Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
The Hollywood Reporter
par Ray Bennett
Un film extrêmement divertissant et intelligent qui combine frissons, comédie et politique. (critique cannoise)
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Une comédie sociale ironique, naïve et sympathique. (...) Les acteurs sont excellents, le trio de comédiens de sang neuf comme leur aîné. Un film pas inoubliable, à la facture honnête, mais agréable et qui voit triompher les bons sentiments sur la lâcheté.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cinéastes
par Céline Lin
Derrière un discours politique très cliché, l'utopie des personnages devient palpable. Le mérite du film est d'accompagner ces jeunes dans leur quête sans interprétation sociologique. (...) C'est une oeuvre honnête, sans surprise, où les stéréotypes font partie du jeu, où l'utopie des personnages devient accessible.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Humanité
par Jean Roy
Si le reste est quelque peu convenu, cette partie [l'enlèvement] est formidable, méditation non dénuée d'humour sur le temps qui a passé et la sagesse qui a plombé les jours. Hans Weingarten, qui ne dissimule pas la part d'autobiographie de son film, a fait le choix de coller au réel par le moyen d'un tournage en vidéo sans éclairage artificiel, présentant de ce fait les apparences d'un reportage naturaliste dénué de toute aura.
L'Humanité
par Jean Roy
The Edukators est davantage un petit film non dénué de charme qu'une oeuvre majeure (...) Que tout cela est sympathique, trop sans doute. (critique cannoise)
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Drôle de petit film, sympathique et maladroit, qui fait de la politique douce et de l'idéologie allégée. (...) Dommage que la réalisation ne soit pas tout à fait à la hauteur d'une idée originale.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il y a quelque chose d'émouvant à voir comment le jeune metteur en scène gaspille ses idées de scénario, de mise en scène et de direction d'acteurs, pour ne laisser au bout du compte que l'esquisse très gauche du film qu'aurait pu être The Edukators.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Olivier De Bruyn
Hans Weingartner signe un film gentil et superficiel. Le sujet méritait un traitement moins anodin.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sabine Gros La Faige
Bénéficiant de la vitalité de jeu des acteurs (...), The Edukators est divertissant, drôle mais un poil trop léger et démago, surtout dans sa conclusion.
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
A partir d'un sujet intéressant, avec de jeunes acteurs motivés, Hans Weingartner a réalisé un film assez artificiel, jonglant avec les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Sans grâce, avec même une certaine démagogie, Hans Weingartner assène son refus de la société de consommation. (...) Une seconde partie plus réaliste (...). Parenthèse contredite par une chute qui, sans doute conçue par le réalisateur comme un acte politique hautement subversif, fige le film dans un manichéisme gênant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Même si le film, dans la forme comme dans le propos, paraît un peu trop démonstratif, voire souvent naïf, ses personnages échappent à l'archétype grâce à la sensibilité de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Louis Guichard
Formellement sans grâce, The Edukators a pour lui une grande vitalité, de jeunes acteurs très physiques (dont Daniel Brühl, de Goodbye Lenin), et une belle capacité à rebondir quand l'impasse se profile. (critique cannoise)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par David Rooney
Ce film filandreux souffre d'un manque de sobriété et de dialogues au contenu politique indigent, mais se révèle peu à peu intéressant, après un démarrage laborieux. (critique cannoise)
Zurban
par Charlotte Lipinska
Passé un début longuet (...), le film surprend (...). C'est assez drôle. Le doute plane, la tension monte... jusqu'au pied de nez final.
Zurban
par Charlotte Lipinska
Malgré le charme et la justesse des comédiens (...) la première partie à la Jules et Jim version Che et poing levé est un peu longue (...) Le film prend soudainement une autre tournure quand le kidnappé révèle, lui aussi, un passé de révolté (...) c'est assez drôle et cela fonctionne.(critique cannoise)
aVoir-aLire.com
par La Rédaction
Enfin du cinéma qui ne va pas dans le sens du poil, qui ne s'enfonce pas dans le politiquement correct. Malheureusement, après un début réussi, le scénario patine quelque peu. (...) Hans Weingartner alterne le bon - la scène d'ouverture - comme le moins bon - les scènes de clôture -, comme s'il ne maîtrisait son sujet que par intermittence. D'où un sentiment d'inachevé qui naît de son film.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Un ramassis de clichés sur l'adolescence décérébrée que le film pétarade à qui mieux mieux. (...) Dans la mise en forme, Weingartner se raccroche piteusement à l'académisme du cinéma "djeuns", soit une caméra à l'épaule, une photo cradasse, des jeunes acteurs tout mignons et une B.O. pop que les fans iront acheter ensuite à la Fnac.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La morale de cette oeuvre qui se pique de subversion est à l'avenant de ce qui aura précédé : émolliente et commercialement correcte. (critique cannoise)
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Si The Edukators échoue à mettre en oeuvre le moindre acte de résistance, c'est qu'il ne se pose jamais la question de sa forme, trop occupé qu'il est à brasser des poncifs et à rester dans le registre "petit malin" du malentendu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Entre critique sociale et démagogie, il n'y a parfois qu'un pas. Weingartner le franchit sans scrupule (...) Le spectateur, caressé dans le sens du poil, bercé par le bruit des portes ouvertes enfoncées à grands coups d'épaule, n'a même plus la force de s'énerver. (critique cannoise)
Ouest France
par La Rédaction
Une production allemande qui joue avec une certaine facilité de thèmes à la mode sans vraiment trouver matière à réflexion dans le regard qu'elle porte sur la société. Un propos creux.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
The Hollywood Reporter
Un film extrêmement divertissant et intelligent qui combine frissons, comédie et politique. (critique cannoise)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Une comédie sociale ironique, naïve et sympathique. (...) Les acteurs sont excellents, le trio de comédiens de sang neuf comme leur aîné. Un film pas inoubliable, à la facture honnête, mais agréable et qui voit triompher les bons sentiments sur la lâcheté.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cinéastes
Derrière un discours politique très cliché, l'utopie des personnages devient palpable. Le mérite du film est d'accompagner ces jeunes dans leur quête sans interprétation sociologique. (...) C'est une oeuvre honnête, sans surprise, où les stéréotypes font partie du jeu, où l'utopie des personnages devient accessible.
L'Humanité
Si le reste est quelque peu convenu, cette partie [l'enlèvement] est formidable, méditation non dénuée d'humour sur le temps qui a passé et la sagesse qui a plombé les jours. Hans Weingarten, qui ne dissimule pas la part d'autobiographie de son film, a fait le choix de coller au réel par le moyen d'un tournage en vidéo sans éclairage artificiel, présentant de ce fait les apparences d'un reportage naturaliste dénué de toute aura.
L'Humanité
The Edukators est davantage un petit film non dénué de charme qu'une oeuvre majeure (...) Que tout cela est sympathique, trop sans doute. (critique cannoise)
Le Figaroscope
Drôle de petit film, sympathique et maladroit, qui fait de la politique douce et de l'idéologie allégée. (...) Dommage que la réalisation ne soit pas tout à fait à la hauteur d'une idée originale.
Le Monde
Il y a quelque chose d'émouvant à voir comment le jeune metteur en scène gaspille ses idées de scénario, de mise en scène et de direction d'acteurs, pour ne laisser au bout du compte que l'esquisse très gauche du film qu'aurait pu être The Edukators.
Première
Hans Weingartner signe un film gentil et superficiel. Le sujet méritait un traitement moins anodin.
Rolling Stone
Bénéficiant de la vitalité de jeu des acteurs (...), The Edukators est divertissant, drôle mais un poil trop léger et démago, surtout dans sa conclusion.
Télé 7 Jours
A partir d'un sujet intéressant, avec de jeunes acteurs motivés, Hans Weingartner a réalisé un film assez artificiel, jonglant avec les clichés.
TéléCinéObs
Sans grâce, avec même une certaine démagogie, Hans Weingartner assène son refus de la société de consommation. (...) Une seconde partie plus réaliste (...). Parenthèse contredite par une chute qui, sans doute conçue par le réalisateur comme un acte politique hautement subversif, fige le film dans un manichéisme gênant.
Télérama
Même si le film, dans la forme comme dans le propos, paraît un peu trop démonstratif, voire souvent naïf, ses personnages échappent à l'archétype grâce à la sensibilité de ses interprètes.
Télérama
Formellement sans grâce, The Edukators a pour lui une grande vitalité, de jeunes acteurs très physiques (dont Daniel Brühl, de Goodbye Lenin), et une belle capacité à rebondir quand l'impasse se profile. (critique cannoise)
Variety
Ce film filandreux souffre d'un manque de sobriété et de dialogues au contenu politique indigent, mais se révèle peu à peu intéressant, après un démarrage laborieux. (critique cannoise)
Zurban
Passé un début longuet (...), le film surprend (...). C'est assez drôle. Le doute plane, la tension monte... jusqu'au pied de nez final.
Zurban
Malgré le charme et la justesse des comédiens (...) la première partie à la Jules et Jim version Che et poing levé est un peu longue (...) Le film prend soudainement une autre tournure quand le kidnappé révèle, lui aussi, un passé de révolté (...) c'est assez drôle et cela fonctionne.(critique cannoise)
aVoir-aLire.com
Enfin du cinéma qui ne va pas dans le sens du poil, qui ne s'enfonce pas dans le politiquement correct. Malheureusement, après un début réussi, le scénario patine quelque peu. (...) Hans Weingartner alterne le bon - la scène d'ouverture - comme le moins bon - les scènes de clôture -, comme s'il ne maîtrisait son sujet que par intermittence. D'où un sentiment d'inachevé qui naît de son film.
Chronic'art.com
Un ramassis de clichés sur l'adolescence décérébrée que le film pétarade à qui mieux mieux. (...) Dans la mise en forme, Weingartner se raccroche piteusement à l'académisme du cinéma "djeuns", soit une caméra à l'épaule, une photo cradasse, des jeunes acteurs tout mignons et une B.O. pop que les fans iront acheter ensuite à la Fnac.
Le Monde
La morale de cette oeuvre qui se pique de subversion est à l'avenant de ce qui aura précédé : émolliente et commercialement correcte. (critique cannoise)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Si The Edukators échoue à mettre en oeuvre le moindre acte de résistance, c'est qu'il ne se pose jamais la question de sa forme, trop occupé qu'il est à brasser des poncifs et à rester dans le registre "petit malin" du malentendu.
Libération
Entre critique sociale et démagogie, il n'y a parfois qu'un pas. Weingartner le franchit sans scrupule (...) Le spectateur, caressé dans le sens du poil, bercé par le bruit des portes ouvertes enfoncées à grands coups d'épaule, n'a même plus la force de s'énerver. (critique cannoise)
Ouest France
Une production allemande qui joue avec une certaine facilité de thèmes à la mode sans vraiment trouver matière à réflexion dans le regard qu'elle porte sur la société. Un propos creux.
Studio Magazine
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