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Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
tres incomplet ennuyeux a mourrir mais certaines scenes sont pas mal on ne sait pas ce que devient le clan sinon les scenes d'amour sont parfois trés chiantes
Je ne m'attendais pas à avoir un tel coup de coeur pour ce film, et pourtant, je suis tombée sous le charme de 'House of flying Daggers'. C'est même l'un des meilleurs films que j'ai vu depuis pls années : à la fois poétique, émouvant (j'ai versé pas mal de larmes ;-))et exaltant. Non seulement les scènes de combats sont superbes, mais le scénario est aussi très original et le suspense haletant. De plus, le film est servi par des acteurs excellents et beaux pour ne rien gâcher (mention spéciale pour Takeshi Takeshiro) !Que demander de plus? j'achèterais le DVD dès sa sortie ! Je le conseille vivement aux filles comme aux garçons. Personne ne sortira déçue!
Du Shakespeare à la sauce chinoise filmé par un peintre sur toile de cinéma. On peut dire qu'avec le Secret des poignards volant, le réalisateur d'Epouses et concubines, Zhang Yimou, nous a gâtés. Deux heures de magie et d'esthétisme poussé à l'extrême (trop ?) : beauté des acteurs et jeu à la hauteur de leurs rôles respectifs, une mise en scène réglée comme un ballet, un scénario riche et subtil, musique envoûtante, costumes flamboyants, magnificence des paysages et des couleurs (même si une grande partie du film a été tournée en Ukraine !) ; chaque image est un véritable tableau à lui tout seul. Notre regard est happé. On est croule devant tant de grâce. Difficile d'évoquer en détail l'histoire de ce film sans en déflorer le sujet. C'est au départ, une histoire de lutte politique dans laquelle naît une histoire d'amour impossible ; le tout à l'époque de la Chine Impériale du IXème siècle où différents clans s'affrontaient en vue de s'emparer du pouvoir. L'intrigue semble tenir dans un bol de riz, mais ne vous détrompez pas pour autant car, derrière cette apparente banalité du sujet, une multitude de rebondissements vous attendent et, donne du rythme à ce chef d'uvre, chose plutôt inhabituelle dans les films asiatiques et, avouons que ce n'est pas déplaisant Le secret des poignards volant, n'est pas sans rappeler Tigres et dragons, sauf qu'ici, le sujet laisse davantage la place au romanesque plutôt qu'à un mélo pseudo-philosophique rasoir. Le film défile sans que nous nous en rendions compte dans un cadre où la poésie est omniprésente. Aussi, lorsque vient le générique de fin, on se surprend à rester scotché à son fauteuil pour vivre jusqu'à la dernière seconde cette sorte de sérénité que Zhang Yimou a su nous transmettre l'espace de son long-métrage. Courrez, si ce n'est déjà fait, découvrir le Secret des poignards volants, c'est sans doute un des plus beaux films de l'année et des plus réussi du réalisateur Chinois.
Film d'une rare beauté. Si l'esthétisme a été fignolé, le scénario n'a pas pour autant été oublié; il est très largement au dessus de la moyenne de ce genre de productions.
Très bon film, évidement il faut aimer le style... Bien que le scénario reste plutôt banal on est envouté tout le long! Plusieurs scènes sont magnifiques comme cette scène de danse au début! Musique très belle, bons acteurs,bonne réalisation, bref, un film à voir!
Excellent film !!! Pour ceux qui ont adoré Tigre & Dragon et Hero. Avec la même actrice, la sublime Zhang Ziyi. Les décors et les costumes sont magnifiques, et la musique colle parfaitement à l'ambiance. Les combats sont extraordinaires, mais il faut aimer le style asiatique (les types qui marchent sur les arbres, etc... moi j'adore !).
il semblerait que des producteurs appâtés par le gain justifié de Tigres & dragon veuillent exploiter le filon jusqu'au bout. Tant qu'ils arrivent à berner les spectateurs occidentaux, qu'ils continuent. Déjà hero m'avait déçu, mais là c'est le summum : tout est prévisible,les ingrédients de la recette y sont, mais pour moi en tout cas, ca ne prend plus (pourtant je suis bon public).
De la poésie des images (les scènes toutes vertes vers la fin du film, un occidental n'aurait pas osé...), des scènes d'action parfois époustouflantes, des acteurs et actrices à la plastique (mmmh !), mais quelques longueurs (courses à cheval par exemple).
Très bon souvenir d'une belle (simple) histoire qui vaut surtout par sa mise en forme, vue en famille.
Décidément, le Wu Xia Pian (film de sabre et de chevalerie) réussit à merveille à Zang Yimou. Certes il s'agit ici d'une simple histoire d'amour, simple et belle, romantique au premier degré, n'en déplaise aux sinistres ricaneurs qui hantent les salles et gâchent les projections avec leurs stupides gloussements. Quant aux combats, ils sont plus brutaux que dans " Hero " tout en restant sophistiqués et esthétisés à l'extrême, On retiendra surtout un magnifique affrontement dans une forêt de bambou et la danse des tambours au tout début, Yuen Woo Ping s'en est donné à coeur joie.
J'ai adoré. Un super spectacle, magique avec une ambiance onirique. Les personnages sont tellement gracieux et majestueusement interprétés et surtout une très belle histoire d'amour.
Déception ! Autant j'ai aimé Tigre&Dragon, autant j'ai adoré Héroe, autant ce dernier opus m'a laissé un sentiment d'inachevé. Je sais pas... j'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. L'histoire quant à elle n'est pas extra et je trouve la fin un peu nulle. Moi qui rêvais de me divertir par le biais de ballet aérien, je me suis vite ennuyé, affalé dans le fauteuil rouge de la salle de ciné. Point positif (quand même !) : la chorégraphie de Ziyi Zhang en début de film lors de l'épreuve des tambours... superbe !
Fantastique Ziyi Zhang, comme d'habitude ! Fantastique Chine ancestrale tout comme fantastiques combats, couleurs, costumes et style. On croit au leurre jusqu'à la fin.
Comme d'habitude, je salue la gestion de l'espace que l'on retrouve souvent dans les productions asiatiques. J'ai été vraiment touché par l'histoire qui se noue au coeur du film, sans doute à tel point qu'elle m'a fait oublier les scènes d'actions visuellement proches de la perfection. A la sortie de la salle, difficile de s'en remettre. En reparler me donne la chair de poule. Un must...Et encore bravo à Zhang Ziyi, toujours aussi belle même en aveugle.