Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Discrétion et humour foudroyant, parfois rien qu'à l'esquisse d'un geste. Extraordinaire humanité des personnages, dont on devine, à travers les silences et les phrases mécaniques, les frustrations et les espoirs. Whisky navigue entre le rire et l'émotion diffuse, jusqu'au coup de coeur final. Un film qui serait le cousin sud-américain de la famille Kaurismaki, lignée Au loin s'en vont les nuages et Tiens ton foulard, Tatiana.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Elle
par Elisabeth Quin
On croyait que les films de notre cher Aki Kaurismäki étaient le comble du burlesque neurasthénique. C'était sans compter avec Stoll et Rebella, tandem de cinéastes uruguayens révélés au dernier Festival de Cannes, dont l'univers uniformément morne, les personnages lugubres, l'histoire lilliputienne et la mise en scène subtilement ataraxique ont transporté de joie les festivaliers. (...) Ce film a du coeur et de la pudeur à revendre.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Intrigue minimaliste, jeux sur la durée et la répétition, sens du détail comique, le cinéma de Rebella et Stoll déploie un burlesque mélancolique irrésistible.
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Après 25 watts, Juan Pablo Rebella et Pablo Stoll nous tiennent ici sur le fil de l'intime, au bord du coeur de ces personnages. (...) Rien ne se passe, rien ne se dit, mais tout transparaît dans une interprétation magistrale qui laisse émerger le non-dit et fait osciller sans cesse les personnages entre deux bords, celui des vivants et celui des morts.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
Curieux sujet que cette histoire de soixantenaires usés, pour un duo de jeunes cinéastes qui frôlent à peine la soixantaine à eux deux. Heureusement, jamais ne pointe de mépris dans le regard qu'ils portent sur leurs personnages, mais une réelle et belle empathie qui donne au film toute sa " saveur ".
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Découverts voici un an en France avec la sortie de leur formidable et flegmatique premier long métrage, 25 Watts, voici, avec ce Whisky qui eut les honneurs de la Sélection officielle cannoise (...), le retour attendu des deux jeunes cinéastes uruguayens Juan Pablo Rebella et Pablo Stoll, qu'il est loisible de considérer comme deux miracles vivants eu égard à l'absence totale d'industrie cinématographique dans leur pays.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Whisky est un film dépressif et rentré sans une once de pathos; parfois, on frise même la crise de rire. (...) Whisky est en réalité un film punk, une vision impitoyable et inconoclaste de la petite bourgeoisie. (...) Histoire ordinaire d'une grâce infinie, mise en scène par le tandem de cinéastes le plus subtil du continent américain.
Libération
par Didier PERON
(...)on finit par s'attacher à ces personnages qui ne semblent, au début, que de simples hypothèses graphiques sous nette influence de la BD. C'est précisément le tremblé entre la surface impavide des "gueules" et le fond émotionnel qui fait tout l'intérêt de ce film à la bizarrerie prégnante.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
L'émotion affleure (...) en de nombreux instants, grâce à la délicatesse du jeu des comédiens et à la finesse de l'écriture. Au spectateur de s'enticher des personnages et de se délecter des instants de vie qui se nouent devant lui. D'aucun préfèreront les moments de complicité entre Marta et Herman. D'autres seront intrigués par la rivalité palpable entre les deux frères et leur difficulté à dévoiler leurs sentiments. Une chose est sûre : chacun sera touché.
Positif
par Matthieu Darras
Si Juan Pablo Rebella et Pablo Stoll contribuent brillament à faire apparaître l'Uruguay sur l'atlas cinématographique mondial, (...) ce n'est pas demain la veille que l'Office national du tourisme leur proposera de réaliser son nouveau spot publicitaire... (...) Le réalisme de Whisky n'a rien de pur. Davantage qu'une quelconque réalité sociale, c'est une vérité plus générale sur la solitude que le second film de Rebella et Stoll renferme.
Première
par Alexis Trosset
Les réalisateurs possèdent un incroyable don d'observation grâce auquel ils proposent un amoncellement de tous ces détails qui rendent la vie déprimante. (...) Paradoxalement, Rebella et Stoll transforment cette variation sur la non-fantaisie en un plaisir absolu où chaque image recèle un détail amusant. A voir. Pour le croire !
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Surprise: loin d'etre austère, cette oeuvre de deux Uruguayens respire l'humour à froid et l'émotion contenue. Un petit régal pour fin connaisseurs.
Télérama
par Marine Landrot
Une usine de chaussettes, un patron fatigué, une employée allumée. Un irradiant ovni uruguayen.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Charlotte Lipinska
(...) un petit bijou de rapports humains et d'humour grinçant. Noir mais émouvant, délicieux et surprenant.
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Rebella et Stroll enferment leurs personnages dans un espace commun (...), laissant chacun y dévider son propre scénario , à hauteur de ses moyens (...). Du gris au rose, puis du rose au gris, emballement modéré puis retour à la case départ, la trajectoire reste un peu trop balisée. Une fois n'est pas coutume: ici, c'est le flacon qui limite l'ivresse.
Aden
Discrétion et humour foudroyant, parfois rien qu'à l'esquisse d'un geste. Extraordinaire humanité des personnages, dont on devine, à travers les silences et les phrases mécaniques, les frustrations et les espoirs. Whisky navigue entre le rire et l'émotion diffuse, jusqu'au coup de coeur final. Un film qui serait le cousin sud-américain de la famille Kaurismaki, lignée Au loin s'en vont les nuages et Tiens ton foulard, Tatiana.
Elle
On croyait que les films de notre cher Aki Kaurismäki étaient le comble du burlesque neurasthénique. C'était sans compter avec Stoll et Rebella, tandem de cinéastes uruguayens révélés au dernier Festival de Cannes, dont l'univers uniformément morne, les personnages lugubres, l'histoire lilliputienne et la mise en scène subtilement ataraxique ont transporté de joie les festivaliers. (...) Ce film a du coeur et de la pudeur à revendre.
TéléCinéObs
Intrigue minimaliste, jeux sur la durée et la répétition, sens du détail comique, le cinéma de Rebella et Stoll déploie un burlesque mélancolique irrésistible.
aVoir-aLire.com
Après 25 watts, Juan Pablo Rebella et Pablo Stoll nous tiennent ici sur le fil de l'intime, au bord du coeur de ces personnages. (...) Rien ne se passe, rien ne se dit, mais tout transparaît dans une interprétation magistrale qui laisse émerger le non-dit et fait osciller sans cesse les personnages entre deux bords, celui des vivants et celui des morts.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Curieux sujet que cette histoire de soixantenaires usés, pour un duo de jeunes cinéastes qui frôlent à peine la soixantaine à eux deux. Heureusement, jamais ne pointe de mépris dans le regard qu'ils portent sur leurs personnages, mais une réelle et belle empathie qui donne au film toute sa " saveur ".
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Découverts voici un an en France avec la sortie de leur formidable et flegmatique premier long métrage, 25 Watts, voici, avec ce Whisky qui eut les honneurs de la Sélection officielle cannoise (...), le retour attendu des deux jeunes cinéastes uruguayens Juan Pablo Rebella et Pablo Stoll, qu'il est loisible de considérer comme deux miracles vivants eu égard à l'absence totale d'industrie cinématographique dans leur pays.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Whisky est un film dépressif et rentré sans une once de pathos; parfois, on frise même la crise de rire. (...) Whisky est en réalité un film punk, une vision impitoyable et inconoclaste de la petite bourgeoisie. (...) Histoire ordinaire d'une grâce infinie, mise en scène par le tandem de cinéastes le plus subtil du continent américain.
Libération
(...)on finit par s'attacher à ces personnages qui ne semblent, au début, que de simples hypothèses graphiques sous nette influence de la BD. C'est précisément le tremblé entre la surface impavide des "gueules" et le fond émotionnel qui fait tout l'intérêt de ce film à la bizarrerie prégnante.
MCinéma.com
L'émotion affleure (...) en de nombreux instants, grâce à la délicatesse du jeu des comédiens et à la finesse de l'écriture. Au spectateur de s'enticher des personnages et de se délecter des instants de vie qui se nouent devant lui. D'aucun préfèreront les moments de complicité entre Marta et Herman. D'autres seront intrigués par la rivalité palpable entre les deux frères et leur difficulté à dévoiler leurs sentiments. Une chose est sûre : chacun sera touché.
Positif
Si Juan Pablo Rebella et Pablo Stoll contribuent brillament à faire apparaître l'Uruguay sur l'atlas cinématographique mondial, (...) ce n'est pas demain la veille que l'Office national du tourisme leur proposera de réaliser son nouveau spot publicitaire... (...) Le réalisme de Whisky n'a rien de pur. Davantage qu'une quelconque réalité sociale, c'est une vérité plus générale sur la solitude que le second film de Rebella et Stoll renferme.
Première
Les réalisateurs possèdent un incroyable don d'observation grâce auquel ils proposent un amoncellement de tous ces détails qui rendent la vie déprimante. (...) Paradoxalement, Rebella et Stoll transforment cette variation sur la non-fantaisie en un plaisir absolu où chaque image recèle un détail amusant. A voir. Pour le croire !
Télé 7 Jours
Surprise: loin d'etre austère, cette oeuvre de deux Uruguayens respire l'humour à froid et l'émotion contenue. Un petit régal pour fin connaisseurs.
Télérama
Une usine de chaussettes, un patron fatigué, une employée allumée. Un irradiant ovni uruguayen.
Zurban
(...) un petit bijou de rapports humains et d'humour grinçant. Noir mais émouvant, délicieux et surprenant.
Cahiers du Cinéma
Rebella et Stroll enferment leurs personnages dans un espace commun (...), laissant chacun y dévider son propre scénario , à hauteur de ses moyens (...). Du gris au rose, puis du rose au gris, emballement modéré puis retour à la case départ, la trajectoire reste un peu trop balisée. Une fois n'est pas coutume: ici, c'est le flacon qui limite l'ivresse.