Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Melinard
C'est dans son attachement aux paumés que cette oeuvre séduit.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Non dénué d'humour (les visites chez un médecin hypocondriaque), le film conjugue deux points de vue. La description du monde des hommes est quasi documentaire [...] C'est avec infiniment de pudeur et de maturité que Guka Omarova raconte cette histoire d'initiation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Shizo reste un film pittoresque sur la vie, l'amour, la famille, dans une région où l'humain fait figure d'aberration anecdotique. L'inconvénient, qui devient très vite un avantage sur le plan cinématographique, c'est que dans ce coin, la moindre activité prend des allures d'épopée. Aller acheter une boîte d'allumettes, ça vous fait un road movie dans le désert, et un braquage de banque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
Les affaires, les trafics, les sentiments, la violence, la survie. Un complexe portrait de société, à travers l'itinéraire poignant de cet adolescent rêveur et sensible, en quête d'une existence digne de ce nom. Une chronique vive et subtile, au coeur d'un territoire sauvage et secret.
Paris Match
par Christine Haas
Pas une seule fausse note dans cet âpre récit (...) porté par le charme du jeune comédien. Dans un monde sauvage, la cinéaste tisse avec tendresse les relations humaines, saupoudre d'humour les situations les plus désespérées et signe un premier film à découvrir absolument.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Synopsis
par Valérie Ganne
La force de ce film, c'est un scénario qui colle à son héros, cet adolescent silencieux, au reard aigu. [...] Ici tout tient dans les détails, celui d'une pomme qui roule, d'un poisson séché, de la blondeur d'une fille, de combats de boxe à mains nues sur le bitume...Tous ces éléments plus les plaines de son pays, et quelques humains à l'intérieur, rendent ce film unique, original.
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Nulle excentricité, vitesse, folklore, pauvreté grandiloquente à la Kusturica. Les cadres sont beaux, fixes, massifs comme l'achitecture industrielle sur quoi la caméra s'attarde, ruines parmis lesquelles la population se faufile désormais librement. En prenant le paysage comme matériau premier, en constatant la chute des anciens régimes et des vieux murs de béton, c'est à une sorte de diagnostic du Kazakhstan contemporain et de ses boulversements sociaux qu'Omarova se livre.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par Françopis Guillaume-Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
Shizo est un film qui ne cesse de rêver d'être ailleurs, d'être différent de celui qu'il est et, se changeant subitement en un autre, n'en finit pas pour autant de nourrir des rêves de fuite. On peut imaginer Shizo comme une suite d'images s'emboîtant les unes dans les unes. Et puis le jeune acteur est génial.
Première
par Gérard Delorme
Pour raconter cette histoire, la réalisatrice, dont c'est le premier film, fait preuve d'une vigueur inattendue en décrivant l'atmosphère âpre, séléctive et masculine d'un pays abimé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Un film tout en sobriété asiatique, tendre et percutant à la fois.
Score
par Marco Ramius
Shizo aurait pu être un film triste et glauque, il est lumineux et aérien. Pour son premier essai, Omarova pose un vrai regard de cinéaste sur une société livrée à elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Score
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
MCinéma.com
par Franz Miceli
La réalisatrice, Guka Omarova, ne s'intéresse pas tant à la psychologie de son personnage qu'à la symbolique qu'il véhicule. [...] le spectateur ne trouve rien à quoi se raccrocher. Sauf à chercher le point d'horizon. Un double constat s'impose à la fin du film : Guka Omarova sait manier la caméra, cadrages et photos sont de toute beauté, mais elle ne parvient pas à développer une trame narrative qui se tienne.
Positif
par Pierre Eisenreich
Principal intérêt de cet apprentissage de la corruption, la complexe ambiguité morale de Shizo est dépeinte avec justesse par la réalisatrice. [...] La direction des interprètes de cet univers masculin apparaît très maîtrisée, dévoilant la sensibilité exotique de la cinéaste. On peut toutefois lui reprocher un manque de construction scénique... Cela révèle les symptômes d'un budget de production trop serré (...). Dommage pour ce joli premier film prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par François Gorin
La réalisatrice trouve une certaine justesse (ainsi la scène de séduction dansée) en prenant des libertés avec son scénario, qui lui-même emprunte quelques détours et dérives bienvenus. L'ensemble reste néanmoins assez sage, un peu en dedans. Tout le mal qu'on souhaite à Guka Omarova est d'avoir la chance d'un deuxième film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Charlotte Lipinska
Tel un parcours initiatique, ce premier long métrage dresse le portrait émouvant d'un enfant qui grandit dans l'épreuve.
L'Humanité
C'est dans son attachement aux paumés que cette oeuvre séduit.
Le Monde
Non dénué d'humour (les visites chez un médecin hypocondriaque), le film conjugue deux points de vue. La description du monde des hommes est quasi documentaire [...] C'est avec infiniment de pudeur et de maturité que Guka Omarova raconte cette histoire d'initiation.
Les Inrockuptibles
Shizo reste un film pittoresque sur la vie, l'amour, la famille, dans une région où l'humain fait figure d'aberration anecdotique. L'inconvénient, qui devient très vite un avantage sur le plan cinématographique, c'est que dans ce coin, la moindre activité prend des allures d'épopée. Aller acheter une boîte d'allumettes, ça vous fait un road movie dans le désert, et un braquage de banque.
Ouest France
Les affaires, les trafics, les sentiments, la violence, la survie. Un complexe portrait de société, à travers l'itinéraire poignant de cet adolescent rêveur et sensible, en quête d'une existence digne de ce nom. Une chronique vive et subtile, au coeur d'un territoire sauvage et secret.
Paris Match
Pas une seule fausse note dans cet âpre récit (...) porté par le charme du jeune comédien. Dans un monde sauvage, la cinéaste tisse avec tendresse les relations humaines, saupoudre d'humour les situations les plus désespérées et signe un premier film à découvrir absolument.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
La force de ce film, c'est un scénario qui colle à son héros, cet adolescent silencieux, au reard aigu. [...] Ici tout tient dans les détails, celui d'une pomme qui roule, d'un poisson séché, de la blondeur d'une fille, de combats de boxe à mains nues sur le bitume...Tous ces éléments plus les plaines de son pays, et quelques humains à l'intérieur, rendent ce film unique, original.
Cahiers du Cinéma
Nulle excentricité, vitesse, folklore, pauvreté grandiloquente à la Kusturica. Les cadres sont beaux, fixes, massifs comme l'achitecture industrielle sur quoi la caméra s'attarde, ruines parmis lesquelles la population se faufile désormais librement. En prenant le paysage comme matériau premier, en constatant la chute des anciens régimes et des vieux murs de béton, c'est à une sorte de diagnostic du Kazakhstan contemporain et de ses boulversements sociaux qu'Omarova se livre.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Shizo est un film qui ne cesse de rêver d'être ailleurs, d'être différent de celui qu'il est et, se changeant subitement en un autre, n'en finit pas pour autant de nourrir des rêves de fuite. On peut imaginer Shizo comme une suite d'images s'emboîtant les unes dans les unes. Et puis le jeune acteur est génial.
Première
Pour raconter cette histoire, la réalisatrice, dont c'est le premier film, fait preuve d'une vigueur inattendue en décrivant l'atmosphère âpre, séléctive et masculine d'un pays abimé.
Rolling Stone
Un film tout en sobriété asiatique, tendre et percutant à la fois.
Score
Shizo aurait pu être un film triste et glauque, il est lumineux et aérien. Pour son premier essai, Omarova pose un vrai regard de cinéaste sur une société livrée à elle-même.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
La réalisatrice, Guka Omarova, ne s'intéresse pas tant à la psychologie de son personnage qu'à la symbolique qu'il véhicule. [...] le spectateur ne trouve rien à quoi se raccrocher. Sauf à chercher le point d'horizon. Un double constat s'impose à la fin du film : Guka Omarova sait manier la caméra, cadrages et photos sont de toute beauté, mais elle ne parvient pas à développer une trame narrative qui se tienne.
Positif
Principal intérêt de cet apprentissage de la corruption, la complexe ambiguité morale de Shizo est dépeinte avec justesse par la réalisatrice. [...] La direction des interprètes de cet univers masculin apparaît très maîtrisée, dévoilant la sensibilité exotique de la cinéaste. On peut toutefois lui reprocher un manque de construction scénique... Cela révèle les symptômes d'un budget de production trop serré (...). Dommage pour ce joli premier film prometteur.
Télérama
La réalisatrice trouve une certaine justesse (ainsi la scène de séduction dansée) en prenant des libertés avec son scénario, qui lui-même emprunte quelques détours et dérives bienvenus. L'ensemble reste néanmoins assez sage, un peu en dedans. Tout le mal qu'on souhaite à Guka Omarova est d'avoir la chance d'un deuxième film.
Zurban
Tel un parcours initiatique, ce premier long métrage dresse le portrait émouvant d'un enfant qui grandit dans l'épreuve.