Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Monde
par Isabelle Regnier
En prenant le parti du mouvement, de l'inachevé, les réalisateurs ouvrent, à partir de cette petite ville, des perspectives nouvelles sur un continent dont l'image est trop souvent figée dans une imagerie postcoloniale, et sur le monde contemporain dans sa globalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Un regard tranquille et respectueux, assez rare dans le documentaire, choisi par des réalisateurs sûrement eux-mêmes envoûtés par l'ambiance de la cité.
Télérama
par Marine Landrot
Mais pourquoi, plus qu'un autre, ce film a-t-il droit au grand écran ? Peut-être pour consoler ceux qui ne partent pas en vacances, et leur offrir une heure trente de fraîcheur dans une superbe cité de terre rouge.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Malheureusement, à cheval entre ce qui n'ose pas totalement être un instantané poétique et l'esquisse d'une réflexion sociale, le film ne pénètre jamais guère plus loin que ces tranches de vie anodines, et les problématiques abordées (notamment la place de la femme) restent en suspens.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Au delà de la carte postale, c'est l'éternelle juxtaposition tradition/modernité qui est rejouée ici. Dommage que ce film-portrait d'Agadez n'ait pas frontalement choisi cet axe.
Ciné Live
par La rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Emmanuel Chicon
Dans ce premier long métrage, coréalisé par un " fils de Jean Rouch " (Lelong a fait des études d'ethnologie et de cinéma avec le maître disparu récemment au cours d'une dernière escapade nigérienne justement), il s'agit bien davantage d'observer, avec un regard rétif à tout exotisme, comment une microsociété s'invente et/ou se régénère en interrogeant son rapport à la modernité.
Première
par Estelle Ruet
On peut ne pas y être sensible, mais si on a l'âme ethnographique, on appréciera de s'enfermer dans une salle obscure pour (re)découvrir les beautés et les travers de la société africaine.
Le Monde
En prenant le parti du mouvement, de l'inachevé, les réalisateurs ouvrent, à partir de cette petite ville, des perspectives nouvelles sur un continent dont l'image est trop souvent figée dans une imagerie postcoloniale, et sur le monde contemporain dans sa globalité.
TéléCinéObs
Un regard tranquille et respectueux, assez rare dans le documentaire, choisi par des réalisateurs sûrement eux-mêmes envoûtés par l'ambiance de la cité.
Télérama
Mais pourquoi, plus qu'un autre, ce film a-t-il droit au grand écran ? Peut-être pour consoler ceux qui ne partent pas en vacances, et leur offrir une heure trente de fraîcheur dans une superbe cité de terre rouge.
Aden
Malheureusement, à cheval entre ce qui n'ose pas totalement être un instantané poétique et l'esquisse d'une réflexion sociale, le film ne pénètre jamais guère plus loin que ces tranches de vie anodines, et les problématiques abordées (notamment la place de la femme) restent en suspens.
Cahiers du Cinéma
Au delà de la carte postale, c'est l'éternelle juxtaposition tradition/modernité qui est rejouée ici. Dommage que ce film-portrait d'Agadez n'ait pas frontalement choisi cet axe.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Dans ce premier long métrage, coréalisé par un " fils de Jean Rouch " (Lelong a fait des études d'ethnologie et de cinéma avec le maître disparu récemment au cours d'une dernière escapade nigérienne justement), il s'agit bien davantage d'observer, avec un regard rétif à tout exotisme, comment une microsociété s'invente et/ou se régénère en interrogeant son rapport à la modernité.
Première
On peut ne pas y être sensible, mais si on a l'âme ethnographique, on appréciera de s'enfermer dans une salle obscure pour (re)découvrir les beautés et les travers de la société africaine.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com