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Votre avis sur Le Secret des poignards volants ?
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Redzing
Après "Ying Xiong", Zhang Yimou nous livre un nouveau film de sabre chinois (Wu Xia Pian pour les intimes...). Cette fois, une société secrète lutte contre l'injustice et l'inefficacité du gouvernement. C'est alors que deux militaires entament un plan pour exposer la société en question. Si le film démarre sur des conspirations politiques, celles-ci deviennent rapidement un prétexte pour une romance musclée entre une jeune guerrière et les deux militaires troubles. Le scénario alterne ainsi avec finesse entre stratégie et amour, sans oublier d'immanquables affrontements. Les acteurs sont dans l'ensemble convaincants, mais ici c'est bien évidemment la réalisation qui frappe. La photographie et les images sont superbes, et comme dans "Ying Xiong", Yimou joue habilement avec les couleurs, pour nous offrir des séquences très graphiques, mêlées à des combats de qualité. On notera par exemple cette magnifique scène dans la forêt de bambous. On déplorera peut-être des CGI peu discrets, mais dans l'ensemble il s'agit d'un film très réussi, mêlant habilement finesse, action, et esthétique.
Un film d’arts martiaux visuellement magnifique qui combine efficacement scènes d’actions époustouflantes et superbement chorégraphiées (dont le sublime duel dans la forêt des bambous) et romance tragique. Avec la gracieuse Zhang Ziyi.
Un film chinois qui, malgré ses couleurs chatoyantes et son bel esthétisme s’avère complètement grotesque. Une réalisation soporifique, chorégraphiée de façon niaise et interminable, à l’histoire insipide, au jeu d’acteur théâtral et caricatural et aux scènes de combats complètement exagérées. La poésie qui parcourt l’ensemble du film alourdit le scénario et finit de rendre la réalisation tout aussi ridicule qu’indigeste !
this is my movies
2ème volet de la trilogie wu xi pian de Z. Yimou, ce film est certes, encore une fois, d'une beauté plastique absolument incroyable, mais se révèle aussi vide et creux que les 2 autres. Bon, là, on a pas droit à l'apologie du PC chinois mais à une histoire d'amour en triangle bien amenée et bien racontée mais c'est aussi invraisemblable et aussi pompeux que les 2 autres. Graphiquement, le film est une splendeur avec un soin apporté aux costumes, aux décors, à la chorégraphie et avec une palette chromatique absolument incroyable mais les scènes d'action avec ces poignards qui volent tels des missiles à tête chercheuse, j'ai trouvé ça un peu gonflant. Ensuite, le rapport à l'espace, si souvent loué dans les films d'action asiatiques, est içi bien distordu comme le duel final qui place une dramaturgie lourdingue et un parcours du poignard bien hasardeux au vu de la situation géographique des protagonistes
spoiler:
les 3 persos sont au coeur d'un triangle, à 5 m l'un de l'autre mais le poignard parcourera au bas mot 300 m, avec quelques virages, avant d'atteindre sa cible
. Beaucoup d'effets spéciaux, une intrigue qui s'étire, un éblouissement visuel permanent pour un film prétentieux, parfois émouvant mais qui ne m'a pas passionné. D'autres films sur
. Beaucoup d'effets spéciaux, une intrigue qui s'étire, un éblouissement visuel permanent pour un film prétentieux, parfois émouvant mais qui ne m'a pas passionné. D'autres films sur
Magnifique, sublime, grandiose! Que dire d'autre ? Tout est beau dans ce film.
Magnifique histoire d'amour sur fond de drame historique et de sociétés secrètes admirablement interprétée par le trio d'acteurs principaux (en particulier Takeshi Kaneshiro). Le film souffre de quelques longueurs mais se rattrape largement par un esthétisme grandiose, que ce soit au travers de ses scènes d'action absolument spectaculaires ou de ses décors d'une beauté époustouflante exploités à merveille.
Le secret des poignards volants est plutôt décevant. Le film ne manque pas d'attraits, notamment ses décors et costumes d'époque aux couleurs chatoyantes. Mais le scénario s'éparpille dans des renversements de situation qui manquent de crédibilité.
Napoléon
Un film poétique, original détenant de beaux décors, s'appuyant également sur une belle réalisation, dommage que le doublage est raté.
Ce film m'a légèrement fait penser à "Hero" de Zhang Yimou. Mais en fait, normal, je me suis aperçu que c'était le même réalisateur ! Mais ne partons pas sur une comparaison sinon "Le Secret des Poignards volants" n'aurait aucune chance. Ce n'est pas le film empli de spiritualité auquel je m'attendais. Les combats sont souvent les seuls moments captivants, le reste, c'est quasiment toujours de la gnognotte ! Malgré les efforts fournis, l'histoire sentimentale présente dans ce récit ne ressort pas, elle n'a aucune profondeur. Pas de frissons, pas de palpitement, donc pas de plaisir intense... Ce film ne procure que peu d'émotions, dommage, que de belles paroles. Conclusion : Correct.
L'un des plus mauvais films que j'ai vu de toute ma vie, un décor tout sauf naturel, des acteurs au flop .. du rêve dans les fesses :D
L'un des plus beau film que j'ai vu de toute ma vie, un décor exttraordinaire, des acteurs au top .. du rêve dans les yeux :D
Esthétiquement c'est une merveille, les acteurs jouent bien, Zhang Yimou est absolument charmante quoiqu'un peu frêle, on ne s'ennuie pas une seconde, malgré le côté peu passionnant et le vide émotionnel de l'histoire, bref un beau spectacle dont on regrettera la conclusion non pas à cause de ce qui se passe (à ce stade on s'en fout un peu) mais parce que le réalisateur en rajoute des louches. Il faut bien quand même parler du scénario qui réussit l'exploit d'être à la fois simpliste, absurde et incompréhensible (faut le faire !). Quant au fond, il est complètement lisse, sauf à nous dire qu'on est tous des pions… (Merci monsieur Zhang Yimou, ça c'est de la philosophie !). On ressort de la projection comme au cirque, en n'en rapportant rien si ce n'est près de deux heures d'émerveillement, après tout c'est toujours ça !
Je ne vous parlerai pas de l'histoire, ni du jeu des acteurs, mais seulement des images que j'ai trouvées absolument magnifiques et de la superbe musique signée Shigeru Umebayashi.
J'ai découvert ce film par curiosité, après avoir entendu une chanson interprétée d'une façon extraordinaire par Jackie Evancho, une très jeune chanteuse soprano de style "classical-crossover", (chanteuse lyrique ou popéra) alors à peine âgée de 11 ans.
Il s'agissait, en fait, du thème principal de la musique du film, "Lovers", réarrangé par David Foster (sauf erreur), enregistré pour une émission spéciale qui lui était consacrée et qui a été diffusée à la télévision en première partie de soirée aux États-Unis en juin 2011.
Voici cette remarquable interprétation (lien plus bas), que l'on retrouve sur son album "Dream with me" coproduit par David Foster.
Consultez vite sa bio sur Wikipédia ou sa fiche sur AlloCiné, ainsi que les nombreuses vidéos de ses magnifiques prestations également disponibles sur Youtube.
J'espère contribuer à faire connaître en France cette voix et cette jeune personne exceptionnelles.
J'ai découvert ce film par curiosité, après avoir entendu une chanson interprétée d'une façon extraordinaire par Jackie Evancho, une très jeune chanteuse soprano de style "classical-crossover", (chanteuse lyrique ou popéra) alors à peine âgée de 11 ans.
Il s'agissait, en fait, du thème principal de la musique du film, "Lovers", réarrangé par David Foster (sauf erreur), enregistré pour une émission spéciale qui lui était consacrée et qui a été diffusée à la télévision en première partie de soirée aux États-Unis en juin 2011.
Voici cette remarquable interprétation (lien plus bas), que l'on retrouve sur son album "Dream with me" coproduit par David Foster.
Consultez vite sa bio sur Wikipédia ou sa fiche sur AlloCiné, ainsi que les nombreuses vidéos de ses magnifiques prestations également disponibles sur Youtube.
J'espère contribuer à faire connaître en France cette voix et cette jeune personne exceptionnelles.
Voilà...et oui les chinois sont assez fiers de leur passé et ils le prouvent avec un nombre incroyable de films basés dessus. Tout comme son précédent film ''Hero'', le nouveau Zhang Yimou n'échappe pas à la règle et il vogue sur la même vague que ''Tigre & Dragon'' et ''Hero'' : film historique avec costumes et décors très jolis sans oublier des combats chorégraphiés.
Et oui, pour ce qui est des costumes rien à redire, pour les décors nous avons à faire à des gens qui connaissent leur boulot : que se soit les décors en intérieur comme la maison de joie ou les décors naturels comme les forêts ou les collines, c'est un plaisir pour les yeux ! Mr Yimou prend même un malin plaisir à s'accaparer quelques scènes pour "présenter" les lieux où arrivent les personnages en les filmant avec de grands plans larges, comme s'il souhaitait rendre hommage, remercier ces "acteurs" qui donnent beaucoup au film. Cela peut paraître parfois longuet ou répétitif mais bon, moi j'avoue que je me laisse bercer par de si jolies images.
Pour ce qui est des combats, le film en comporte son petit lot et sont très sympathiquement chorégraphié : celui dans les champs suit un rythme très soutenu, quand à celui dans la forêt de bambou, c'est tout simplement un moment de pur lyrisme. Il faut aussi ajouter que l'emploi de l'ordinateur et de la synthèse sont assez surprenant mais tout aussi sympathique : les poignards donnent littéralement l'impression de danser dans les airs et je suis fan des passages de "snipe" à l'arc (j'en avais pas vu d'aussi trippant depuis notre ami Ashitaka dans ''Princesse Mononoké'' !!).
Côté casting rien à préciser : le grand Andy Lau nous impose toujours sa charismatique présence et le jeune Takeshi Kaneshiro est assez plaisant, et la charmante Zhang Ziyi nous gratifie d'une jolie scène de danse et elle pousse même la chansonnette, chose assez rare pour le souligner. Par contre, mon seul regret est que Mr Yimou a un peu trop poussé la romance...et malheureusement cela va parfois jusqu'à l’écœurement, notemment dans la scène finale où cela aurait été plus sage de la laisser de côté...alors finalement on a l'impression à la fin d'assister à une tragédie shakespearienne, ce qui est assez paradoxal avec le reste du film. Enfin, les adeptes du romantisme seront comblés !
Et oui, pour ce qui est des costumes rien à redire, pour les décors nous avons à faire à des gens qui connaissent leur boulot : que se soit les décors en intérieur comme la maison de joie ou les décors naturels comme les forêts ou les collines, c'est un plaisir pour les yeux ! Mr Yimou prend même un malin plaisir à s'accaparer quelques scènes pour "présenter" les lieux où arrivent les personnages en les filmant avec de grands plans larges, comme s'il souhaitait rendre hommage, remercier ces "acteurs" qui donnent beaucoup au film. Cela peut paraître parfois longuet ou répétitif mais bon, moi j'avoue que je me laisse bercer par de si jolies images.
Pour ce qui est des combats, le film en comporte son petit lot et sont très sympathiquement chorégraphié : celui dans les champs suit un rythme très soutenu, quand à celui dans la forêt de bambou, c'est tout simplement un moment de pur lyrisme. Il faut aussi ajouter que l'emploi de l'ordinateur et de la synthèse sont assez surprenant mais tout aussi sympathique : les poignards donnent littéralement l'impression de danser dans les airs et je suis fan des passages de "snipe" à l'arc (j'en avais pas vu d'aussi trippant depuis notre ami Ashitaka dans ''Princesse Mononoké'' !!).
Côté casting rien à préciser : le grand Andy Lau nous impose toujours sa charismatique présence et le jeune Takeshi Kaneshiro est assez plaisant, et la charmante Zhang Ziyi nous gratifie d'une jolie scène de danse et elle pousse même la chansonnette, chose assez rare pour le souligner. Par contre, mon seul regret est que Mr Yimou a un peu trop poussé la romance...et malheureusement cela va parfois jusqu'à l’écœurement, notemment dans la scène finale où cela aurait été plus sage de la laisser de côté...alors finalement on a l'impression à la fin d'assister à une tragédie shakespearienne, ce qui est assez paradoxal avec le reste du film. Enfin, les adeptes du romantisme seront comblés !
Pas mal du tout. Car on s’attend à un film de sabre tout ce qu’il ya de classique, et le talent du réalisateur est de nous faire passer du sabre au mélodrame, sans donner l’impression que le film change de statut, ou qu’il y est décalage. C’est assez original comme parti-pris. Beauté des images, en plus, plans soignés, effets numériques mélangés à des cascades à l’ancienne, chorégraphies très pros. Scénario en forme de jeu de piste, simple mais efficace. C’est sûr que ce n’est pas Racine ou Shakespeare, mais avec un titre pareil, vous vous attendiez à quoi ? Une étude approfondie des tréfonds de l’âme humaine ? Soyons sérieux. Quelques rebondissements, des combats impressionnants, acteurs impliqués et sérieux, paysages en forme de tableaux en vert et ocre. Que demander de plus à ce cinéma là ? C’est plein de rêverie, de poésie, et de fraîcheur, et ça reste divertissant. Ça vaut le détour et une nuit blanche. Pourtant les films de sabre me sortent par les yeux d’habitude…autant dire que c’est du bon.
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