Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Télérama
par Jacques Morice
Le plaisir éprouvé doit beaucoup aux demoiselles, Isabelle Pirès et Veroushka Knoge, ces inconnues craquantes, qui jouent de leurs différences. Mouret sait les filmer, saisir une humeur changeante, un sentiment qui épanouit Fleur embellit au fil des séquences. Divinement captée aussi, la lumière (bravo au chef op, Djibril Glissant) de craie, d'or ou bleu parme. Oui, ce petit film est un ravissement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
A voir Vénus et Fleur, le résultat est mitigé : film parfaitement plaisant et parfaitement rafraîchissant, parfaitement réussi de ce point de vue, mais aussi un film mue par aucun effort de faire bouger ce qui est posé comme acquis. Rien de bien grave, donc, autant se laisser porter par la légèreté de cet éloge du farniente et du grand amour. Plus fleur que Vénus.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Une jolie balade dans un monde gentiment passéiste où les jeunes gens rougiraient au regard de l'autre, se livreraient à de délicieux marivaudages avec des dialogues chantants. Voilà une oeuvre qui louche du côté de Rohmer, en mineur, mais qui a un charme acidulé. Les deux actrices principales, Verouschka Knoge et Isabelle Pirès, ne sont pas pour rien dans cette réussite.
Le Monde
par Florence Colombani
Tout dans Vénus et Fleur évoque furieusement ce grand cinéaste des sentiments qu'est Eric Rohmer : l'attention aimante pour des personnages de jeunes filles, le sérieux dans le marivaudage, cette atmosphère de vacances où se joue toute une vie, la morale stricte, qui veut que la plus idéaliste soit récompensée et que l'autre, trop prisonnière des contingences de la vie matérielle, reste solitaire... Vénus et Fleur apparaît comme un heureux croisement, en mode mineur, de Ma nuit chez Maud et du Genou de Claire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une comédie à la fois drôle et cruelle, qui exprime une vraie joie de faire du ciném.
Libération
par Didier Peron
Il y a quelque chose d'assez beau dans le film, un éloge de la timidité qui résonne complètement à contre-courant d'une époque agressivement vouée à une jeunesse exhibitionniste et faussement désinhibée. En un sens, Venus et Fleur gèrent les restes, récupère les miettes du festin de la télé-réalité, matière pour une sorte de "pain perdu" filmique imbibé de lait au miel. Un bon film pour commencer l'été dans de bonnes dispositions.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
S'il ne renouvelle pas vraiment le genre de la chronique de vacances douce-amère, c'est un divertissement diablement réjouissant sous ses allures sages.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Mouret tire le meilleur de ses actrices et enregistre sur bobine quelques beaux moments de vérité. En pleine période de cynisme et de trashitude, le recours à la fable naïve (nom des personnages, simplicité des situations...) a par ailleurs quelque chose de subversif et de rafraîchissant.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Alexis Trosset
Tels des instruments désaccordés, les comédiens jouent de concert pour énoncer un texte que l'on peut trouver plat et dévitalisé si l'on déteste le genre, ou spirituel et stimulant si on l'apprécie.
Aden
par La rédaction
Entre la sitcom décapée à l'acide nouvelle vague et la similicopie délavée d'un Rohmer période Reinette et Mirabelle (pas la meilleure, mais avec un charme certain pour les amateurs), Vénus et Fleur a l'air d'un film qui se réveille d'une longue sieste au soleil : tout y est plus lent, plus fumeux, plus pâteux qu'à l'ordinaire. Aussi vivifiant qu'une infusion de thym.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Frodon
Ce qu'on pourrait appeler le "Rohmerage" a autant de rapport avec le cinéma de Rohmer que le marivaudage avec le théâtre de Marivaux.
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Avec VENUS ET FLEUR, le cinéma d'Emmanuel Mouret s'étiole. Ce qui faisait le charme et la fraîcheur de PROMENE-TOI DONC TOUT NU s'envole ici bien vite. En effet, son nouveau film est tristement fade et manque d'épaisseur, car la légèreté affichée du projet ne séduit pas. (...) Après LAISSONS LUCIE FAIRE, on constate qu'Emmanuel Mouret gagnerait à enrichir son écriture pour ses longs métrages. Attendons le prochain.
Télérama
Le plaisir éprouvé doit beaucoup aux demoiselles, Isabelle Pirès et Veroushka Knoge, ces inconnues craquantes, qui jouent de leurs différences. Mouret sait les filmer, saisir une humeur changeante, un sentiment qui épanouit Fleur embellit au fil des séquences. Divinement captée aussi, la lumière (bravo au chef op, Djibril Glissant) de craie, d'or ou bleu parme. Oui, ce petit film est un ravissement.
Chronic'art.com
A voir Vénus et Fleur, le résultat est mitigé : film parfaitement plaisant et parfaitement rafraîchissant, parfaitement réussi de ce point de vue, mais aussi un film mue par aucun effort de faire bouger ce qui est posé comme acquis. Rien de bien grave, donc, autant se laisser porter par la légèreté de cet éloge du farniente et du grand amour. Plus fleur que Vénus.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Une jolie balade dans un monde gentiment passéiste où les jeunes gens rougiraient au regard de l'autre, se livreraient à de délicieux marivaudages avec des dialogues chantants. Voilà une oeuvre qui louche du côté de Rohmer, en mineur, mais qui a un charme acidulé. Les deux actrices principales, Verouschka Knoge et Isabelle Pirès, ne sont pas pour rien dans cette réussite.
Le Monde
Tout dans Vénus et Fleur évoque furieusement ce grand cinéaste des sentiments qu'est Eric Rohmer : l'attention aimante pour des personnages de jeunes filles, le sérieux dans le marivaudage, cette atmosphère de vacances où se joue toute une vie, la morale stricte, qui veut que la plus idéaliste soit récompensée et que l'autre, trop prisonnière des contingences de la vie matérielle, reste solitaire... Vénus et Fleur apparaît comme un heureux croisement, en mode mineur, de Ma nuit chez Maud et du Genou de Claire.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Une comédie à la fois drôle et cruelle, qui exprime une vraie joie de faire du ciném.
Libération
Il y a quelque chose d'assez beau dans le film, un éloge de la timidité qui résonne complètement à contre-courant d'une époque agressivement vouée à une jeunesse exhibitionniste et faussement désinhibée. En un sens, Venus et Fleur gèrent les restes, récupère les miettes du festin de la télé-réalité, matière pour une sorte de "pain perdu" filmique imbibé de lait au miel. Un bon film pour commencer l'été dans de bonnes dispositions.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
S'il ne renouvelle pas vraiment le genre de la chronique de vacances douce-amère, c'est un divertissement diablement réjouissant sous ses allures sages.
aVoir-aLire.com
Mouret tire le meilleur de ses actrices et enregistre sur bobine quelques beaux moments de vérité. En pleine période de cynisme et de trashitude, le recours à la fable naïve (nom des personnages, simplicité des situations...) a par ailleurs quelque chose de subversif et de rafraîchissant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Tels des instruments désaccordés, les comédiens jouent de concert pour énoncer un texte que l'on peut trouver plat et dévitalisé si l'on déteste le genre, ou spirituel et stimulant si on l'apprécie.
Aden
Entre la sitcom décapée à l'acide nouvelle vague et la similicopie délavée d'un Rohmer période Reinette et Mirabelle (pas la meilleure, mais avec un charme certain pour les amateurs), Vénus et Fleur a l'air d'un film qui se réveille d'une longue sieste au soleil : tout y est plus lent, plus fumeux, plus pâteux qu'à l'ordinaire. Aussi vivifiant qu'une infusion de thym.
Cahiers du Cinéma
Ce qu'on pourrait appeler le "Rohmerage" a autant de rapport avec le cinéma de Rohmer que le marivaudage avec le théâtre de Marivaux.
MCinéma.com
Avec VENUS ET FLEUR, le cinéma d'Emmanuel Mouret s'étiole. Ce qui faisait le charme et la fraîcheur de PROMENE-TOI DONC TOUT NU s'envole ici bien vite. En effet, son nouveau film est tristement fade et manque d'épaisseur, car la légèreté affichée du projet ne séduit pas. (...) Après LAISSONS LUCIE FAIRE, on constate qu'Emmanuel Mouret gagnerait à enrichir son écriture pour ses longs métrages. Attendons le prochain.