Maurice Barthélémy nous a concocté un film qui est aux antipodes de son passé de trublion au sein de la troupe des Robin des bois. Etant assez hermétique à son registre humoristique, c'est pas plus mal pour ma part... Son second long métrage intitulé Papa est un road movie d'une étonnante maitrise. En effet, cette sorte de voyage initiatique se veut touchant et d'une tendresse rare. La mise en scène, sobre (essentiellement constituées de plans fixes), n'est pas pour autant délaissée puisque le cadrage est assez bien étudié. Les deux interprètes principaux font une excellente prestation, d'ailleurs c'est à se demander si c'est le moutard d'Alain Chabat tant leur complicité est évidente. Le seul bémol que je puisse émettre, outre la courte durée du métrage, ce sont les rares séquences oniriques. Ces dernières sont moyennement convaincantes et en disent un peu trop sur le passé de cette famille. Alors que la grande qualité du long métrage, c'est cette omniprésence de mutisme, cette avalanche de non dits, d'allusions implicites.
PONETTE. Si son égo féminin nous faisait pleurer sur toute la ligne, Maurice Barthelemy et surtout Alain Chabat se la jouent pudique et reservé. Même si certaines scénes sont drôles, inventives et jolies, l'ensemble reste frustant par un manque d'émotion.
Un joli road trip où Alain Chabat nous propose un rôle tendre et doux, où on le reconnaît et on le découvre à la fois. Une jolie histoire et un joli tandem.
Un film qui cerne bien la mélancolie et l'amour des choses simples dans des moments difficiles, mais qu'est-ce qu'on s'ennuie mon Dieu... Les dialogues sont extrêmement pauvres, c'est un enchaînement de scénettes où pas grand chose ne se passe. Chabat remplit bien son rôle, mais le problème est qu'il n'y en a qu'un, de rôle.
Road movie sensible porté par ce duo émouvant d'un père et son fils magnifiquement joué par A Chabat. Il manque toutefois quelques scènes fortes pour insuffler à cette belle histoire un rythme et surtout l'émotion qui demeure tout juste esquissée.
Qu'est ce que c'est ennuyeux... On s'ennuie du début à la fin, il ne se passe rien... Les acteurs veulent nous transmettre des émotions mais il n'en est rien, et le scénario est inexisant. On a l'impression de faire 1h30 de trajet en voiture...
Seconde réalisation pour Maurice Barthélémy (membre de la troupe des "Robin des bois"), qui s'essaie pour la première fois à un drame familial (où il est question de deuil). Papa (2005) est avant tout un road-movie durant lequel un père et son fils vont apprendre à mieux se connaître. Deux individus qui, malgré leur écart d'âge, ont beaucoup de choses en commun car ce sont tous les deux des enfants (le père est loin de ressembler aux standards habituels, ce dernier étant encore un gamin dans sa tête). Le résultat final donne une comédie sentimentale, alternant avec brio l'humour, la tendresse et la mélancolie. Alain Chabat & Martin Combes campent les deux personnages central avec beaucoup d'humanité et de sincérité. Alain Chabat de son côté incarne un rôle dans lequel on avait pas l'habitude de le voir et il s'en sort remarquablement bien face au jeune mais très professionnel Martin Combes. Une agréable surprise auquel on adhère très rapidement et on en vient même a regretter sa courte durée (80 minutes).
Un père et son fils se redécouvrent le long d'une pérégrination où le but n'a aucune importance, seul le chemin suivi compte. Un film d'une infinie tendresse et qui, sous ses traits d'humour pertinents, s'avère plus noir qu'il y paraît.
Ce film se laisse facilement regarder ! Il y a rien de vraiment extraordinaire, mais cette relation père-fils est prenant, et nous fait regarder le film sans aucune difficulté... de plus, les acteurs sont assez bons, et les petites touches d'humour sont efficaces.
Un joli film qui révèle un Alain Chabat épatant, à la fois drôle et bouleversant, et qui traite avec pudeur mais sans détour d'un sujet difficile (la perte d'un enfant et son deuil). Néanmoins, on peut regretter quelques maladresses (le rêve avec la voiture qui explose dont on ne voit pas l'utilité) et le rythme particulièrement lent du film
Un père en deuil et son fils prennent la route. Les dialogues sont assez intéressants pour avoir l'envie de découvrir la suite, mais ce n'est tout de même pas un film qu'on gardera longtemps en mémoire.
Après Casablanca driver (film complétement barré), Maurice B revient avec un film d'une simplicité étonnante pour montrer cette belle relation entre un père et son fils avec pour uniquement point de raliement : une voiture. Attendrissant et drôle de part ses suptilité, ce film parvient l'épreuve de force de rendre touchant une petite aventure familiale. Une réussite du genre. Ps : le jeune acteur est très bon et les musiques bien choisit.