Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Hero, tourné comme en réponse à Tigre et dragon, calibré par Ang Lee pour viser un succès international, était un époustouflant travail visuel. Le Secret des poignards volants est encore plus magique. (...) Le film se déroule presque en une succession de morceaux de bravoure (...). Comment ne pas écarquiller les yeux ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cinéastes
par Hendy Bicaise
L'acuité visuelle du film et la perfection des combats, soufflants et étonnament comiques, déposent le film à une longueur de Tigre et Dragon.
Elle
par Elizabeth Quin
Pour la fougueuse Zhang Ziyi (...). Pour la danse de l'écho : se dépatouillant admirablement de plusieurs métrages de voile arachnéen, Zhang Ziyi fait chanter les cailloux sur des tambours lors d'une scène aux couleurs de l'arc-en-ciel (...). Pour le duel dans la forêt de bambous (...). Pour le marivaudage... à la chinoise : sous l'action, il y a un grand film d'amour (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
Après le clinquant "Hero", Zhang Yimou semble avoir retrouvé une nouvelle vitalité dans le Wu Xia Pian (film de sabre), genre éminemment populaire en Chine. Il trouve ici un équilibre impressionnant entre scènes d'actions virtuoses et une romance tragique interprétée par les trois acteurs superstars du moment. Maîtrise totale, plaisir maximum.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Emmanuèle Frois
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Jean-Luc WACHTHAUSEN
C'est peu dire que ce film magnifique de Zhang Yimou a fait sensation au dernier Festival de Cannes. (...) Le réalisateur d'Épouses et Concubines et de Hero plonge avec délectation dans le film de sabres et d'arts martiaux en respectant ses règles et sa dramaturgie. Au-delà du raffinement et de la maîtrise de la mise en scène, qui allie à la fois la poésie pure et le réalisme brutal, il raconte une merveilleuse cavalcade en même temps qu'une cruelle et cornélienne histoire d'amour.
Rolling Stone
par Isabelle Danel
Ce n'est pas du cinéma, c'est la Foire du trône ! Ca monte et ça descend, ça voltige et ça virevolte, c'est sucré et bigarré, amer et inquiétant de temps en temps, joyeux le plus souvent. Tout est ici émotion et sensation. Plaisir du jeu et de la maestria lors de la danse des échos. (...) Il y a des codes et des passages obligés et Zhang Yimou s'y plie avec un talent colossal. (...) Un superbe hommage au film de genre, une magnifique histoire d'amour, une impressionnante succession de moments jubilatoires.
The Hollywood Reporter
par Kirk Honeycutt
Si les scènes d'action sont du niveau de Tigre et dragon, Zhang se sert du genre pour relater un conte émouvant et tragique sur des amoureux rattrapés par des forces qui menacent de les submerger. (critique cannoise)
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Cette fois encore, le cinéma chinois déploie un faste et un dynamisme incomparables. Zhang Yimou a ciselé un film d'une splendeur à donner le frisson. Un "film de sabre" aux époustouflants combats chorégraphiques (...). Les morceaux de bravoure pullulent au long de ces deux heures de plaisir ininterrompu.
Zurban
par Charlotte Lipinska
Beauté formelle stupéfiante, frénésie des combats: avec Le Secret des poignards volants, Zhang Yimou passe maître dans l'art de la joute aérienne.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
On avait laissé Zhang capitalisant à mort sur une roublarde version kitsch de Tigre et Dragon, avec son Héros ampoulé et tape-à-l'oeil. Il réapparaît sous le signe des Poignards volants, en poussant plus loin encore la dérive. Surprise, il retrouve, au-delà de tout calcul et de tout recyclage, une forme de stylisation souvent plaisante, souvent touchante, et parfois magnifique.
L'Humanité
par Jean Roy
Nous sommes dans un authentique film de genre, capable de faire passer Eugène Sue pour du Claudel (...) La mise en scène est parfois bien statique, quoique superbement composée, dans les scènes sans combats, mais ces derniers sont admirables, ainsi que le dernier quart d'heure digne des plus grands mélodrames. (critique cannoise)
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Tout, ici, ballet de trahisons, jeux de dupes, maelström de travestissements et sidérantes acrobaties, combats en apesanteur ou cliquetis d'un rideau de perles, rafale de flèches ou pluie de feuilles d'arbres dans un silence menaçant, est dessiné avec un amour éperdu des formes, un sens aigu de la stylisation, le goût d'une création qui, à l'image des personnages, se joue des apparences.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Tenues mirobolantes, chorégraphies aériennes, plans de nature où éclatent des rouges feu, des verts clinquants, des jaunes or, une symphonie de couleurs automnales, puis une tempête de neige et de givre : si le drame amoureux des personnages laisse de glace, la beauté formelle de leur décor et de leurs ébats meurtriers subjugue. (critique cannoise)
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Deuxième film d'arts martiaux de Zhang Yimou, qui se mesure à Tigre et Dragon sans démériter. Le souffle de l'épique traverse cette spectaculaire épopée de deux bretteurs ennemis (...). Zhang Yimou sort enfin de ses mélos paysans et urbains, de ses drames de cour filmés au cordeau, pour trouver un souffle épique qui lui manquait.
Libération
par Bayon
D'une manière ou d'une autre, le faste allégorique déployé, cybermélo et chromos compris, ne manque pas de charmes. Certaine scène de bain lutin, entre autres prouesses pugnaces, rend un assez pur éclat. Le trio star idyllique (Takeshi Kaneshiro, Andy Lau Tak Wah) remplit rigoureusement son office.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Si vous n'avez pas aimé HERO, ce n'est pas la peine de faire le déplacement. Si, en revanche, vous en gardez un souvenir ému, courez voir LE SECRET DES POIGNARDS VOLANTS. Car tout ici rappelle le style et l'ambiance grandiose du précédent film de Zhang Yimou. Le cinéaste double donc la mise et réussit à nouveau de grandes scènes d'action au rythme trépidant et à la mise en scène survoltée.
Positif
par Adrien Gombeaud
De façon moins radicale que leZatoichi de Kitano, Le Secret des poignards volants est un film de sabre de son temps, taillé pour un public international et tourné vers l'extérieur. Quand Zhang yimou et ses contemporains dérogent au genre pour mieux l'actualiser, ils se montrent profondément fidèles aux anciens.
Première
par Gérard Delorme
Assisté des meilleurs spécialistes dans leurs domaines respectifs, Yimou compense un relatif déficit de substance par un soin accru apporté aux scènes d'action. Le résultat est véritablement inouï, même si l'habile cinéaste n'a fait qu'appliquer des moyens industriels à un genre jusqu'à présent artisanal. (...) Le world-cinéma est en marche, et il ne vient pas seulement de Californie.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
(...) Zhang Yimou réussit à renouveler l'un des genres les plus solidement ancrés dans la tradition chinoise en célébrant le culte de la beauté absolue.
Chronic'art.com
par Alex Masson
Depuis Hero, et aujourd'hui avec ce second film de sabre, Yimou a pris un chemin quasi à l'opposé : divertissement populaire en Scope flamboyant, personnages romanesques et discours socio-politique flattant le pouvoir. (...) Quand le réalisateur privilégie la chair au lieu du sens, Le Secret des poignards volants rencontre enfin ce qui lui manque souvent : une émotion autre qu'esthétique, quelque chose qui ne sonne pas comme une reconstitution parfaite mais creuse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Le réalisateur de "Hero" continue à faire danser les sabres en virtuose. Mais mollit côté scénario.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Aurélien Férenczi
L'important, ce sont les combats, assez bluffants, avec effets spéciaux ad hoc (...) Entre ces scènes spectaculaires, hélas, on s'ennuie un peu : Hero atteignait une dimension historico-mythique, tout en s'avouant une proposition esthétique très conceptuelle. Ici, il y a une simple histoire de trahison amoureuse et de sacrifice, qui peine à émouvoir. (critique cannoise)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Derek Elley
(...) un film plus grand public que Hero, mais une plongée moins abstraite dans le genre, efficacement réalisée. Cette histoire où se mêlent amour et déguisements est magnifique dans ses séquences d'action, mais manque d'émotion (...) (critique cannoise)
Zurban
par Mathieu Dupont
Volée de flèches et de couteaux à tête chercheuse, combats dansés : l'action est superbe et pimentée d'un humour qui fait accepter son invraisemblance. Le conte aurait cependant gagner à être plus philosophique et à creuser les jolis sujets qu'il effleure. (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Avec Le secret des poignards volants, le réalisateur chinois confère une désinvolture à ce spectacle assurément faux mais assez jubilatoire dont la recette simple consiste à alterner les plages intimistes avec des scènes de combat impressionnantes. Ce n'est pas nouveau mais ce n'est pas plus mal.
Aden
Hero, tourné comme en réponse à Tigre et dragon, calibré par Ang Lee pour viser un succès international, était un époustouflant travail visuel. Le Secret des poignards volants est encore plus magique. (...) Le film se déroule presque en une succession de morceaux de bravoure (...). Comment ne pas écarquiller les yeux ?
Cinéastes
L'acuité visuelle du film et la perfection des combats, soufflants et étonnament comiques, déposent le film à une longueur de Tigre et Dragon.
Elle
Pour la fougueuse Zhang Ziyi (...). Pour la danse de l'écho : se dépatouillant admirablement de plusieurs métrages de voile arachnéen, Zhang Ziyi fait chanter les cailloux sur des tambours lors d'une scène aux couleurs de l'arc-en-ciel (...). Pour le duel dans la forêt de bambous (...). Pour le marivaudage... à la chinoise : sous l'action, il y a un grand film d'amour (...).
Fluctuat.net
Après le clinquant "Hero", Zhang Yimou semble avoir retrouvé une nouvelle vitalité dans le Wu Xia Pian (film de sabre), genre éminemment populaire en Chine. Il trouve ici un équilibre impressionnant entre scènes d'actions virtuoses et une romance tragique interprétée par les trois acteurs superstars du moment. Maîtrise totale, plaisir maximum.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
C'est peu dire que ce film magnifique de Zhang Yimou a fait sensation au dernier Festival de Cannes. (...) Le réalisateur d'Épouses et Concubines et de Hero plonge avec délectation dans le film de sabres et d'arts martiaux en respectant ses règles et sa dramaturgie. Au-delà du raffinement et de la maîtrise de la mise en scène, qui allie à la fois la poésie pure et le réalisme brutal, il raconte une merveilleuse cavalcade en même temps qu'une cruelle et cornélienne histoire d'amour.
Rolling Stone
Ce n'est pas du cinéma, c'est la Foire du trône ! Ca monte et ça descend, ça voltige et ça virevolte, c'est sucré et bigarré, amer et inquiétant de temps en temps, joyeux le plus souvent. Tout est ici émotion et sensation. Plaisir du jeu et de la maestria lors de la danse des échos. (...) Il y a des codes et des passages obligés et Zhang Yimou s'y plie avec un talent colossal. (...) Un superbe hommage au film de genre, une magnifique histoire d'amour, une impressionnante succession de moments jubilatoires.
The Hollywood Reporter
Si les scènes d'action sont du niveau de Tigre et dragon, Zhang se sert du genre pour relater un conte émouvant et tragique sur des amoureux rattrapés par des forces qui menacent de les submerger. (critique cannoise)
Télé 7 Jours
Cette fois encore, le cinéma chinois déploie un faste et un dynamisme incomparables. Zhang Yimou a ciselé un film d'une splendeur à donner le frisson. Un "film de sabre" aux époustouflants combats chorégraphiques (...). Les morceaux de bravoure pullulent au long de ces deux heures de plaisir ininterrompu.
Zurban
Beauté formelle stupéfiante, frénésie des combats: avec Le Secret des poignards volants, Zhang Yimou passe maître dans l'art de la joute aérienne.
Cahiers du Cinéma
On avait laissé Zhang capitalisant à mort sur une roublarde version kitsch de Tigre et Dragon, avec son Héros ampoulé et tape-à-l'oeil. Il réapparaît sous le signe des Poignards volants, en poussant plus loin encore la dérive. Surprise, il retrouve, au-delà de tout calcul et de tout recyclage, une forme de stylisation souvent plaisante, souvent touchante, et parfois magnifique.
L'Humanité
Nous sommes dans un authentique film de genre, capable de faire passer Eugène Sue pour du Claudel (...) La mise en scène est parfois bien statique, quoique superbement composée, dans les scènes sans combats, mais ces derniers sont admirables, ainsi que le dernier quart d'heure digne des plus grands mélodrames. (critique cannoise)
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Tout, ici, ballet de trahisons, jeux de dupes, maelström de travestissements et sidérantes acrobaties, combats en apesanteur ou cliquetis d'un rideau de perles, rafale de flèches ou pluie de feuilles d'arbres dans un silence menaçant, est dessiné avec un amour éperdu des formes, un sens aigu de la stylisation, le goût d'une création qui, à l'image des personnages, se joue des apparences.
Le Monde
Tenues mirobolantes, chorégraphies aériennes, plans de nature où éclatent des rouges feu, des verts clinquants, des jaunes or, une symphonie de couleurs automnales, puis une tempête de neige et de givre : si le drame amoureux des personnages laisse de glace, la beauté formelle de leur décor et de leurs ébats meurtriers subjugue. (critique cannoise)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Deuxième film d'arts martiaux de Zhang Yimou, qui se mesure à Tigre et Dragon sans démériter. Le souffle de l'épique traverse cette spectaculaire épopée de deux bretteurs ennemis (...). Zhang Yimou sort enfin de ses mélos paysans et urbains, de ses drames de cour filmés au cordeau, pour trouver un souffle épique qui lui manquait.
Libération
D'une manière ou d'une autre, le faste allégorique déployé, cybermélo et chromos compris, ne manque pas de charmes. Certaine scène de bain lutin, entre autres prouesses pugnaces, rend un assez pur éclat. Le trio star idyllique (Takeshi Kaneshiro, Andy Lau Tak Wah) remplit rigoureusement son office.
MCinéma.com
Si vous n'avez pas aimé HERO, ce n'est pas la peine de faire le déplacement. Si, en revanche, vous en gardez un souvenir ému, courez voir LE SECRET DES POIGNARDS VOLANTS. Car tout ici rappelle le style et l'ambiance grandiose du précédent film de Zhang Yimou. Le cinéaste double donc la mise et réussit à nouveau de grandes scènes d'action au rythme trépidant et à la mise en scène survoltée.
Positif
De façon moins radicale que leZatoichi de Kitano, Le Secret des poignards volants est un film de sabre de son temps, taillé pour un public international et tourné vers l'extérieur. Quand Zhang yimou et ses contemporains dérogent au genre pour mieux l'actualiser, ils se montrent profondément fidèles aux anciens.
Première
Assisté des meilleurs spécialistes dans leurs domaines respectifs, Yimou compense un relatif déficit de substance par un soin accru apporté aux scènes d'action. Le résultat est véritablement inouï, même si l'habile cinéaste n'a fait qu'appliquer des moyens industriels à un genre jusqu'à présent artisanal. (...) Le world-cinéma est en marche, et il ne vient pas seulement de Californie.
TéléCinéObs
(...) Zhang Yimou réussit à renouveler l'un des genres les plus solidement ancrés dans la tradition chinoise en célébrant le culte de la beauté absolue.
Chronic'art.com
Depuis Hero, et aujourd'hui avec ce second film de sabre, Yimou a pris un chemin quasi à l'opposé : divertissement populaire en Scope flamboyant, personnages romanesques et discours socio-politique flattant le pouvoir. (...) Quand le réalisateur privilégie la chair au lieu du sens, Le Secret des poignards volants rencontre enfin ce qui lui manque souvent : une émotion autre qu'esthétique, quelque chose qui ne sonne pas comme une reconstitution parfaite mais creuse.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le réalisateur de "Hero" continue à faire danser les sabres en virtuose. Mais mollit côté scénario.
Télérama
L'important, ce sont les combats, assez bluffants, avec effets spéciaux ad hoc (...) Entre ces scènes spectaculaires, hélas, on s'ennuie un peu : Hero atteignait une dimension historico-mythique, tout en s'avouant une proposition esthétique très conceptuelle. Ici, il y a une simple histoire de trahison amoureuse et de sacrifice, qui peine à émouvoir. (critique cannoise)
Variety
(...) un film plus grand public que Hero, mais une plongée moins abstraite dans le genre, efficacement réalisée. Cette histoire où se mêlent amour et déguisements est magnifique dans ses séquences d'action, mais manque d'émotion (...) (critique cannoise)
Zurban
Volée de flèches et de couteaux à tête chercheuse, combats dansés : l'action est superbe et pimentée d'un humour qui fait accepter son invraisemblance. Le conte aurait cependant gagner à être plus philosophique et à creuser les jolis sujets qu'il effleure. (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
Avec Le secret des poignards volants, le réalisateur chinois confère une désinvolture à ce spectacle assurément faux mais assez jubilatoire dont la recette simple consiste à alterner les plages intimistes avec des scènes de combat impressionnantes. Ce n'est pas nouveau mais ce n'est pas plus mal.