Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Aden
par la rédaction
Sur une intrigue de roman-photo et dans une ambiance d'artifices à la Minnelli, Chahine pousse à fond les manettes du romanesque avec une certaine malice et clame par la même occasion son amour/fascination pour les USA.
Cahiers du Cinéma
par Elizabeth Lequeret
Il en rêvait, il l'a fait : reconstituer New York au Caire, camper une université californienne dans un studio de poche, faire incarner l'American Dream par des ragazzi plus égyptiens que nature parlant tous of course en arabe. Alexandrie...New York a tout du défi, modestement mégalomane. Chahine est un conteur exceptionnel, et l'appétit avec lequel il se confronte sans cesse à des formes et des récits nouveaux semble sans limites.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Un mélodrame kitsch et attachant où le cinéaste évoque sa déception et sa nostalgie vis-à-vis des USA.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Voilà un film foisonnant, protéiforme, bourré d'énergie, de couleurs, de situations, de rebonsissements, un film qui fonce à toute vitesse et ne s'appesantit jamais sur une scène ou une blessure. A la fois feuilleton, saga, comédie musicale, mélo Alexandrie...New York raconte avec énergie et vivacité les années américaines de Youssef Chahine.
Libération
par Philippe Azoury
Dans Alexandrie... New York, son trente-huitième film, le cinéaste égyptien dit sa nostalgie d'une Amérique qui l'a fait rêver avant de le révolter. C'est sur cette pure invention d'un corps partagé entre deux temps et deux cultures que le film déploiera son numéro d'équilibriste. Excercice périlleux mais Chahine s'en sort bien.
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Largement autobiographique de sa vie de cinéaste impétueux, Youssef Chahine nous permet de retrouver Yéhia, son double de cinéma. Cette évocation de sa jeunesse passée aux Etats-Unis, ainsi que les rapports conflictuels vécus depuis avec ce pays qui le fascine tant, permettent au cinéaste d'avouer une fois encore son amour le plus fou pour le cinéma. Le cinéma de Chahine reste un incontestablement séduisant.
TéléCinéObs
par Alain Riou
Hommage délibéré aux comédies musicales américaines, le film évoque de très près la vie du cinéaste. Musical, dansant, romantique, ce film se réclame d'un charme passé avec une assurance que seuls peuvent revendiquer ceux qui ont beaucoup oeuvré pour un septième art moderne.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Olivier de Bruyn
Chahine fait preuve comme toujours d'une conscience politique critique vis-à-vis des USA, sa passion cinéphile, elle, est ancrée dans la culture US avec une prédilection pour le mélodrame et le musical. Couleurs vives, sentiments exacerbés, musique trémolo et jeu avec les académismes nous entrainent dans une sarabande ramanesque qui se fout des convenances.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Le kitsch de Youssef Chahine s'exporte mal. La maladresse et l'absence de moyens font capoter l'entreprise. Après Alexandrie... pourquoi ? et Alexandrie, encore et toujours, c'est l'Alexandrie de trop.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Sur une intrigue de roman-photo et dans une ambiance d'artifices à la Minnelli, Chahine pousse à fond les manettes du romanesque avec une certaine malice et clame par la même occasion son amour/fascination pour les USA.
Cahiers du Cinéma
Il en rêvait, il l'a fait : reconstituer New York au Caire, camper une université californienne dans un studio de poche, faire incarner l'American Dream par des ragazzi plus égyptiens que nature parlant tous of course en arabe. Alexandrie...New York a tout du défi, modestement mégalomane. Chahine est un conteur exceptionnel, et l'appétit avec lequel il se confronte sans cesse à des formes et des récits nouveaux semble sans limites.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Un mélodrame kitsch et attachant où le cinéaste évoque sa déception et sa nostalgie vis-à-vis des USA.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Voilà un film foisonnant, protéiforme, bourré d'énergie, de couleurs, de situations, de rebonsissements, un film qui fonce à toute vitesse et ne s'appesantit jamais sur une scène ou une blessure. A la fois feuilleton, saga, comédie musicale, mélo Alexandrie...New York raconte avec énergie et vivacité les années américaines de Youssef Chahine.
Libération
Dans Alexandrie... New York, son trente-huitième film, le cinéaste égyptien dit sa nostalgie d'une Amérique qui l'a fait rêver avant de le révolter. C'est sur cette pure invention d'un corps partagé entre deux temps et deux cultures que le film déploiera son numéro d'équilibriste. Excercice périlleux mais Chahine s'en sort bien.
MCinéma.com
Largement autobiographique de sa vie de cinéaste impétueux, Youssef Chahine nous permet de retrouver Yéhia, son double de cinéma. Cette évocation de sa jeunesse passée aux Etats-Unis, ainsi que les rapports conflictuels vécus depuis avec ce pays qui le fascine tant, permettent au cinéaste d'avouer une fois encore son amour le plus fou pour le cinéma. Le cinéma de Chahine reste un incontestablement séduisant.
TéléCinéObs
Hommage délibéré aux comédies musicales américaines, le film évoque de très près la vie du cinéaste. Musical, dansant, romantique, ce film se réclame d'un charme passé avec une assurance que seuls peuvent revendiquer ceux qui ont beaucoup oeuvré pour un septième art moderne.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Chahine fait preuve comme toujours d'une conscience politique critique vis-à-vis des USA, sa passion cinéphile, elle, est ancrée dans la culture US avec une prédilection pour le mélodrame et le musical. Couleurs vives, sentiments exacerbés, musique trémolo et jeu avec les académismes nous entrainent dans une sarabande ramanesque qui se fout des convenances.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le kitsch de Youssef Chahine s'exporte mal. La maladresse et l'absence de moyens font capoter l'entreprise. Après Alexandrie... pourquoi ? et Alexandrie, encore et toujours, c'est l'Alexandrie de trop.