Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
Loin de la confession ou du petit délire hermétique, ce Parfum de la dame en noir nous attrape comme le ferait le récit d'une personne que l'on sait être passionnée. Il nous émerveille, nous ravit et le partage s'accomplit.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Si vous avez aimé Le Mystère de la chambre jaune, vous allez adorer Le Parfum de la dame en noir : on y retrouve la même fantaisie charmeuse, qui joue avec les codes du feuilleton populaire, le même sens de l'absurde à la fois précis et nonchalant, mais encore plus aboutis que dans le premier tome des aventures de Rouletabille (...) Un régal.
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
(...) Bruno Podalydès a donné à son Mystère de la chambre jaune une suite jubilatoire : un jeu de masques romanesque, cocasse et mélancolique, truffé d'astuces et de clins d'oeil (...) Un régal, servi par la crème des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
On s'épargnera certes la métaphore culinaire, dire que le film est bien cuisiné... mais dans la cuisine du cinéma français, et parfum pour parfum, on aime à humer celui-là.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Florence Ben-Sadoun
L'intrigue menée par Rouletabille n'a ni queue ni tête, mais ce n'est pas grave. On ouvre un livre d'images et on tourne les pages dont les couleurs ont la vive fraîcheur d'une boîte de gouache (...). A la fin le rocambolesque l'emporte et on a envie de dire: "Même pas peur!"
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
On peut bien sûr rester froid devant cet exercice de théâtre filmé mais les comédiens semblent tellement s'y régaler (...) que leur entrain est communicatif. Un pur exercice de style, efficace et parfaitement maîtrisé.
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Ca flaire toujours le Tintin de bord de mer, mais cette fois sans bavardages inutiles. Tant mieux pour les esprits joueurs, qui savoureront le côté ludique, et tant pis pour les autres.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Alain Riou
Film de charme, "Le Parfum"... est un bateau léger qui navigue à la voile, dédaignant parfois le coup de moteur qui maintiendrait sa vitesse de croisière. Mais cette paresse a sa magie, et le monde selon les Podalydès, une séduction confirmée.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Olivier Pélisson
Concentré sur un univers cocasse et des situations loufoques (...) Podalydès réussit un spectacle séduisant où l'humour fait mouche (...). Une adaptation de Gaston Leroux soignée.
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
Plein d'humour, de scènes cocasses parfois frisant le surréalisme, Le parfum de la dame en noir est un exercice hautement littéraire, où les mots et le jeu des comédiens prend le dessus sur l'action.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On s'amuse de saynètes pleines d'humour mais manquant de liant entre elles, on savoure la prestation d'acteurs tous excellents (...) mais on se dit aussi à quoi bon tout cela ? (...) Et pourquoi, malgré tous ses charmes ses charmes indéniables, le film ennuie-t-il plus souvent qu'à son tour ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine de Baecque
Ce Parfum est un film réussi par instants : art de l'éphémère qui est une des choses les plus délicates et rigoureuses à manier. Et l'on aime ce film pour sa fugacité, sa frivolité, pas pour son récit, encore moins pour sa maîtrise. (...) On rit donc beaucoup à la vision de cet opus nonchalant et fantaisiste (...)
Ouest France
par La rédaction
Bruno Podalydès s'amuse avec cette savoureuse troupe dans un univers surréaliste plein de fantaisie, de couleur, d'irrationnel (...) Passé le spectacle du bonheur que se donnent les comédiens, on est un peu "largués" par un propos débridé et embrouillé dont il est ardu de recoller les données éparpillées.
Positif
par Catherine Axelrad
Surtout, la réalisation, trop fidèle au roman, dont elle respecte le découpage, impose à l'aventure de Rouletabille (...) un rythme un peu trop lent. Cela n'empêche pas le film de fonctionner (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Nicolas Schaller
Il n'y a vraiment pas d'intrigue. On est dans l'attente, le flottement (...) c'est le défaut majeur du film. Il y a toujours des éclats burlesques (...) mais c'est un film moins accessible que "Le Mystère de la chambre jaune".
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
[Un] style alangui, où l'inquiétude rôde, un certain ennui, aussi, entre deux scènes délirantes (...) Chez Podalydès, la fantaisie l'emporte. Mais qu'importe, puisque, pour paraphraser Gaston Leroux, le récit n'a pas perdu son charme, ni le style de son parfum.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Éventé. (...) Cette suite des aventures filmées de Rouletabille fait un peu redite et manque de peps. On tente de pallier l'ennui d'une intrigue policière digne du Cluedo (..) par une fantaisie appuyée et moult tours de passe-passe. Mais cela ne fonctionne pas. La plupart des acteurs surjouent (...) ; d'autres sont transparents (...)C'est gentillet.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Le film (...) privilégie la scène au détriment du récit et mise tout sur la vignette. (...) S'il arrive que, en effet, un gag fasse mouche, s'il se peut que parfois la tête que s'est inventée un acteur (Vincent Elbaz) prête à sourire, le film ne trouve jamais son rythme, et, plus grave, le spectateur est vite conduit à se demander de quoi il retourne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Comme toutes les bêtises enfantines, le résultat de cette mystification suscite des réactions contradictoires : émotion à la vue d'une invention débridée, affliction en constatant que le papier peint du salon (en l'occurrence le roman de Gaston Leroux) est recouvert de dessins au feutre indélébile.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Score
par Julien Wleter
(...) la perfection corsetée du premier opus éclate sous la lourdeur d'un récit sans rythme qui prodigue une autodérision permanente. Agaçant.
La critique complète est disponible sur le site Score
Fluctuat.net
Loin de la confession ou du petit délire hermétique, ce Parfum de la dame en noir nous attrape comme le ferait le récit d'une personne que l'on sait être passionnée. Il nous émerveille, nous ravit et le partage s'accomplit.
Le Figaroscope
Si vous avez aimé Le Mystère de la chambre jaune, vous allez adorer Le Parfum de la dame en noir : on y retrouve la même fantaisie charmeuse, qui joue avec les codes du feuilleton populaire, le même sens de l'absurde à la fois précis et nonchalant, mais encore plus aboutis que dans le premier tome des aventures de Rouletabille (...) Un régal.
Télé 7 Jours
(...) Bruno Podalydès a donné à son Mystère de la chambre jaune une suite jubilatoire : un jeu de masques romanesque, cocasse et mélancolique, truffé d'astuces et de clins d'oeil (...) Un régal, servi par la crème des comédiens.
Cahiers du Cinéma
On s'épargnera certes la métaphore culinaire, dire que le film est bien cuisiné... mais dans la cuisine du cinéma français, et parfum pour parfum, on aime à humer celui-là.
Elle
L'intrigue menée par Rouletabille n'a ni queue ni tête, mais ce n'est pas grave. On ouvre un livre d'images et on tourne les pages dont les couleurs ont la vive fraîcheur d'une boîte de gouache (...). A la fin le rocambolesque l'emporte et on a envie de dire: "Même pas peur!"
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
On peut bien sûr rester froid devant cet exercice de théâtre filmé mais les comédiens semblent tellement s'y régaler (...) que leur entrain est communicatif. Un pur exercice de style, efficace et parfaitement maîtrisé.
Rolling Stone
Ca flaire toujours le Tintin de bord de mer, mais cette fois sans bavardages inutiles. Tant mieux pour les esprits joueurs, qui savoureront le côté ludique, et tant pis pour les autres.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Film de charme, "Le Parfum"... est un bateau léger qui navigue à la voile, dédaignant parfois le coup de moteur qui maintiendrait sa vitesse de croisière. Mais cette paresse a sa magie, et le monde selon les Podalydès, une séduction confirmée.
Zurban
Concentré sur un univers cocasse et des situations loufoques (...) Podalydès réussit un spectacle séduisant où l'humour fait mouche (...). Une adaptation de Gaston Leroux soignée.
aVoir-aLire.com
Plein d'humour, de scènes cocasses parfois frisant le surréalisme, Le parfum de la dame en noir est un exercice hautement littéraire, où les mots et le jeu des comédiens prend le dessus sur l'action.
Ciné Live
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Les Inrockuptibles
On s'amuse de saynètes pleines d'humour mais manquant de liant entre elles, on savoure la prestation d'acteurs tous excellents (...) mais on se dit aussi à quoi bon tout cela ? (...) Et pourquoi, malgré tous ses charmes ses charmes indéniables, le film ennuie-t-il plus souvent qu'à son tour ?
Libération
Ce Parfum est un film réussi par instants : art de l'éphémère qui est une des choses les plus délicates et rigoureuses à manier. Et l'on aime ce film pour sa fugacité, sa frivolité, pas pour son récit, encore moins pour sa maîtrise. (...) On rit donc beaucoup à la vision de cet opus nonchalant et fantaisiste (...)
Ouest France
Bruno Podalydès s'amuse avec cette savoureuse troupe dans un univers surréaliste plein de fantaisie, de couleur, d'irrationnel (...) Passé le spectacle du bonheur que se donnent les comédiens, on est un peu "largués" par un propos débridé et embrouillé dont il est ardu de recoller les données éparpillées.
Positif
Surtout, la réalisation, trop fidèle au roman, dont elle respecte le découpage, impose à l'aventure de Rouletabille (...) un rythme un peu trop lent. Cela n'empêche pas le film de fonctionner (...).
Première
Il n'y a vraiment pas d'intrigue. On est dans l'attente, le flottement (...) c'est le défaut majeur du film. Il y a toujours des éclats burlesques (...) mais c'est un film moins accessible que "Le Mystère de la chambre jaune".
Télérama
[Un] style alangui, où l'inquiétude rôde, un certain ennui, aussi, entre deux scènes délirantes (...) Chez Podalydès, la fantaisie l'emporte. Mais qu'importe, puisque, pour paraphraser Gaston Leroux, le récit n'a pas perdu son charme, ni le style de son parfum.
L'Humanité
Éventé. (...) Cette suite des aventures filmées de Rouletabille fait un peu redite et manque de peps. On tente de pallier l'ennui d'une intrigue policière digne du Cluedo (..) par une fantaisie appuyée et moult tours de passe-passe. Mais cela ne fonctionne pas. La plupart des acteurs surjouent (...) ; d'autres sont transparents (...)C'est gentillet.
L'Obs
(...) Le film (...) privilégie la scène au détriment du récit et mise tout sur la vignette. (...) S'il arrive que, en effet, un gag fasse mouche, s'il se peut que parfois la tête que s'est inventée un acteur (Vincent Elbaz) prête à sourire, le film ne trouve jamais son rythme, et, plus grave, le spectateur est vite conduit à se demander de quoi il retourne.
Le Monde
Comme toutes les bêtises enfantines, le résultat de cette mystification suscite des réactions contradictoires : émotion à la vue d'une invention débridée, affliction en constatant que le papier peint du salon (en l'occurrence le roman de Gaston Leroux) est recouvert de dessins au feutre indélébile.
Score
(...) la perfection corsetée du premier opus éclate sous la lourdeur d'un récit sans rythme qui prodigue une autodérision permanente. Agaçant.