Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Elle
par Elisabeth Quin
Ce documentaire désopilant consacré aux descendants d'Ed Wood fait découvrir trois bonshommes pour lesquels le cinéma est l'affaire la plus sérieuse de leur vie. (...) L'humour belge peut être mortellement sérieux. Comme cet hymne au cinéma, beau parce que dérisoire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Positif
par Alain Masson
C'est l'un des charmes et des fondements de Cinéastes à tout prix que de lier des oeuvres volontiers irréalistes et fantasques à des lieux bien réels. [...] Dans l'oeuvre, l'ardeur de l'artisan reste visible et lutte encore avec la matière banale. Les commentaires de ces cinéastes désignent ces échanges. Sojcher est l'un des leurs, puisqu'il illustre sans forcer le ton, leur tranquille hardiesse, leur ambition aveugle à toutes les difficultés.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Un document exceptionnel, émouvant et drôle (...). L'enthousiasme de ces artistes "naïfs" fait plaisir à voir.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Pierre Rehm
Sans faire de façons, sûre de son sujet, Sojcher ne joue ni la concurrence, ni la condescendance. Retranché modeste, merci, derrière des plans aussi plats qu'à la télé, il a préféré mettre les artistes et leurs oeuvres au premier plan.
L'Express
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
[...] inénarrable nanar digne du surréalisme déconnant à la C'est arrivé près de chez vous. [...] la salle est pliée de rire du début à la fin de cette pochade qui conjugue goût de l'absurde, sens prononcé de l'autodérision et culte de la série B, soit, là encore, une forme irraisonnée d'amour du cinéma.
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Anthony Clément
Ode à la fièvre créatrice, qui met à nu une passion exacerbée du cinéma. [...]On peut [...] regretter une excessive rigueur formelle, qui fait se succéder mécaniquement extraits et explications. Mais le réalisateur sait imprégner le spectateur de leurs univers déjantés. [...] Cette plongée au coeur de la passion adresse un joli pied de nez à une vision mercantile de l'art. Vivifiant.
Zurban
par Charlotte Lipinska
Un projectionniste, un prof d'éco et un maçon, réalisent des films coûte que coûte. [...] On rit franchement avant de s'incliner devant tant de ferveur et de persévérance. Comme le dit Rousseau (ndlr : un de ces trois cinéastes) "Si j'avais eu les moyens de Spielberg, j'aurais fait mieux. S'il avait eu mes moyens, jamais il n'aurait fait de cinéma."
Ciné Live
par La Rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Cinéastes
par Edgar Vinatier
Le documentaire, probablement monté par des fans du décrochage régional de France 3 Champagne-Ardenne, revient sur la carrière de trois cinéastes belges qui ont débuté après guerre. [...] Obnubilés par le simple fait de faire des films et non de les réussir, de les améliorer progressivement ou même de les vendre, chacun empile les nanars.[...] Le documentaire n'atteint pourtant pas toujours le même degré de délire que son contenu.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
[...] des tenants de l'art brut, mais sur pellicule. Le moins qu'on puisse dire, c'est que leurs oeuvres, interprétées par des amateurs, avec des effets spéciaux à trois francs six sous, laissent le spectateur perplexe, partagé entre le fou rire et l'ébahissement. Ces trois compères sont belges, et l'entarteur Noel Godin et Benoît Poelvoorde sont leurs plus fervents supporters. A plat pays, gros délires.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Dans le maquis wallon, trois hommes mènent une résistance acharnée à l'industrie du cinéma. Sans Frédéric Sojcher, il faut bien avouer qu'on ignorerait encore ce chapitre clandestin de l'histoire du cinéma belge. [...] Noël Godin, le célèbre entarteur, et Benoît Poelvoorde, qu'on ne présente plus, ajoutent comme grands témoins leur grain de sel à ce film, il faut bien le dire, complètement farfelu, qui partage avec ses sujets, contre le formatage et l'utilitarisme forcenés de l'époque, une approche bricolée et impertinente du monde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert et Hugo Lopez
A voir pour les extraits de films hilarants.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Stéphane Piatszek
Des trois inégaux portraits de cinéastes amateurs réalisés par Frédéric Sojcher dans Cinéastes à tout prix, l'un saute à la figure. Et inquiète : celui où Jean-Jacques Rousseau livre ses "confessions" de metteur en scène cagoulé qui tire à coups de flingue en l'air pour rameuter son équipe.
Première
par Gaël Golhen
Souvent hilarants, les deux films (Cinéastes à tout prix et Ne faîtes pas de cinéma ! ) montrent la nullité crasse de ces cinéastes du dimanche mais leur sortie en salles était-elle vraiment indispensable ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Emmanuel Luc
Dans ce court documentaire, percutant et drôle, le réalisateur dresse le portrait de trois cinéastes belges. [...] Beaucoup, beaucoup de passion. Et un peu de folie, quand même - mais quel créateur n'en a pas ?
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Ces trois zozos-là méritaient-ils d'être connus ? Max Naveaux, Jacques Hardy et Jean-Jacques Rousseau (sans lien de parenté avec l'autre) pratiquent le cinéma comme vous et nous l'aquarelle ou le jardinage. [...] Extraits de nanars et commentaires goûteux de ces Ed Wood wallons - comment filmer les guerres impériales avec des soldats en plastique, par exemple - fournissent l'essentiel de ce docu un peu trop formaté télé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Faire du ciné pour se faire plaisir. Le mot d'ordre de trois cinglés belges. Drôle et touchant.[...] Lesdits cinéastes ont suffisamment d'humilité, de lucidité et d'absence de prétention pour parler de leurs films avec autant d'humour que d'émotion, de dérision que de passion. [...] On en sort amusé, avec l'irrésistible envie de découvrir entre autres le fameux Furor teutonicus, de Jean-Jacques Rousseau, le seul film qui commence par le panneau "Paris. 20 ans plus tard" alors que rien n'a été montré auparavant.
Elle
Ce documentaire désopilant consacré aux descendants d'Ed Wood fait découvrir trois bonshommes pour lesquels le cinéma est l'affaire la plus sérieuse de leur vie. (...) L'humour belge peut être mortellement sérieux. Comme cet hymne au cinéma, beau parce que dérisoire.
Positif
C'est l'un des charmes et des fondements de Cinéastes à tout prix que de lier des oeuvres volontiers irréalistes et fantasques à des lieux bien réels. [...] Dans l'oeuvre, l'ardeur de l'artisan reste visible et lutte encore avec la matière banale. Les commentaires de ces cinéastes désignent ces échanges. Sojcher est l'un des leurs, puisqu'il illustre sans forcer le ton, leur tranquille hardiesse, leur ambition aveugle à toutes les difficultés.
Télé 7 Jours
Un document exceptionnel, émouvant et drôle (...). L'enthousiasme de ces artistes "naïfs" fait plaisir à voir.
Cahiers du Cinéma
Sans faire de façons, sûre de son sujet, Sojcher ne joue ni la concurrence, ni la condescendance. Retranché modeste, merci, derrière des plans aussi plats qu'à la télé, il a préféré mettre les artistes et leurs oeuvres au premier plan.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
[...] inénarrable nanar digne du surréalisme déconnant à la C'est arrivé près de chez vous. [...] la salle est pliée de rire du début à la fin de cette pochade qui conjugue goût de l'absurde, sens prononcé de l'autodérision et culte de la série B, soit, là encore, une forme irraisonnée d'amour du cinéma.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Ode à la fièvre créatrice, qui met à nu une passion exacerbée du cinéma. [...]On peut [...] regretter une excessive rigueur formelle, qui fait se succéder mécaniquement extraits et explications. Mais le réalisateur sait imprégner le spectateur de leurs univers déjantés. [...] Cette plongée au coeur de la passion adresse un joli pied de nez à une vision mercantile de l'art. Vivifiant.
Zurban
Un projectionniste, un prof d'éco et un maçon, réalisent des films coûte que coûte. [...] On rit franchement avant de s'incliner devant tant de ferveur et de persévérance. Comme le dit Rousseau (ndlr : un de ces trois cinéastes) "Si j'avais eu les moyens de Spielberg, j'aurais fait mieux. S'il avait eu mes moyens, jamais il n'aurait fait de cinéma."
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Le documentaire, probablement monté par des fans du décrochage régional de France 3 Champagne-Ardenne, revient sur la carrière de trois cinéastes belges qui ont débuté après guerre. [...] Obnubilés par le simple fait de faire des films et non de les réussir, de les améliorer progressivement ou même de les vendre, chacun empile les nanars.[...] Le documentaire n'atteint pourtant pas toujours le même degré de délire que son contenu.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
[...] des tenants de l'art brut, mais sur pellicule. Le moins qu'on puisse dire, c'est que leurs oeuvres, interprétées par des amateurs, avec des effets spéciaux à trois francs six sous, laissent le spectateur perplexe, partagé entre le fou rire et l'ébahissement. Ces trois compères sont belges, et l'entarteur Noel Godin et Benoît Poelvoorde sont leurs plus fervents supporters. A plat pays, gros délires.
Le Monde
Dans le maquis wallon, trois hommes mènent une résistance acharnée à l'industrie du cinéma. Sans Frédéric Sojcher, il faut bien avouer qu'on ignorerait encore ce chapitre clandestin de l'histoire du cinéma belge. [...] Noël Godin, le célèbre entarteur, et Benoît Poelvoorde, qu'on ne présente plus, ajoutent comme grands témoins leur grain de sel à ce film, il faut bien le dire, complètement farfelu, qui partage avec ses sujets, contre le formatage et l'utilitarisme forcenés de l'époque, une approche bricolée et impertinente du monde.
Les Inrockuptibles
A voir pour les extraits de films hilarants.
Libération
Des trois inégaux portraits de cinéastes amateurs réalisés par Frédéric Sojcher dans Cinéastes à tout prix, l'un saute à la figure. Et inquiète : celui où Jean-Jacques Rousseau livre ses "confessions" de metteur en scène cagoulé qui tire à coups de flingue en l'air pour rameuter son équipe.
Première
Souvent hilarants, les deux films (Cinéastes à tout prix et Ne faîtes pas de cinéma ! ) montrent la nullité crasse de ces cinéastes du dimanche mais leur sortie en salles était-elle vraiment indispensable ?
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Dans ce court documentaire, percutant et drôle, le réalisateur dresse le portrait de trois cinéastes belges. [...] Beaucoup, beaucoup de passion. Et un peu de folie, quand même - mais quel créateur n'en a pas ?
Télérama
Ces trois zozos-là méritaient-ils d'être connus ? Max Naveaux, Jacques Hardy et Jean-Jacques Rousseau (sans lien de parenté avec l'autre) pratiquent le cinéma comme vous et nous l'aquarelle ou le jardinage. [...] Extraits de nanars et commentaires goûteux de ces Ed Wood wallons - comment filmer les guerres impériales avec des soldats en plastique, par exemple - fournissent l'essentiel de ce docu un peu trop formaté télé.
aVoir-aLire.com
Faire du ciné pour se faire plaisir. Le mot d'ordre de trois cinglés belges. Drôle et touchant.[...] Lesdits cinéastes ont suffisamment d'humilité, de lucidité et d'absence de prétention pour parler de leurs films avec autant d'humour que d'émotion, de dérision que de passion. [...] On en sort amusé, avec l'irrésistible envie de découvrir entre autres le fameux Furor teutonicus, de Jean-Jacques Rousseau, le seul film qui commence par le panneau "Paris. 20 ans plus tard" alors que rien n'a été montré auparavant.