Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Le choc esthétique du dernier Festival de Cannes. Deux parties d'une heure chacune, aussi splendides qu'énigmatiques.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
S'il faut une image de proue à une année de cinéma qui aura beaucoup fait circuler les grandes entités constitutives (...), elle est dans Tropical Malady.
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Difficile de résumer un film qui tient moins à son scénario qu'à sa capacité d'enchantement et de diffraction des sens, de diffusion discrète mais inexorable d'une magie vénéneuse. (...) Comme si les fictions que nous avions l'habitude de voir vivaient encore dans la physique du XIXe siècle là où Tropical malady est entré depuis longtemps dans celle du XXIe.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Jean Roy
Somptueux. Le jeune prodige du nouveau cinéma thaïlandais frappe une deuxième fois.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le fluide sensuel, davantage qu'intellectuel, qui permet l'articulation entre les deux récits relève d'un cinéma qu'on qualifierait volontiers de chamanique (...) Possiblement née d'une triviale déception amoureuse, cette somptueuse fantasmagorie n'en évoquera pas moins, en dernier ressort, l'univers de Georges Bataille, Tropical Malady étant de fait la plus fidèle adaptation cinématographique de ce principe selon lequel "le désir est au temps ce que le tigre est à l'espace".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Jean-François Rauger
Mythologie et imaginaire (...) peuplent immédiatement ici la narration (...) puis s'évaporent subtilement dans cette contrée dont la découverte n'est donnée qu'aux plus cinéastes des cinéastes, un pays où la représentation figurative se mue en art abstrait et en sensation poétique.(critique cannoise)
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
D'abord une histoire d'amour très fleur bleue. Ensuite, une chasse à l'homme dans la nuit de la jungle. Et surtout un film troublant, envoûtant, radical.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
A la fin, quand le fauteuil magique qui nous a fait voyager dans tant d'espaces et de temps, atterrit, lorsque cesse autour de nous la ronde des animaux, des hommes et des mondes, quand on se réveille du film comme on relève d'une fièvre somnambulique, on peut dire : "J'ai bien dormi, les yeux grands ouverts." Sonné, hanté, terrorisé et ravi. La Tropical Malady est une maladie d'amour.
Libération
par Didier Péron
(...) avec Tropical Malady, on tient enfin le frisson qui peut électriser un festival, donner à une manifestation, à son grabuge et ses vanités, sa profonde raison d'être. Tropical Malady est un Gange filmique s'insinuant dans la tête et circulant dans les tréfonds, dans cette torpeur opiacée du cerveau reptilien charriant la beauté empoisonnée et les fièvres pestilentielles. (critique cannoise)
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
TROPICAL MALADY est un film absolument fascinant. Un voyage mystérieux et un pur objet de cinéma.
Télérama
par Louis Guichard
Pour: s'il vit en Thaïlande - son film en témoigne intensément - Apichatpong Weerasethakul habite surtout le pays du cinéma. Ce nouveau film confirme qu'il est moins occupé à refléter une réalité locale qu'à nous tendre une sorte de miroir magique. (...) On pense au Mulholland Drive de Lynch, autre film dévoilant l'envers atroce d'une histoire trop belle (...) Mais, au final, Apichatpong Weerasethakul est plus proche du mysticisme de Jacques Tourneur (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Par son approche de la nature (...), Apichatpong Weerasethakul se révèle, après trois précédents films plus discrets, un cinéaste avec qui il faudra compter.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Sublime errance où le spectateur, lui aussi, finit par perdre pied.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Waldo Lydecker
Malgré la lenteur de la dernière partie, une certaine fascination s'installe et porte jusqu'à son dénouement cette oeuvre énigmatique.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Jean-Pierre Léonardini
Un léger endormissement nous prend parfois, face à ce qui pourrait platement nous paraître un conte à dormir debout, mais il serait malhonnête de ne pas voir que la poétique savamment distillée par Apichatpong Weerasethakul (...) témoigne d'une quête rare et que ce jeune cinéaste en marche cherche sa voie avec un beau potentiel de vertus sensibles. (critique cannoise)
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C'est (...) très insolite, souvent beau, et comme le précédent film du cinéaste (...), c'est aussi gentiment barbant par moments, c'est surtout assez hermétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Certes, il y a de splendides images de forêt et une atmosphère de conte parfois hypnotique. Mais aussi pas mal de prétention dans la mise en scène de cette étrange poursuite, teintée d'homosexualité. C'est d'une lenteur éprouvante et d'un vide interminable. On s'ennuie énormément.
The Hollywood Reporter
par Kirk Honeycutt
Ce film d'art expérimental n'est pas facile d'accès, même pour les cinéphiles les plus aventureux. (critique cannoise)
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
La première partie, chronique joliment observée, est mieux que la seconde, mystico-fantastique genre absconse et prétentieuse.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Louis Guichard
Romantique, fantastique, cette quête des tréfonds obscurs, dilatant les minutes et brouillant la vue, font du film l'objet le plus original de la compétition. (critique cannoise)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Deborah Young
(...) Tropical malady emmène le spectateur dans voyage mystérieux et par moments fascinants vers les zones les plus sombres du coeur humain et les légendes thaïlandaises, mais cela intervient après une heure d'un récit platement réalisé, autour de deux hommes attirés l'un par l'autre. (critique cannoise)
Zurban
par Waldo Lydecker
Malgré la lenteur éprouvante de cette dernière partie, une certaine fascination s'instaure et porte jusqu'à son dénouement cette oeuvre énigmatique. (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
par Nicolas Bardot
L'errance et ses habits fantastiques sont ici d'une indéniable cinégénie, mais il reste encore un petit goût d'inachevé dans cette jungle d'énigmes.
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La Rédaction
Une énigmatique réflexion venue de Thaïlande, saluée d'un prix du jury à Cannes. Mystère.
Première
par Christophe Narbonne
Le spectateur attend un semblant d'histoire, d'action (faut pas pousser), d'insolite, de frisson...Revoyez plutôt Predator.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Pierre Murat
Contre : Ce nouveau long métrage porte bien son titre. Un mal bizarre semble avoir, en effet, métamorphosé le cinéaste en sa propre caricature. C'est l'avatar d'Apichatpong Weerasethakul qui a filmé ce long diptyque indolent (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Le choc esthétique du dernier Festival de Cannes. Deux parties d'une heure chacune, aussi splendides qu'énigmatiques.
Cahiers du Cinéma
S'il faut une image de proue à une année de cinéma qui aura beaucoup fait circuler les grandes entités constitutives (...), elle est dans Tropical Malady.
Chronic'art.com
Difficile de résumer un film qui tient moins à son scénario qu'à sa capacité d'enchantement et de diffraction des sens, de diffusion discrète mais inexorable d'une magie vénéneuse. (...) Comme si les fictions que nous avions l'habitude de voir vivaient encore dans la physique du XIXe siècle là où Tropical malady est entré depuis longtemps dans celle du XXIe.
L'Humanité
Somptueux. Le jeune prodige du nouveau cinéma thaïlandais frappe une deuxième fois.
Le Monde
Le fluide sensuel, davantage qu'intellectuel, qui permet l'articulation entre les deux récits relève d'un cinéma qu'on qualifierait volontiers de chamanique (...) Possiblement née d'une triviale déception amoureuse, cette somptueuse fantasmagorie n'en évoquera pas moins, en dernier ressort, l'univers de Georges Bataille, Tropical Malady étant de fait la plus fidèle adaptation cinématographique de ce principe selon lequel "le désir est au temps ce que le tigre est à l'espace".
Le Monde
Mythologie et imaginaire (...) peuplent immédiatement ici la narration (...) puis s'évaporent subtilement dans cette contrée dont la découverte n'est donnée qu'aux plus cinéastes des cinéastes, un pays où la représentation figurative se mue en art abstrait et en sensation poétique.(critique cannoise)
Les Inrockuptibles
D'abord une histoire d'amour très fleur bleue. Ensuite, une chasse à l'homme dans la nuit de la jungle. Et surtout un film troublant, envoûtant, radical.
Libération
A la fin, quand le fauteuil magique qui nous a fait voyager dans tant d'espaces et de temps, atterrit, lorsque cesse autour de nous la ronde des animaux, des hommes et des mondes, quand on se réveille du film comme on relève d'une fièvre somnambulique, on peut dire : "J'ai bien dormi, les yeux grands ouverts." Sonné, hanté, terrorisé et ravi. La Tropical Malady est une maladie d'amour.
Libération
(...) avec Tropical Malady, on tient enfin le frisson qui peut électriser un festival, donner à une manifestation, à son grabuge et ses vanités, sa profonde raison d'être. Tropical Malady est un Gange filmique s'insinuant dans la tête et circulant dans les tréfonds, dans cette torpeur opiacée du cerveau reptilien charriant la beauté empoisonnée et les fièvres pestilentielles. (critique cannoise)
MCinéma.com
TROPICAL MALADY est un film absolument fascinant. Un voyage mystérieux et un pur objet de cinéma.
Télérama
Pour: s'il vit en Thaïlande - son film en témoigne intensément - Apichatpong Weerasethakul habite surtout le pays du cinéma. Ce nouveau film confirme qu'il est moins occupé à refléter une réalité locale qu'à nous tendre une sorte de miroir magique. (...) On pense au Mulholland Drive de Lynch, autre film dévoilant l'envers atroce d'une histoire trop belle (...) Mais, au final, Apichatpong Weerasethakul est plus proche du mysticisme de Jacques Tourneur (...).
L'Ecran Fantastique
Par son approche de la nature (...), Apichatpong Weerasethakul se révèle, après trois précédents films plus discrets, un cinéaste avec qui il faudra compter.
TéléCinéObs
Sublime errance où le spectateur, lui aussi, finit par perdre pied.
Zurban
Malgré la lenteur de la dernière partie, une certaine fascination s'installe et porte jusqu'à son dénouement cette oeuvre énigmatique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Un léger endormissement nous prend parfois, face à ce qui pourrait platement nous paraître un conte à dormir debout, mais il serait malhonnête de ne pas voir que la poétique savamment distillée par Apichatpong Weerasethakul (...) témoigne d'une quête rare et que ce jeune cinéaste en marche cherche sa voie avec un beau potentiel de vertus sensibles. (critique cannoise)
L'Obs
C'est (...) très insolite, souvent beau, et comme le précédent film du cinéaste (...), c'est aussi gentiment barbant par moments, c'est surtout assez hermétique.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Certes, il y a de splendides images de forêt et une atmosphère de conte parfois hypnotique. Mais aussi pas mal de prétention dans la mise en scène de cette étrange poursuite, teintée d'homosexualité. C'est d'une lenteur éprouvante et d'un vide interminable. On s'ennuie énormément.
The Hollywood Reporter
Ce film d'art expérimental n'est pas facile d'accès, même pour les cinéphiles les plus aventureux. (critique cannoise)
Télé 7 Jours
La première partie, chronique joliment observée, est mieux que la seconde, mystico-fantastique genre absconse et prétentieuse.
Télérama
Romantique, fantastique, cette quête des tréfonds obscurs, dilatant les minutes et brouillant la vue, font du film l'objet le plus original de la compétition. (critique cannoise)
Variety
(...) Tropical malady emmène le spectateur dans voyage mystérieux et par moments fascinants vers les zones les plus sombres du coeur humain et les légendes thaïlandaises, mais cela intervient après une heure d'un récit platement réalisé, autour de deux hommes attirés l'un par l'autre. (critique cannoise)
Zurban
Malgré la lenteur éprouvante de cette dernière partie, une certaine fascination s'instaure et porte jusqu'à son dénouement cette oeuvre énigmatique. (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
L'errance et ses habits fantastiques sont ici d'une indéniable cinégénie, mais il reste encore un petit goût d'inachevé dans cette jungle d'énigmes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
Une énigmatique réflexion venue de Thaïlande, saluée d'un prix du jury à Cannes. Mystère.
Première
Le spectateur attend un semblant d'histoire, d'action (faut pas pousser), d'insolite, de frisson...Revoyez plutôt Predator.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Contre : Ce nouveau long métrage porte bien son titre. Un mal bizarre semble avoir, en effet, métamorphosé le cinéaste en sa propre caricature. C'est l'avatar d'Apichatpong Weerasethakul qui a filmé ce long diptyque indolent (...).