Votre avis sur Coldwater ?
2,0
Publiée le 12 juillet 2014
Contrairement à cette ineptie que les responsables marketing ont utilisée comme principal argument commercial, Coldwater n’a, malgré la ressemblance frappante entre son acteur principal et Ryan Gosling, rien d’un prequel de Drive. Il ne s’agit que d’un énième film sur les conditions de vie impossibles dans les centres de redressement pour mineurs aux Etats-Unis écrit et réalisé par Vincent Grashaw qui, trois ans après son joli mais inepte Bellflower, nous confirme son immaturité. Le thème de ces prisons déréglementé, déjà au centre du percutant Dog pound de Kim Chapiron, est utilisé par le prisme d’un jeune dealer détenu dans un camp dirigé par un ancien soldat hyper-autoritaire. Bien que traités en filagramme, les problématiques de la déresponsabilisation parentale et du laxisme administratif sont les deux apports de ce scénario trop léger. Le reste n’est constitué que de conflits filmés de façon déshumanisée entre des délinquants et des surveillants caricaturaux. Tandis que la première partie du film est polluée de flashbacks inutiles, la suite ne fait que faire monter crescendo le pathos jusqu’à un final qui, plutôt que développer le suspense que pouvait procurer l’action, ne cherche qu’à émouvoir le public.
2,0
Publiée le 1 octobre 2016
On peine à comprendre ce qu’a voulu montrer le réalisateur dans son premier-long métrage. La maltraitance d’ados dans un camp de redressement donne généralement l’effet inverse. Et si le texte final souhaite appuyer l’effet documentaire, Colwater tombe pourtant dans une violence gratuite étouffée par des flash-back maladroits et appuyée par une musique déplaisante. Les acteurs y mettent de la volonté, mais on le voit bien, le rôle principal n’a été donné à P.J. Boudousqué seulement pour son étonnante ressemblance à Ryan Gosling. Colwater n’est finalement qu’un film de bagarre mal raconté et qui tourne en rond.
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2,5
Publiée le 10 mars 2015
Un drame carcéral qui situe son histoire dans un camp de redressement pour mineurs aux Etats-Unis. La réalisation tombe malheureusement dans un scénario déjà vu et prévisible, et dans une narration irrégulière, au rythme haché, entaché par de superflus flashbacks. Il y a peu de tension et d'intensité et les jeunes acteurs manquent grandement de charisme, y compris le héros principal. Un film indépendant qui distrait mais s’oublie vite, n’apportant rien de novateur. Dans le genre, préférez "Dog Pound" ou encore "Les Révoltés de l’Ile du Diable" !
2,0
Publiée le 20 janvier 2015
un drame qui dénonce les conditions de détention dans les centres de redressement pour jeunes : le constat est d'une rare violence autant physique que psychologique et ici rien n'est épargné au spectateur. cette réalité visuelle est souvent insoutenable à voir, ce qui en fait un film choc, surement utile aussi...
2,0
Publiée le 10 juillet 2014
(...) Réalisé par Vincent Grashaw, dont c’est le premier long-métrage mais qui a auparavant produit et joué un rôle dans Bellflower d’Evan Glodell, Coldwater est un film qui traite des centres de rééducations de la même manière que le film carcéral classique. Vincent Grashaw avait toutes les cartes en main pour réaliser un film choc aux thématiques difficiles, faisant preuve d’une vraie volonté à dénoncer les conditions d’enfermement pour mineurs aux Etats-Unis. La déception est d’autant plus grande que le réalisateur ait préféré réaliser un long métrage qui développe tous les clichés et poncifs du genre, et ne fait que se complaire dans du pathos sans cesse rabâché par le biais de flashbacks incessants (...)
2,5
Publiée le 13 juillet 2014
"Coldwater" alterne le chaud et le froid. Si l'idée est bonne, on a vite le sentiment que l'on tourne en rond. Le scénario nous sert alors des situations parfois fumeuses, pour un final sympathique mais au final peu surprenant...comme l'ensemble. Une petite déception.
2,0
Publiée le 7 avril 2016
De manière générale, le film de prison a toujours été une expérience sensorielle éprouvante pour le spectateur et le cinéma en a fait un genre très rapidement. De L’Evadé d’Alcatraz de Don Siegel à Midnight Express d’Alan Parker en passant par la série Oz de Tom Fontana, il y a un véritable intérêt des producteurs pour ces films huis-clos qui permettent de mettre en avant une hiérarchie interne qui se révèle souvent être une métaphore des faiblesses de la société en général. C’est aussi et souvent l’occasion de dénoncer les conditions d’enfermement qui n’aident en rien en les prisonniers à se réinsérer dans la société. En 2011, trois films sont sortis sur ce thème carcéral et pour la plupart récompensés et bien appréciés par la critique : Cellule 211 de Daniel Monzon, Un Prophète de Jacques Audiard et Dog Pound de Kim Chapiron. Au sein-même de la thématique film de prison, on retrouve le sous-genre film carcéral pour mineurs qui a marqué les esprits avec des films comme Scum d’Alan Clarke ou Dog Pound de Kim Chapiron (son remake inavoué). Réalisé par Vincent Grashaw, dont c’est le premier long-métrage mais qui a auparavant produit et joué un rôle dans Bellflower d’Evan Glodell, Coldwater est un film qui traite des centres de rééducations de la même manière que le film carcéral classique. Vincent Grashaw avait toutes les cartes en main pour réaliser un film choc aux thématiques difficiles, faisant preuve d’une vraie volonté à dénoncer les conditions d’enfermement pour mineurs aux Etats-Unis. La déception est d’autant plus grande que le réalisateur ait préféré réaliser un long métrage qui développe tous les clichés et poncifs du genre, et ne fait que se complaire dans du pathos sans cesse rabâché par le biais de flashbacks incessants.
2,5
Publiée le 10 janvier 2017
La dernière partie du film lui enlève une partie de sa crédibilité. spoiler: En effet, on a du mal à croire que les ados deviennent quasi tous des meurtriers, se marginalisant ainsi complètement de la société alors qu'ils sont dans le camp pour des délits souvent mineurs. De la même façon, la mort du jeune hispanique, poursuivi par le chef est exagéré dans le sadisme. A pousser trop loin, le réalisateur affaiblit son film en cherchant le spectaculaire.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 11 juillet 2014
Coldwater...de Vincent Grashaw. Le pitch ? Une parenthèse (2 ans quand même) dans la vie de Brad, interné dans un camp de redressement à la demande de sa mère. Un de ces camps dirigé par un ancien marine alcoolique, secondé par un pseudo infirmier junkie, et d’anciens élèves sado-maso. Au menu, humiliations, sévices, tortures physiques et psychologiques, tentatives de suicide, tout les clichés que l’on peut trouver dans ce genre de film.
J’attendais beaucoup de Coldwater après une bande-annonce très efficace, mais malheureusement mes espoirs sont vite retombés, et ce au bout de trente minutes. Ca a le mérite de dénoncer ces camps où il semblerait que des dizaines de gamins aient trouvé la mort depuis les années 80, car ces centres sont de véritables enceintes inviolables où règne une omerta de plomb.
C’est un premier film certes, qui fut difficile à monter, et l’on sent bien que Vincent Grashaw a du mal à lâcher sa caméra pour aller à l’essentiel. Le film est maladroit, un peu bancal, mal monté, la fin est interminable, presque illisible par moments, et l’on assiste une fois encore, en spectateurs impuissants, à l’enfoncement de portes ouvertes du style : les ados en difficultés deviennent de véritables bêtes suite à ce genre d’internement. Woaw ! Quel scoop ! Je vous passe les flashbacks explicatifs qui ne servent pas à grand chose car on se fiche pas mal du passé du personnage. L’essentiel se trouve dans le camp, pas ailleurs. J’ai également un bémol sur le personnage principal incarné par PJ Boudousqué, pas très charismatique, ni très bon comédien, qui ne m’a pas séduit du tout.
Grosse déception. Allez voir Blue Ruin ou mieux encore Les poings contre les murs, histoire de rester dans un univers carcéral.
2,0
Publiée le 19 juillet 2014
Un acteur prometteur ne peut à lui seul sauver un scénario désastreux auquel les rebondissements finaux arrivent à peine à donner de l'intérêt.
En étant trop exagéré, le film qui voulait alerter sur les dangers de l'absence de règlementation dans les maisons de redressement américaines passe à côté de l'objectif et devient un thriller tout juste passable.
2,0
Publiée le 9 mars 2016
Film qui n'apporte rien de nouveau sur le genre, de mauvais garçons remis à une institution para militaire, pas réelle recherche psy, simplement une suite de brimades plus ou moins dures, avec une fin à l'américaine .
2,5
Publiée le 19 juillet 2014
Plusieurs jours après le visionnage de ce film, bizarrement, il ne reste pas beaucoup de souvenirs. Bien sur le sujet abordé est ardu, les camps de redressement privés de jeunes délinquants mineurs aux U.S.A et leurs dérives. Ex : "Certains parents richissimes y mettent leurs ados pour mauvaises notes à l'école". Mais le sujet est traité de façon un peu caricaturale et mille fois vus. Je sais c'est difficile d'innover et de sortir de l'ordinaire, et refaire : La colline des hommes perdus, Full Métal Jacket ..., n'est pas à la portée de n'importe quel réalisateur. Les acteurs sont à la hauteur de leurs personnages surtout ce ( P.J Boudousqué) sorti de nulle part et effarant de vérité. Je pense néanmoins au canular.... Ne serait pas Ryan Gosling,? Nous le serons peut être plus tard....
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 29 juillet 2014
Clichés, vu et revu... tout y passe, PJ Boudousqué aux airs de Ryan Gosling ne suffit pas à épargner la lourdeur de ce scénario plutôt léger d'ailleurs... Jeunes rebelles, gardiens méchants, et le pathos des flashbacks... Le seul intérêt du film est peut être de faire découvrir qu'aux USA si votre ados vous emmerde un peu trop vous pouvez l'envoyer se faire redresser pour qu'il rentre mieux dans le moule, mais là bas, pas de psychologue... Juste un "soignant" toxicomane... Un premier long métrage plutôt raté. Quant au lien avec "Dog Pound" et "Drive" sur l'affiche faut oublier !
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 16 juillet 2014
Ce film est bon mais sans plus. Le message qu'il tente de nous faire passer ne passe pas bien. Leurs causes est étrange. Sinon le film tient plus ou moins la route. Rien de fameux.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 14 juillet 2014
Film que j'attendais avec impatience, mais déçue, trop de non dit, on reste sur sa faim.....
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