elle. Je salue quand même une certaine volonté de toujours tenter de proposer quelque chose de vraiment cinématographique, en respectant beaucoup de codes de mise en scène sans pour autant les plaquer de façon trop brute sur la pellicule. Malgré tout, et surtout dans un cinéma coréen en constante recherche visuelle, The Quiet Family demeure techniquement très anecdotique. On sent pourtant un certain plaisir reconnaissant à être là, à filmer. Et ça, c'est ce qui me rend ce premier film de Jee-Won Kim, malgré sa banalité, extrêmement sympathique.
Ce film me fait penser à du Guy Ritchie en début de carrière, mais avec un rythme un peu moins entraînant. Les situations sont très bonnes, bien trouvées mais l'humour n'est pas excpetionnel; et c'est pourtant le registre largement dominant de ce film.
Premier film du réalisateur coréen Kim Jee-woon, "The Quiet Family" est une comédie noire mettant en scène une famille déjantée mais attachante à des rebondissements délirants. En tant que premier long métrage, la réalisation du cinéaste coréen présente pas mal de défaut (tant dans la mise en scène que dans la photo) et n'a rien de l'excellence dont il nous habituera par la suite. Toutefois, les bases sont présentes. Quant au casting, on retrouve les deux acteurs de talent que sont Song Kang-ho (acteur phare du cinéaste) et Choi Min-sik. Bien qu'imparfait, "The Quiet Family" est un bon film qui mérite que l'on s'y attarde.
Premier film du génial Kim Jee-woon, "The Quiet Family" est un petit bijou de comédie noire et absurde, parfois burlesque avec des aspects de théâtre de boulevards par l'enchaînement des situations et le lieu quasi-unique. Le cinéaste commence à dévoiler son style (le superbe premier plan) sans encore le trouver en terme de mise en scène. Le scénario, invraisemblable, est un pur régal ainsi que l'interprétation et la bande-originale.
Premier long-métrage pour Kim Jee-woon, bien avant de se faire connaître au-delà de la Corée du Sud, avec des films tels que 2 soeurs (2003), A Bittersweet Life (2005), Le bon, la brute et le cinglé (2008) ou encore J'ai rencontré le diable (2010).
Une famille s’installe en pleine montagne, perdu au milieu de nulle part. Ils viennent de racheter un hôtel et ne s’attendaient pas à ce que leur gite devienne le lieu de la « dernière heure » (entendez par-là que les gens viennent s’y suicider, au calme, loin du tumulte de la ville. À l’image de la forêt d’Aokigahara réputée au Japon pour ses innombrables suicides).
La pauvre famille Kang se retrouve obligée de cacher les corps par tous les moyens s’ils veulent préserver leur business (qui ne semble pas vouloir décoller… en dehors des 2 ou 3 pèlerins qui s’y aventurent ou plutôt, qu’y suis suicident).
Au programme : humour noir, grand guignolesque et situations absurdes sont au cœur de cette histoire loufoque, voir abracadabrantesque, tant les situations les plus folles s’enchaîne les unes après les autres, avec parfois, pas voir peu de cohérence. Et c’est bien cela qui pose problème, à trop vouloir en faire, Kim Jee-woon finit rapidement par nous perdre en court de route, trop de personnages qui se télescopent, trop d’intrigues et de sous-intrigues.
On finit rapidement par s’emmêler les pinceaux et ne plus trop s’y retrouver avec la multitude de personnages. Mais ne boudons pas notre plaisir pour autant, le film détonne agréablement avec sa B.O. rock 'n' roll et pour un 1er film, on sent clairement le potentiel du jeune réalisateur (quand on voit ce qu’il aura été capable de faire par la suite, cela impose le respect).
Pour la petite anecdote, le film a eu droit à un (décevant) remake avec La Mélodie du malheur (2001) du cinéaste japonais Takashi Miike.
Une chose est sûre, c'est que cette famille tranquille ne l'est pas vraiment, malgré le titre qui se révèle ironique. Pour sa défense, ce n'est pas vraiment de sa faute, puisqu'elle subit de mauvais hasards et des quiproquos. Aussi, elle a du mal à conserver le calme de son auberge. Il s'agit plus d'une comédie que d'un film d'horreur, même si l'on voit un peu de sang. Je lui accorde cette note pour son originalité.
Le premier film de Kim Jee-woon, avec Song Kang-ho et Choi Min-sik en vedettes. Une petite comédie (sanglante) à l'humour noir qui fonctionne plutôt bien mais qui manque de rythme. Un premier essai plutôt réussi, mais il fera bien mieux par la suite.
Ce film se déroule quasi exclusivement dans un hôtel qui vient d’ouvrir ses portes et qui se situe sur un chemin de randonnée. Les 1ers rares clients qui y passent la nuit sont retrouvés morts dans leurs chambres le lendemain par les propriétaires de l’hôtel. Les personnages (les parents, les 2 filles, le fils et l’oncle), et les situations sont assez improbables et grotesques mais cela participe au comique (à l’exception de quelques petites incohérences). Le film ne présente pas un intérêt majeur mais c’est un divertissement pendant lequel on ne s’ennuie pas.
Cela reprend le thème de « L’auberge rouge » (1951) de Claude Autant-Lara mais avec des hôteliers qui, au départ, n’ont pas l’intention d’éliminer leurs clients. C’est très drôle et proche du Grand Guignol.
Premier film de Kim jee woon ( Le réal qui m'a fait découvrir se qui deviendra une passion qui dure depuis 3 ans, le cinéma asiatique, c'est à dire si j'espérais de ce film) et on en ressort mitigé (et oui...). Passons le cas Sang Kong-ho et Choi Min-sik qui crèvent tout simplement l'écran (les deux meilleurs acteurs coréens au passage...), prenons le cas du film en lui même techniquement et scénaristiquement parlant. L'impression que l'on a en finissant ce film c'est que c'est une oeuvre de débutant, et que le film, malgrès ses qualités et maladroit dans beaucoup de moments et dans tout les domaines. Même si le style Jee-Woon est un peu déjà là (La lenteur et la tendance aux ruptures de rythme qui est sans rapeller Kitano, mais ici dans le style "film d'horreur" tendre à Jee Woon), et quand on sait se qu'il fera après on peut que déjà applaudir ce fil bien symphatique et tout de même bien marrant. On passe un bon moment!
Avec the quiet family, j'espérais embarquer pour une comédie un peu sombre et loufoque. Mais je me suis retrouvé face à une histoire assez ennuyeuse de bout en bout. Les personnages sont guère attachants et on ne se prend vraiment d'affection pour aucun d'entre eux.
Dans cette auberge reculée de tous, on se retrouve dans une suite de quiproquos morbides. Assez vite, la pile de cadavres s'accumule et les ennuis pour les tenanciers de l'auberge finissent par presser avec l'annonce de travaux pour faire passer une route sur leur passage.
On finit aussi par se perdre entre tous ces personnages secondaires et ces sous intrigues. L'accumulation de situations absurdes et incohérentes m'ont totalement sorti de l'histoire.