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Cinéphiles 44
“A la poursuite du diamant vert” est une comédie romantique d’aventure. Une auteure de romans à l’eau de rose reçoit un jour une carte au trésor et apprend dans la foulée que sa soeur a été enlevée en Colombie par deux antiquaires. Elle prend le premier avion mais se retrouve rapidement perdue dans la jungle. Heureusement, un aventurier lui vient en aide en échange de quelques dollars. Ensemble, ils se lancent dans la piste du diamant vert tout en recherchant la soeur kidnappée. Le film de Robert Zemeckis est dans la même veine que la série “Indiana Jones”, mais la mise en scène moins maîtrisée en fait une version cheap et l’humour des années 80 n’aide pas à l’apprécier davantage avec le temps. Pourtant, “A la poursuite du diamant vert” a été un succès et est notamment dû au savoureux duo Kathleen Turner et Michael Douglas.
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Très bonne comédie d'aventure. Michael Douglas est un très bon aventurier avec beaucoup d'humour. Kathleen Turner est fabuleuse et Danny Devito se surpasse en petit voyou. Une fabuleuse aventure avec utilisation de la 4 L et une petite poursuite amusante en "Petite Moule". A voir avec sa suite, "Le diamant du Nil".
ferdinand75
Un comédie agréable qui fonctionne bien . Le duo Douglas / Turner est efficace, Des aventures dans des contrées exotiques, de bons gags et un peu de sentiment, tout cela constitue une recette Hollywoodienne confirmée.
Malgré la présence du fabuleux Robert ZEMECKIS derrière la caméra, "A la poursuite du diamant vert" est un film d'aventure relativement ennuyeux et conventionnel. Cela manque grandement de rythme. Le film avait certainement beaucoup de charme pour l'époque (1984), notamment grâce au duo DOUGLAS-TURNER, mais il faut avouer qu'aujourd'hui cela paraît bien terne.
Deux ans après le premier Indiana Jones et quelques mois avant la sortie de l’opus suivant, ce film s’inscrit dans la mouvance des films d’aventure des 80’s. Dans l’imposante production américaine du genre surfant sur la vague à cash ; celui-là se démarque largement d’une belle médiocrité ambiante (Allan Quatermain et consort…). Logique car il est le point de départ de la carrière d’un grand réalisateur US de films populaire à spectacle : Robert Zemeckis. Spielberg avait eu le nez creux en misant sur cette jeune pousse qui après ce film réalisera sa magnifique trilogie fantastique : « Retour vers le futur ».
Dès la première scène, ce film nous surprend ; même si en tant que cinéphile averti, les références au cinéma français (cocorico) antérieur à ce film viennent rapidement en tête et plus particulièrement De Broca avec « L’homme de Rio » (1964) et « Le magnifique » (1973). Un peu de chauvinisme de nuit pas ; surtout que ces deux films sont de très grande qualité. Du « Magnifique » ; on retrouve ici ce qui fait le sel de ce film et tranche avec Indy : une femme auteur vivant dans un monde romancé confrontée à vivre des histoires qu’elle aurait pu imaginer. Parfait le récit initiatique. Mieux encore, Zemeckis fait évoluer à merveille ce personnage jouée par une Kathleen Turner très inspirée. Plus que des talents de metteur en scène, Zemeckis révèle ici des talents de directeur d’acteur ; même si la relation avec son actrice furent houleuse. Alliant suspense et comédie ; ce film est une forme de screw ball comédie super enlevée fonctionnant toujours avec un jeune public pas blasé. Le scénario très classique devient anecdotique devant un film de dimanche soir ou un film familial et inter générationnel. Régressif parfois, jouant sur les clichés souvent ; on se marre souvent. Un divertissement de très bonne tenue à partager lors des longs après-midi ou soirées d’hiver en famille.
tout-un-cinema.blogspot.com
Dès la première scène, ce film nous surprend ; même si en tant que cinéphile averti, les références au cinéma français (cocorico) antérieur à ce film viennent rapidement en tête et plus particulièrement De Broca avec « L’homme de Rio » (1964) et « Le magnifique » (1973). Un peu de chauvinisme de nuit pas ; surtout que ces deux films sont de très grande qualité. Du « Magnifique » ; on retrouve ici ce qui fait le sel de ce film et tranche avec Indy : une femme auteur vivant dans un monde romancé confrontée à vivre des histoires qu’elle aurait pu imaginer. Parfait le récit initiatique. Mieux encore, Zemeckis fait évoluer à merveille ce personnage jouée par une Kathleen Turner très inspirée. Plus que des talents de metteur en scène, Zemeckis révèle ici des talents de directeur d’acteur ; même si la relation avec son actrice furent houleuse. Alliant suspense et comédie ; ce film est une forme de screw ball comédie super enlevée fonctionnant toujours avec un jeune public pas blasé. Le scénario très classique devient anecdotique devant un film de dimanche soir ou un film familial et inter générationnel. Régressif parfois, jouant sur les clichés souvent ; on se marre souvent. Un divertissement de très bonne tenue à partager lors des longs après-midi ou soirées d’hiver en famille.
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Golden Globe de la meilleure comédie. Un bon film d'aventure réalisé par Robert Zemeckis. L'histoire est simple avec un mélange réussi entre la comédie et l'action, on pense bien sur à Indiana Jones. Michael Douglas assure bien dans le rôle de l'aventurier cynique, Kathleen Turner (Golden Globe de la meilleure actrice dans une comédie) est excellente dans le rôle de cette jeune romancière qui part en aventure à la recherche de sa sœur et Danny DeVito joue bien le rôle de la petite frappe à leur poursuite.
Sympathique mais le film a quand même pris un sacré coup de vieux. La musique, le rythme et le jeu d'acteurs très années 80. Le film surfe clairement sur les pas d'Indiana Jones mais sans le charme et le savoir faire de Spielberg. L'histoire est bête et simpliste mais l'action non stoppe distrait encore aujourd'hui malgré tout.
Un bon film d'aventure mêlant quelques bonnes actions et des éléments comiques sorti à la même période qu'Indiana Jones et le temple maudit. La comparaison est donc facile.et le résultat est sans appel. Si la trame est sensiblement la même : un héros aventurier et une blonde à qui tout arrive, des décors sauvages, la quête d'une pierre, des méchants au bon visage de méchant, Indiana Jones s'en tire avec les honneurs car il fait moins daté. Se déroulant dans les années 30, il souffre moins de l'effet kitch que suscite à la poursuite du diamant vert qui lui, se passe dans les années 80 avec les tenues d'époque, les coupes de cheveux d'époque mais surtout les musiques au synthé typiquement 80's. Ce qui l'ancre définitivement dans les années 80.
Après, l'histoire est plaisante mais Michael Douglas est loin du charme d'Indiana Jones.
En son temps, il a plutôt bien marché et à même engendré une suite "Le diamant du Nil" mais aujourd'hui, il fait hélas très daté. 3 donc pour l'histoire somme toute sympathique.
Après, l'histoire est plaisante mais Michael Douglas est loin du charme d'Indiana Jones.
En son temps, il a plutôt bien marché et à même engendré une suite "Le diamant du Nil" mais aujourd'hui, il fait hélas très daté. 3 donc pour l'histoire somme toute sympathique.
NeoLain
Michael Douglas ambiance Indiana Jones, un des meilleurs film d'aventure des années 80, pour sa richesse et souplesse scénaristique, on s'ennuie pas, casting dans la délicatesse, A la poursuite du diamant vert nous embarque vraiment dans l'aventure, l'agréable et le rire dans des situations ou ils s'y trouvent, la foret, des crocodiles, des coups de feu, une femme chochotte mais dont on tombe amoureux, bref accrochez-vous à votre liane, c'est du tout bon.
Alors qu'au début des années 80, "Indiana Jones" avait relancé la mode du film d'aventures, voilà que Robert Zemeckis se lance également dans ce registre avec "A la poursuite du diamant vert" sans pour autant copier son aîné. En effet, ici il y a plus d'humour, plus de romance et moins de scènes d'action musclées. Le cocktail fait tout de même son petit effet, notamment grâce au couple formé par Kathleen Turner et Michael Douglas mais manque un peu de saveur, la faute à des seconds rôles peu intéressants (à part celui joué par un irrésistible Danny DeVito) et à un rythme qui faiblit parfois, emporté par des moments de romance et de comédie qui viennent alourdir un peu les moments d'aventures, assez peu haletants. Malgré tout, on se laisse distraire, le tout grâce au savoir-faire de Zemeckis et aux répliques qui font mouche.
MaCultureGeek
En 1981, Steven Spielberg révolutionnait les films d'aventures et les remettait au goût du jour avec son "Les Aventuriers de l'Arche perdue", premier film contant les exploits et la vie d'Indiana Jones, mythique aventurier interprété par un Harrison Ford au sommet de sa forme et de son art. Le succès fut si grand que plusieurs suites devaient voir le jour, et que des plagiats devaient en jaillir en masse, les plus flagrants étant les deux "Allan Quatermain", des "Indiana Jones" like exclusivement pour enfants. Mais il y a aussi eu "A la poursuite du diamant vert", le premier volet d'une duologie dont la suite se nomme "Le Diamant du Nil". Au contraire de Quatermain, "A la Poursuite du diamant vert" n'est pas un copié collé d'Indiana Jones. Il s'en démarque même, et n'a de pastiches de ce film culte que la réputation. En effet, le scénario n'y est pas comparable et s'en trouve très éloigné, préférant trouver ses bases dans une histoire plus urbaine et donc un peu plus "banale". Et c'est justement parce qu'il se démarque des "Aventuriers de l'Arche perdue" que ce long-métrage est aussi bon et que l'on s'en souvient encore aujourd'hui. Mais mis à part tout cela, qu'est-ce qui fait que ce long-métrage est toujours aussi bon que lorsqu'il est sortit en salles? Plusieurs choses, en fait. Tout d'abord, son humour est l'un de ses principaux points forts. En effet, on rit quelques fois, on sourit souvent. Mais attention, ne vous attendez pas à rire aux éclats ou à être hilares, car vous ne le serez pas. C'est surtout que l'humour est assez finement dosé et suffisamment bien placé pour qu'il fasse mouche la plupart du temps. Ensuite vient la prestation des acteurs. Comme à son habitude, Michael Douglas est excellent, parfait même, bien que je le préfère largement dans le cultissime "Liaison Fatale", dont j'ai fait la critique il y a déja quelques temps. A ses côtés se trouvent Kathleen Turner, dont je ne connais le nom que grâce à ce film, et l'irrésistible et délirant Danny DeVito, le pingouin de "Batman, le défi", très bon acteur qui n'a plus tourné dans aucun bon film depuis quelques années. Ces deux interprètes sont aussi bons l'un que l'autre. Je ne vous parlerai pas des autres comédiens, car je ne les connais tout simplement pas! Le côté film d'aventures est assez bien poussé, et le scénario est plutôt bien rédigé en plus d'être éloigné d'Indiana Jones, comme je l'ai dit plus haut. Ce que l'on suit à l'écran est plutôt original, et les scènes se déroulent avec une certaine logique, certaines d'entre elles se terminant parfois un peu trop vite, et d'autres s'éternisant un peu trop longtemps, ce qui nous offre quelques longueurs, bien que rares, mais plutôt malvenues. Il est plutôt amusant de constater que le long-métrage se permet de s'aider d'astuces dont seules les comédies usent pour s'extirper de situations presque inextirpables, ce qui augmente la légèreté d’ "À la poursuite du diamant vert" et en fait donc un film plutôt agréable et complètement assumé dans les directions qu'il prend. A certains, cela plaira, à d'autres non, mais j'ai apprécié ce second degrés de film d'aventures complètement décomplexé. Pour résumer, voila un Indiana Jones like de qualité, si je puis l'appeler ainsi, qui se démarque de ses bases et amuse énormément. Un très bon divertissement, un bon film.
Roub E.
Un film d aventure sans autre prétention que de divertir ce qu il réussit plutôt à faire malgré ses grosses ficelles(pour l illustrer je prendrais l exemple de la scène de la R4 sur le fleuve, c'est bête mais cela marche assez bien). Le couple Turner Douglas fonctionne parfaitement, opposé à Danny DeVito toujours égale à lui même dans l exagération. C'est très loin d Indiana Jones, mais ça n'est pas Alan Quatermain non plus.
Un film d'aventure qui respire les années 1980 avec ses personnages stéréotypés et caricaturaux, ses situations impossible, et sa mièvre romance. Zemeckis parvient néanmoins à insuffler un léger ton ironique salvateur.
https://m.facebook.com/la7emecritique/
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A la Poursuite du Diamant Vert, de Robert Zemeckis, est un film d'aventure se déroulant en Colombie et mettant en vedette Michael Douglas et Kathleen Turner dans une chasse au trésor en pleine jungle. Cette aventure avec un grand A débute par la rencontre fortuite de deux personnages que tout oppose, mais qui leur fera vivre la quête de leur vie, une quête que ne partage pas forcément le spectateur. En effet, en dépit de ses jolis paysages, le goût est bien fade, notamment sur la fin où les gaffes s'enchaînent comme une cascade. On a vu mieux.
C'est un excellent film d'aventure à prendre vraiment à la légère dans lequel le duo d'acteurs fonctionne très bien. Michael Douglas est très drôle comme de nombreuses scènes. De plus, l'histoire est très sympa. Au final, c'est un très bon divertissement.
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