Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Humanité
par La rédaction
Une telle radicalité dans l'expression ne trouvera sans doute pas la faveur de grand monde. Tant pis pour qui ne peut admettre que le cinéma doit pouvoir être cela aussi.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Dans Five toujours avec sa DV, Kiarostami se retrouve au bord de la Caspienne. En cinq plans, il saisit la vie et ses transformations. Il en résulte un pur travail de poésie. Une oeuvre contemplative qui nous ramènent à l'essence même du septième art.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Kiarostami a réussi la prouesse de suggérer au spectateur, en associant activement sa pensée au travail d'une forme, ce qu'est le cinéma : la saisie captivante d'une transformation sur le fond mélancolique d'une disparition.
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Tourné en DV, radical, apaisant et très beau, le film, entre expérimentation et épure, est un véritable éloge de la nature et du cinéma en liberté. Amateurs de grosses machines hollywoodiennes et de suspense s'abstenir.
Zurban
par La rédaction
Five a surtout vocation à séduire les âmes poètes. Minimalistes à souhait( cinq plans fixes d'une dizaine de minutes avec pour thème majeur l'eau), ces tableaux se pensent comme autant de haïku japonais, offerts en hommage à Ozu. Une invitation à la "zénitude", à une expérience de vie bien plus qu'à un film de cinéma.
Aden
par La rédaction
Au lieu d'ouvrir sur un espace de création, Five suscite moins la transcendance que la comparaison : à côté de la vie réelle, à côté de notre présence réelle face à la mer, à une bien réelle nuit de veille devant une mare, la nuit, le cinéma ne fait pas le poids. Alors, pour vraiment comprendre Five, il faut sans doute prendre l'image pratiquement à l'inverse de sa proposition sur l'écran : Five a l'air de refléter la réalité ; mais son intérêt est dans le pouvoir d'abstraction que lui accordera le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Soit cinq longs plans fixes sur un bord de mer, cinq variations. Ici, le paysage étale est animé par l'intrusion d'un banc de canards en file indienne (...) Quoi qu'il en soit, un canard est au moins sûr et certain d'être palmé.
Positif
par Stéphane Goudet
Five se rattache aux films-essais , aux ciné-poèmes réalisés précédemment par Kiarostami. Observation quasi scientifique de la nature qui n'interdit pas bien sûr au réalisateur d'agir en toute discrétion pour servir la beauté et la force des expériences qu'il nous propose de partager.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Quelle naïveté dans ce film qui se rêve en aube du cinéma : naïveté du dispositif, naïveté documentaire, ringardise de l'ensemble qui pourrait passer pour le TP d'un étudiant en arts plastiques prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
Une telle radicalité dans l'expression ne trouvera sans doute pas la faveur de grand monde. Tant pis pour qui ne peut admettre que le cinéma doit pouvoir être cela aussi.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Dans Five toujours avec sa DV, Kiarostami se retrouve au bord de la Caspienne. En cinq plans, il saisit la vie et ses transformations. Il en résulte un pur travail de poésie. Une oeuvre contemplative qui nous ramènent à l'essence même du septième art.
Le Monde
Kiarostami a réussi la prouesse de suggérer au spectateur, en associant activement sa pensée au travail d'une forme, ce qu'est le cinéma : la saisie captivante d'une transformation sur le fond mélancolique d'une disparition.
TéléCinéObs
Tourné en DV, radical, apaisant et très beau, le film, entre expérimentation et épure, est un véritable éloge de la nature et du cinéma en liberté. Amateurs de grosses machines hollywoodiennes et de suspense s'abstenir.
Zurban
Five a surtout vocation à séduire les âmes poètes. Minimalistes à souhait( cinq plans fixes d'une dizaine de minutes avec pour thème majeur l'eau), ces tableaux se pensent comme autant de haïku japonais, offerts en hommage à Ozu. Une invitation à la "zénitude", à une expérience de vie bien plus qu'à un film de cinéma.
Aden
Au lieu d'ouvrir sur un espace de création, Five suscite moins la transcendance que la comparaison : à côté de la vie réelle, à côté de notre présence réelle face à la mer, à une bien réelle nuit de veille devant une mare, la nuit, le cinéma ne fait pas le poids. Alors, pour vraiment comprendre Five, il faut sans doute prendre l'image pratiquement à l'inverse de sa proposition sur l'écran : Five a l'air de refléter la réalité ; mais son intérêt est dans le pouvoir d'abstraction que lui accordera le spectateur.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Soit cinq longs plans fixes sur un bord de mer, cinq variations. Ici, le paysage étale est animé par l'intrusion d'un banc de canards en file indienne (...) Quoi qu'il en soit, un canard est au moins sûr et certain d'être palmé.
Positif
Five se rattache aux films-essais , aux ciné-poèmes réalisés précédemment par Kiarostami. Observation quasi scientifique de la nature qui n'interdit pas bien sûr au réalisateur d'agir en toute discrétion pour servir la beauté et la force des expériences qu'il nous propose de partager.
Chronic'art.com
Quelle naïveté dans ce film qui se rêve en aube du cinéma : naïveté du dispositif, naïveté documentaire, ringardise de l'ensemble qui pourrait passer pour le TP d'un étudiant en arts plastiques prétentieux.