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Tonton Twan
5 abonnés
192 critiques
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0,5
Publiée le 18 avril 2020
"À la poursuite du diamant vert". ou "Ce jour là Indiana Jones était en RTT"
20 ans après le Film de De Broca, Zemmekis fait son "Homme de Rio" à lui avec : "à la poursuite du Diamant vert"... Bon, c'est fait... Mais 20 ans trop tard... Ce film est souvent comparé avec Indiana Jones qui a été tourné 4 ans avant... Certes, mais dans les faits il est plus proche d'un Allan Quatermain et les mines du roi Salomon qui sortira un an plus tard... Reste que, n'en déplaise à tout Hollywood, De Broca a été le premier...
ça reste une comédie d'aventure pour les filles t'as qu'à voir le Pitch : l'héroïne c'est Barbie serveuse qui par dans la jungle pour retrouver sa soeur kidnappée.... Se foutant dans la mouise toute seule, elle rencontre un beau blond (David Getta imitant Indiana Jones) qui (sans la dépouiller ou lui faire subir les derniers outrages) va l'aider alors qu'elle se fait poursuivre par un Magnum de chez Lidl et le jumeau à Schwarzy (selon Reitman et Gilbert Montagné)... Ce décalage entre la fille de la ville et la jungle va être l'occasion de plusieurs scènes à l'humour cocasse qui montre bien la puissance du girl power dans les 80's... Barbie tilte avec retard qu'elle a en sa possession une carte au trésor qui la mène à la fois à un diamant vert qui s'appelle "El corazon" et à l'amour... C'est limite si à la fin quand ils s'embrassent Barbie et David Guetta ne sont pas entourés de lapins roses qui gambadent gaiement...
Combien de dizaines de fois l'ai je vu jusqu'à en user ma cassette VHS (à l'époque ... Ouais ! chuis vieux). Beaucoup de personnes l'on comparé à tord à "Indiana Jones" qui est un (très bon) film d'aventure avec une petite romance mais que l'on peut enlever sans que cela le dénature vraiment. A la poursuite du diamant vert c'est plutôt une romance sur fond d'aventure (titre original : Romancing the stone) comme Hollywood a su en pondre des centaines entre l'après (2nd) guerre mondiale et la fin des années soixante après il faut reconnaitre que la sortie de ce type de films s'est vachement tarie. J'adore ce film qui avant de se faire détrôner par "Cloud Atlas" est très longtemps (oui ! je suis décidément très vieux) resté mon film culte et je manquerais vraiment d'objectivité si je devais le décrire tellement j'aurais tendance à saturer mon texte de superlatifs lors je dirais juste ceci : à ceux qui ont su garder une âme romantique et qui aiment les comédies bourrées d'humour, tentez le coup je ne pense pas que vous serez déçus.
Deux ans après le premier Indiana Jones et quelques mois avant la sortie de l’opus suivant, ce film s’inscrit dans la mouvance des films d’aventure des 80’s. Dans l’imposante production américaine du genre surfant sur la vague à cash ; celui-là se démarque largement d’une belle médiocrité ambiante (Allan Quatermain et consort…). Logique car il est le point de départ de la carrière d’un grand réalisateur US de films populaire à spectacle : Robert Zemeckis. Spielberg avait eu le nez creux en misant sur cette jeune pousse qui après ce film réalisera sa magnifique trilogie fantastique : « Retour vers le futur ». Dès la première scène, ce film nous surprend ; même si en tant que cinéphile averti, les références au cinéma français (cocorico) antérieur à ce film viennent rapidement en tête et plus particulièrement De Broca avec « L’homme de Rio » (1964) et « Le magnifique » (1973). Un peu de chauvinisme de nuit pas ; surtout que ces deux films sont de très grande qualité. Du « Magnifique » ; on retrouve ici ce qui fait le sel de ce film et tranche avec Indy : une femme auteur vivant dans un monde romancé confrontée à vivre des histoires qu’elle aurait pu imaginer. Parfait le récit initiatique. Mieux encore, Zemeckis fait évoluer à merveille ce personnage jouée par une Kathleen Turner très inspirée. Plus que des talents de metteur en scène, Zemeckis révèle ici des talents de directeur d’acteur ; même si la relation avec son actrice furent houleuse. Alliant suspense et comédie ; ce film est une forme de screw ball comédie super enlevée fonctionnant toujours avec un jeune public pas blasé. Le scénario très classique devient anecdotique devant un film de dimanche soir ou un film familial et inter générationnel. Régressif parfois, jouant sur les clichés souvent ; on se marre souvent. Un divertissement de très bonne tenue à partager lors des longs après-midi ou soirées d’hiver en famille. tout-un-cinema.blogspot.com
Comme tout film d'aventures à l'époque,chacun essaye à sa manière de surfer sur le succès d*'Indiana Jones*,avec plus ou moins de réussite.Ici,il faut reconnaitre que c'est assez moyen. L'histoire est assez simple.Une romancière se retrouve en possession d'une carte au trésor,et après que sa soeur l'appelle à l'aide,décide de faire ses bagages et de voler à son secours.Mais comme par hasard,rien ne se passe comme prévu et elle est poursuivie par un espèce de gang dont le seul but est de trouver ce fameux trésor.Rien de bien compliqué,presque un classique. La relation entre les deux héros est elle aussi assez classique voir cliché,d'un coté une femme intelligente,assez timide et d'un autre le bad boy au secours de la princesse.Vous devinerez la suite (pas bien compliqué). Certes il y a le parfum de l'aventure,mais pas aussi emballant qu'un Indiana Jones,une musique pas franchement marquante et un dénouement un peu fébrile.Ca reste tout de même un film sans prise de tête qui divertit sans problème,mais avec ses airs d'Indiana Jones du pauvre.
« A la poursuite du diamant vert » ! C’est le genre de phrase qui indique généralement qu’on va vivre une sacrée aventure. Et ce film nous le prouve. Surfant sur la vague aventureuse induite par des films comme Indiana Jones, Michael Douglas et Kathleen Turner nous embarques en Colombie dans une aventure modernisée de cape et d’épée. Tout y est, l’enlèvement obligeant la princesse (qui vit son roman) à sortir de sa zone de confort, le prince charmant et son côté bad boy qui fait craquer ces dames et la promesse d’un fabuleux trésor. Rajoutez une bonne dose d’humour comme on en rigole longtemps et des punchlines qui restent à l’esprit et le cocktail fait mouche au premier visionnage comme au dixième. Mais si en plus Danny DeVito vient mettre son grain de sel bien à lui, on en redemande et on ne veut pas que sa se termine. Assurément, ce n’est pas le meilleur du genre mais quand même, pour les bons publiques loin des adorateurs prétentieux de la réalisation millimétrée, c’est le genre de film qui fait du bien et qu’il ne faut pas rater. Ce serait dommage de s’en priver.
Le film démarre vraiment bien, on est directement pris dans l'histoire, on veut connaitre la suite ! La bande son est soignée, les acteurs sont attachants, les plans sont travaillés... Le film fini par un peu tourner en rond malgré tout les points positifs qu'on peut lui accorder. Aucune qualité permet vraiment au long métrage de sortir du lot. On passe tout de même un très bon moment malgré certaines facilités scénaristiques. Même si ma critique ne le laisse pas entendre, je le conseille vivement !
Un comédie agréable qui fonctionne bien . Le duo Douglas / Turner est efficace, Des aventures dans des contrées exotiques, de bons gags et un peu de sentiment, tout cela constitue une recette Hollywoodienne confirmée.
Mes parents m’ont fait découvrir ce film quand j’étais encore petit, je le revois encore aujourd’hui et j’adore ce film ! Porté par la réalisation du grand Robert Zemeckis, ce film est réussi à tout les niveaux : jeu d’acteur excellent, des vannes qui fusent, une d’aventure trépidante, une sorte d’Indiana Jones modernisé, on ne s’en lasse pas !
Un film d'aventure qui respire les années 1980 avec ses personnages stéréotypés et caricaturaux, ses situations impossible, et sa mièvre romance. Zemeckis parvient néanmoins à insuffler un léger ton ironique salvateur.
Bien mieux réussi que sa suite ("Le diamant du Nil"), "La poursuite du diamant vert" est une sympathique comédie d’aventure signée par Robert Zemeckis, à qui l'on doit "Seul au Monde, "Forest Gump" ou "Retour vers le Futur". Ici il collabore, comme à son habitude, avec le compositeur Alan Silvestri qui signe la musique des films cités précédemment et de bien d'autres. Le talent se sent dans le film où la suite d'événements rocambolesques est drôle et divertissante. Une bande originale très eighty et des doublages typiques de l'époque.
Un film d aventure sans autre prétention que de divertir ce qu il réussit plutôt à faire malgré ses grosses ficelles(pour l illustrer je prendrais l exemple de la scène de la R4 sur le fleuve, c'est bête mais cela marche assez bien). Le couple Turner Douglas fonctionne parfaitement, opposé à Danny DeVito toujours égale à lui même dans l exagération. C'est très loin d Indiana Jones, mais ça n'est pas Alan Quatermain non plus.
Ce film réalisé par Robert Zemeckis et sorti en 1984 est pour ma part vraiment pas mal. On suit l'histoire d'une jeune romancière qui se retrouve obligée d'aller en Colombie dans le but d'échanger une mystérieuse carte contre sa sœur retenue prisonnière là-bas. À peine arrivée là-bas, les problèmes commencent et elle rencontre un habitant du pays qui la sauve des ennuies. Le scénario est plutôt sympa et original, l'histoire peut faire penser un peu à un Indiana Jones dans le style mais en est tout même assez éloigné. Le rythme est très bon, on ne s'ennuie pas du tout. Le film réussi à allier aventure, humour et romance, ce qui est une très bonne chose car le tout fonctionne parfaitement bien. Malgré tout, on voit que le film à prit un petit coup de vieux notamment dans certaines de ses scènes, dans les décors et dans la musique très ambiance 80's mais ça ne choque pas plus que ça et il reste dans l'ensemble très correct. Du côté des acteurs, nous avons entre autres Michael Douglas, Kathleen Turner et Danny DeVito et tous interprètent très bien leur personnages. "Romancing the Stone" est donc un bon film qui nous fait passer une très bonne soirée.
Malgré la présence du fabuleux Robert ZEMECKIS derrière la caméra, "A la poursuite du diamant vert" est un film d'aventure relativement ennuyeux et conventionnel. Cela manque grandement de rythme. Le film avait certainement beaucoup de charme pour l'époque (1984), notamment grâce au duo DOUGLAS-TURNER, mais il faut avouer qu'aujourd'hui cela paraît bien terne.