Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Brazil
par Sam Lowry
Le petit rigolard des Robins des Bois prouve qu'il est un vrai cinéaste. Un auteur ? L'avenir le dira, mais cette très touchante histoire plus que minimaliste (une bagnole, deux personnages et demi) d'un père et de son fils, est une bien belle réussite.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Pour le spectateur qui le découvre, PAPA est une oeuvre unique et parfaitement juste qui raconte l'intimité : d'un voyage, d'une relation, d'un passé, d'un secret. Mélange d'hyperréalisme et de délire comique confiné à un habitacle de voiture, il vaut par sa réalisation discrète, ses dialogues et la qualité de ses deux comédiens. Souvent mal à l'aise dans les rôles dits " sérieux ", Chabat parvient ici à épaissir son personnage de comique sans en perdre le mordant. Quant au jeune Martin Combes, il fait face de manière admirable. Sa carrière est à suivre, tout comme celle de l'audacieux Barthélémy-réalisateur.
Ouest France
par La rédaction
A la fois scénariste, dialoguiste et metteur en scène de son projet, Maurice Barthélémy navigue entre tous ses pièges avec une constante maîtrise. Il suggère, il évoque, il effleure avec délicatesse. Sans jamais insister, entre les pointillés qui suspendent cette histoire dans le non-dit et le non-expliqué. Il a choisi la voie de la subtilité et de la finesse, il embarque avec lui un couple qui dès le départ fonctionne avec les mêmes carburants d'humanité et de tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Peu de film réussissent ainsi l'alchimie de la gravité et de l'humour. Chavirer les coeurs sans bouder les zygomatiques, c'est tout l'art de Maurice Barthélemy (...) ce road-movie intimiste révèle un cinéaste. Dans le rôle-titre, Alain Chabat, inattendu et bouleversant, trouve constamment l'émotion juste. Ce n'est plus seulement de rire qu'il nous fait pleurer. D'un naturel craquant, son jeune partenaire, Martin Combes, est tout aussi bluffant.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un joli road-movie familial aussi émouvant que surprenant. Alain Chabat et Martin Combes imposent un naturel confondant contribuant largement à la réussite incontestable de ce deuxième long métrage.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Papa est de ce films, un sur vingt parmi les comédies de moeurs de chez nous, qui n'ont à dire que la somme de leurs élégances, que leur capacité à bien négocier le cas par cas, reculant sans cesse l'échéance de leur rabougrissement psychodramatique (...) Ce parfait saupoudrage d'humour sur un plateau d'altière tendresse, ce rappel que le rire n'est pas tant le trompe l'oeil de la mélancolie qu'un arragement courtois avec le ridicule d'exister, c'est Alain Chabat.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Elisabeth Quin
Oscillant entre tendresse de mère poule et rage rentrée, Alain Chabat est saisissant [...] le réalisateur est un cinéaste qui sait transfigurer la mélancolie autoroutière éclairée au néon, et son âme de Robin des Bois est, semble-t-il, pleine d'amour. Projet modeste, mais belle émotion.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Certes, Papa souffre par moments d'évidentes faiblesses d'écriture (...) Reste que cette oeuvre flirte avec l'émotion sans jamais sombrer dans le pathos. En outre, la sincérité du propos, la réflexion fine sur le deuil et le lien père-fils joliment esquissé réussissent à faire mouche et transforment, sous l'impulsion de très bons comédiens, ce film personnel et touchant en une très bonne surprise.
Première
par Nicolas Shaller
Papa ne cesse de jouer sur ce contraste entre un père encore un peu trop gamin et un fils déjà presque adulte. [...] Maurice Barthélemy enchaîne les petits moments anecdotiques comme autant de touches impressionnistes. À la fois drôles, émouvantes et légèrement profondes, elles dessinent au final une relation père-fils en (re)construction. Le propos est d'une simplicité essentielle, le film aussi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Miguellito
La larme n'y est pas obligatoire, Maurice Barthélémy ne faisant pas dans la grosse émotion démonstrative, mais plutôt dans la retenue et l'humilité face à un sujet difficile.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
Sur un argument très mince (...), le film distille dans un tempo irréprochable les gags, la tendresse et les révélations. Le cadrage très posé et la lumière dorée de Laurent Machuel parviennent même à capter la poésie farouche des aires d'autoroute et des hôtels-étapes. Et ça aussi, mine de rien, c'est un exploit.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Faussement drôle, vraiment grave, court et refermé sur son drame intime, ce film lancé comme une " comédie sentimentale " grand public semble plutôt une étape dans un travail de deuil personnel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
On est en plein dans l'observation sociologique d'une génération par elle-même, on nage dans ce comique narcissique qu'avait inventé la troupe du Splendid et qu'ont actualisé ses épigones. Peu à peu, Chabat dévoile un autre de ses talents : il fait l'acteur. On se doute bien que ce n'est pas pour rien que le cadre est si souvent vide - mis à part le père et le fils -, que les couleurs sont passées, que les pitreries paternelles sont empreintes de tristesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Un road-movie sentimental et gentillet au cours duquel un père et son fils se retrouvent. Malgré un côté fleur bleue un peu lourd, Alain Chabat se montre touchant et drôle en papa boute-en-train qui tente de rendre le sourire à son fils.
Paris Match
par Christine Haas
Alain Chabat donne généreusement de sa personne dans le rôle de ce papa déconneur et pudique. Face à lui, le regard du jeune Martin Combes exprime toute une palette d'émotions avec un naturel impressionnant. Ce road-movie intimiste est parfois plombé d'une sérieuse baisse de régime. Mais il maintient le périlleux équilibre entre rire et larmes des films italiens et révèle la profondeur inattendue du Robin des Bois cinéaste.
Zurban
par Véronique le Bris
Reconnaissons à Maurice Barthélémy le goût du risque. Celui du minimalisme, car l'argument de son second film tient en un mot, impossible à révéler. Celui de l'émotion, ensuite, car cet ex-Robin des Bois montre qu'il possède un registre plus large que le pur comique. Mais le tout est si ténu, si fragile, que l'on reste sur sa faim, dès lors que l'intrigue est révélée (et c'est très vite le cas). Dans ce road-movie, la route devient alors interminable. Et la belle prestation d'Alain Chabat ne parvient pas à combler le vide.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Minimal, le script semble piqué à Gérard Jugnot. Soient un père et son fils de 8 ans sur l'autoroute des vacances. Quand ils n'écoutent pas Trust en gigotant dans la voiture, ils font le plein chez Total et passent la nuit au Mercure. A la comédie du quotidien se relaient des scènes aigres-douces, avec séquences émotions, passé douloureux et traumas rentrés.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Libération
par Gilles Renault
Papa s'achève sans avoir tout à fait commencé. Pas vraiment la panne sèche, mais un scénario qui ronronne (...) C'est peu dire, en somme, que Maurice Barthélemy (...) mise tout sur Alain Chabat (...) seul le show va bon train, à travers ce portrait d'un père affectueux, blagueur (et détruit), qui ne laisse aucune chance d'exister aux personnages secondaires, ni au film de s'émanciper en quittant sa trajectoire.
Positif
par Claire Vassé
C'est quand le film commence à tisser les grosses ficelles d'un secret de famille digne d'un mauvais téléfilm que les choses se gâtent. Ce qu'on pouvait considérer comme une tentative d'épure sonne de plus den plus creux, et le film s'englue dans une émotion un peu mièvre que seule la brève apparition de Yael Abecassis sauve de l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Brazil
Le petit rigolard des Robins des Bois prouve qu'il est un vrai cinéaste. Un auteur ? L'avenir le dira, mais cette très touchante histoire plus que minimaliste (une bagnole, deux personnages et demi) d'un père et de son fils, est une bien belle réussite.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Pour le spectateur qui le découvre, PAPA est une oeuvre unique et parfaitement juste qui raconte l'intimité : d'un voyage, d'une relation, d'un passé, d'un secret. Mélange d'hyperréalisme et de délire comique confiné à un habitacle de voiture, il vaut par sa réalisation discrète, ses dialogues et la qualité de ses deux comédiens. Souvent mal à l'aise dans les rôles dits " sérieux ", Chabat parvient ici à épaissir son personnage de comique sans en perdre le mordant. Quant au jeune Martin Combes, il fait face de manière admirable. Sa carrière est à suivre, tout comme celle de l'audacieux Barthélémy-réalisateur.
Ouest France
A la fois scénariste, dialoguiste et metteur en scène de son projet, Maurice Barthélémy navigue entre tous ses pièges avec une constante maîtrise. Il suggère, il évoque, il effleure avec délicatesse. Sans jamais insister, entre les pointillés qui suspendent cette histoire dans le non-dit et le non-expliqué. Il a choisi la voie de la subtilité et de la finesse, il embarque avec lui un couple qui dès le départ fonctionne avec les mêmes carburants d'humanité et de tendresse.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Peu de film réussissent ainsi l'alchimie de la gravité et de l'humour. Chavirer les coeurs sans bouder les zygomatiques, c'est tout l'art de Maurice Barthélemy (...) ce road-movie intimiste révèle un cinéaste. Dans le rôle-titre, Alain Chabat, inattendu et bouleversant, trouve constamment l'émotion juste. Ce n'est plus seulement de rire qu'il nous fait pleurer. D'un naturel craquant, son jeune partenaire, Martin Combes, est tout aussi bluffant.
aVoir-aLire.com
Un joli road-movie familial aussi émouvant que surprenant. Alain Chabat et Martin Combes imposent un naturel confondant contribuant largement à la réussite incontestable de ce deuxième long métrage.
Cahiers du Cinéma
Papa est de ce films, un sur vingt parmi les comédies de moeurs de chez nous, qui n'ont à dire que la somme de leurs élégances, que leur capacité à bien négocier le cas par cas, reculant sans cesse l'échéance de leur rabougrissement psychodramatique (...) Ce parfait saupoudrage d'humour sur un plateau d'altière tendresse, ce rappel que le rire n'est pas tant le trompe l'oeil de la mélancolie qu'un arragement courtois avec le ridicule d'exister, c'est Alain Chabat.
Elle
Oscillant entre tendresse de mère poule et rage rentrée, Alain Chabat est saisissant [...] le réalisateur est un cinéaste qui sait transfigurer la mélancolie autoroutière éclairée au néon, et son âme de Robin des Bois est, semble-t-il, pleine d'amour. Projet modeste, mais belle émotion.
L'Humanité
Certes, Papa souffre par moments d'évidentes faiblesses d'écriture (...) Reste que cette oeuvre flirte avec l'émotion sans jamais sombrer dans le pathos. En outre, la sincérité du propos, la réflexion fine sur le deuil et le lien père-fils joliment esquissé réussissent à faire mouche et transforment, sous l'impulsion de très bons comédiens, ce film personnel et touchant en une très bonne surprise.
Première
Papa ne cesse de jouer sur ce contraste entre un père encore un peu trop gamin et un fils déjà presque adulte. [...] Maurice Barthélemy enchaîne les petits moments anecdotiques comme autant de touches impressionnistes. À la fois drôles, émouvantes et légèrement profondes, elles dessinent au final une relation père-fils en (re)construction. Le propos est d'une simplicité essentielle, le film aussi.
Score
La larme n'y est pas obligatoire, Maurice Barthélémy ne faisant pas dans la grosse émotion démonstrative, mais plutôt dans la retenue et l'humilité face à un sujet difficile.
TéléCinéObs
Sur un argument très mince (...), le film distille dans un tempo irréprochable les gags, la tendresse et les révélations. Le cadrage très posé et la lumière dorée de Laurent Machuel parviennent même à capter la poésie farouche des aires d'autoroute et des hôtels-étapes. Et ça aussi, mine de rien, c'est un exploit.
Télérama
Faussement drôle, vraiment grave, court et refermé sur son drame intime, ce film lancé comme une " comédie sentimentale " grand public semble plutôt une étape dans un travail de deuil personnel.
Le Monde
On est en plein dans l'observation sociologique d'une génération par elle-même, on nage dans ce comique narcissique qu'avait inventé la troupe du Splendid et qu'ont actualisé ses épigones. Peu à peu, Chabat dévoile un autre de ses talents : il fait l'acteur. On se doute bien que ce n'est pas pour rien que le cadre est si souvent vide - mis à part le père et le fils -, que les couleurs sont passées, que les pitreries paternelles sont empreintes de tristesse.
Les Inrockuptibles
Un road-movie sentimental et gentillet au cours duquel un père et son fils se retrouvent. Malgré un côté fleur bleue un peu lourd, Alain Chabat se montre touchant et drôle en papa boute-en-train qui tente de rendre le sourire à son fils.
Paris Match
Alain Chabat donne généreusement de sa personne dans le rôle de ce papa déconneur et pudique. Face à lui, le regard du jeune Martin Combes exprime toute une palette d'émotions avec un naturel impressionnant. Ce road-movie intimiste est parfois plombé d'une sérieuse baisse de régime. Mais il maintient le périlleux équilibre entre rire et larmes des films italiens et révèle la profondeur inattendue du Robin des Bois cinéaste.
Zurban
Reconnaissons à Maurice Barthélémy le goût du risque. Celui du minimalisme, car l'argument de son second film tient en un mot, impossible à révéler. Celui de l'émotion, ensuite, car cet ex-Robin des Bois montre qu'il possède un registre plus large que le pur comique. Mais le tout est si ténu, si fragile, que l'on reste sur sa faim, dès lors que l'intrigue est révélée (et c'est très vite le cas). Dans ce road-movie, la route devient alors interminable. Et la belle prestation d'Alain Chabat ne parvient pas à combler le vide.
Chronic'art.com
Minimal, le script semble piqué à Gérard Jugnot. Soient un père et son fils de 8 ans sur l'autoroute des vacances. Quand ils n'écoutent pas Trust en gigotant dans la voiture, ils font le plein chez Total et passent la nuit au Mercure. A la comédie du quotidien se relaient des scènes aigres-douces, avec séquences émotions, passé douloureux et traumas rentrés.
Libération
Papa s'achève sans avoir tout à fait commencé. Pas vraiment la panne sèche, mais un scénario qui ronronne (...) C'est peu dire, en somme, que Maurice Barthélemy (...) mise tout sur Alain Chabat (...) seul le show va bon train, à travers ce portrait d'un père affectueux, blagueur (et détruit), qui ne laisse aucune chance d'exister aux personnages secondaires, ni au film de s'émanciper en quittant sa trajectoire.
Positif
C'est quand le film commence à tisser les grosses ficelles d'un secret de famille digne d'un mauvais téléfilm que les choses se gâtent. Ce qu'on pouvait considérer comme une tentative d'épure sonne de plus den plus creux, et le film s'englue dans une émotion un peu mièvre que seule la brève apparition de Yael Abecassis sauve de l'ennui.