Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) un film où les corps deviennent symptômes, expressions somatiques d'intentionnalités inconscientes, où les personnages souffrent en permanence de réminiscences et où les femmes, plus particulièrement, donnent le change en modelant leur désir sur celui du sujet qui va imprudemment les élire. (...) Ce mélange unique de séduction et de mise à distance, de tentation et de dépit, contribue ainsi à conférer à ce très beau film sa forme singulière.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Thomas Sotinel
La Sainte Fille, comme La Cienaga avant elle, est un moment de vie placé sous un instrument d'observation extraordinairement puissant et émouvant, le cinéma. (critique cannoise)
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Antoine de Baecque
Rarement avait-on été si impressionné par un premier film. C'était La Cienaga, il y a trois ans, macabre, mélancolique, émouvant, brillant comme un diamant noir. Et rarement aura-t-on été de nouveau impressionné par cette manière qu'a Lucrecia Martel, dans son second film, d'approfondir son univers.
Première
par Olivier de Bruyn
La Nina Santa, sous la double influence d'Antonioni et de Bunuel (rien que ça) est avant tout affaire de sensations. Un film entêtant qui charme sans que l'on sache très bien pourquoi. Indécision délicieuse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Marine Landrot
Tout n'est que décalage et malentendu, pas de côtés au lieu de pas de deux, scission pour fusion, dans ce film abyssal, plein d'élans brisés, de souffles coupés. Magnifiquement travaillée, la bande-son est une partition cardiaque, un lamento organique assourdissant (...) (critique cannoise)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(Pour) La nina santa (...) a le mérite de ne pas laisser indifférent. En effet, cette histoire faite d'attirance, de regards subreptices, de désirs évanescents, qui se noue entre un médecin père de famille et une jeune adolescente en proie à des tourments métaphysiques a de quoi dérouter.
Cahiers du Cinéma
par Mia Hansen-Love
S'il est vrai que le deuxième film représente l'épreuve du feu pour celle dont les débuts ont suscité l'émoi, alors on dira que La Nina Santa la surmonte avec aisance. Lucrecia Martel mérite pleinement la place qui lui est assignée depuis trois ans (...) au centre du nouveau cinéma argentin.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le grand talent de Lucrecia Martel, c'est qu'elle ne cède sur rien, accomplit des choix de mise en scène radicaux. Tout est clair, mouvement, impur, envoûtant, labile et lourd à la fois, triste et gai, fascinant et d'un ennui absolu, grave et futile dans le même temps.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
Ce trouble de la perception est la part merveilleuse de la Niña santa et ce n'est pas par automatisme culturel que l'on songe souvent à Borges, tant ce bel égarement empêche toute tentative d'explication raisonnable (...) Mais on ne se laisserait pas attacher s'il n'y avait dans la Niña santa une palanquée d'acteurs qui nous nouent. (critique cannoise)
Aden
par Philippe Piazzo
La mise en scène, virtuose, enserre tous les personnages dans des cadres étouffants et " sursignifiants ". On étouffe avec eux, d'autant que les jeux de regards, les frottements, les effleurements et les sous-entendus sensuels paraissent circuler en vase clos en nous anesthésiant sur place.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
La Niña santa reprend l'architecture de base de la jeune Martel's touch (...) Dans cette entreprise lubrifiée où tout (...) est soigné à l'extrême, le désir le plus visible est surtout celui de la cinéaste, dont l'offre semble pensée pour coller à la demande d'un public festivalier, avide de garantie quant au standing auteur de ses jeunes chouchous.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
(...) le film n'est pas vraiment prenant. Certes la cinéaste construit un espace étrange, concentré dans les différents étages d'un hôtel, entre les chambres, le restaurant et la piscine. Mais la sauce ne prend pas entièrement, de sorte que le spectateur se sent extérieur à ce qu'il regarde, en attente d'un climat plus intrigant, car sur le papier, les situations le sont.
Positif
par Dominique Martinez
Remarquée pour son premier long métrage (La Ciénaga), Lucrecia Martel confirme avec La nina santa son talent pour créer des atmosphères particulières et faire ressentir le poids d'une situation ambiguë, d'un décor glauque. (...) Pourtant, c'est la déception. Intimiste, le film repose sur le jeu puissant des acteurs et la densité des ambiances, c'est trop allusif.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Synopsis
par François-Guillaume Lorrain
Lucrecia Martel tisse un huis clos sensuel et étouffant qui déconcerte, mais qui transcende l'évènement en mettant en scène de multiples crises. (...) Tout à première vue semble un peu chaotique, mais, au bout du compte, on s'aperçoit que les pièces du puzzle se répondent et composent une symphonie très maîtrisée.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Jean Roy
Nul doute que ce parfum discret saura trouver ses amateurs. Pourtant, il nous a semblé éventé, avec un arrière-goût de cette recherche de la psychologie qu'on trouvait dans les années cinquante et dans l'impossibilité de proposer une forme neuve sur une conception aussi datée de la représentation à l'écran. Dommage. (critique cannoise)
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
The Hollywood Reporter
par Duane Byrge
Ce drame est hélas d'une extrême sècheresse (...) Ce film terne et très peu rythmé est dépourvu d'ironie et sa narration est anémique. (critique cannoise)
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Passe encore que la très surestimée réalisatrice de "la Ciénaga" nous inflige un film où le moindre figurant semble rongé par des démons intérieurs dont on ne saura jamais rien. Mais qu'elle prétende développer une réflexion métaphysique (...), c'est déjà beaucoup plus dur à avaler.
Zurban
par Charlotte Lipinska
C'est impressionnant de constater à quel point la maîtrise formelle se révèle vaine lorsqu'elle est au service d'une narration obscure et délitée. (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
par Nicolas Bardot
(Contre) Les figures et motifs sont connus et se répètent (...) La Nina Santa flirte avec la redite et assèche son récit là où La Cienaga était justement si généreux en fluides.
Le Monde
(...) un film où les corps deviennent symptômes, expressions somatiques d'intentionnalités inconscientes, où les personnages souffrent en permanence de réminiscences et où les femmes, plus particulièrement, donnent le change en modelant leur désir sur celui du sujet qui va imprudemment les élire. (...) Ce mélange unique de séduction et de mise à distance, de tentation et de dépit, contribue ainsi à conférer à ce très beau film sa forme singulière.
Le Monde
La Sainte Fille, comme La Cienaga avant elle, est un moment de vie placé sous un instrument d'observation extraordinairement puissant et émouvant, le cinéma. (critique cannoise)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Rarement avait-on été si impressionné par un premier film. C'était La Cienaga, il y a trois ans, macabre, mélancolique, émouvant, brillant comme un diamant noir. Et rarement aura-t-on été de nouveau impressionné par cette manière qu'a Lucrecia Martel, dans son second film, d'approfondir son univers.
Première
La Nina Santa, sous la double influence d'Antonioni et de Bunuel (rien que ça) est avant tout affaire de sensations. Un film entêtant qui charme sans que l'on sache très bien pourquoi. Indécision délicieuse.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Tout n'est que décalage et malentendu, pas de côtés au lieu de pas de deux, scission pour fusion, dans ce film abyssal, plein d'élans brisés, de souffles coupés. Magnifiquement travaillée, la bande-son est une partition cardiaque, un lamento organique assourdissant (...) (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
(Pour) La nina santa (...) a le mérite de ne pas laisser indifférent. En effet, cette histoire faite d'attirance, de regards subreptices, de désirs évanescents, qui se noue entre un médecin père de famille et une jeune adolescente en proie à des tourments métaphysiques a de quoi dérouter.
Cahiers du Cinéma
S'il est vrai que le deuxième film représente l'épreuve du feu pour celle dont les débuts ont suscité l'émoi, alors on dira que La Nina Santa la surmonte avec aisance. Lucrecia Martel mérite pleinement la place qui lui est assignée depuis trois ans (...) au centre du nouveau cinéma argentin.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Le grand talent de Lucrecia Martel, c'est qu'elle ne cède sur rien, accomplit des choix de mise en scène radicaux. Tout est clair, mouvement, impur, envoûtant, labile et lourd à la fois, triste et gai, fascinant et d'un ennui absolu, grave et futile dans le même temps.
Libération
Ce trouble de la perception est la part merveilleuse de la Niña santa et ce n'est pas par automatisme culturel que l'on songe souvent à Borges, tant ce bel égarement empêche toute tentative d'explication raisonnable (...) Mais on ne se laisserait pas attacher s'il n'y avait dans la Niña santa une palanquée d'acteurs qui nous nouent. (critique cannoise)
Aden
La mise en scène, virtuose, enserre tous les personnages dans des cadres étouffants et " sursignifiants ". On étouffe avec eux, d'autant que les jeux de regards, les frottements, les effleurements et les sous-entendus sensuels paraissent circuler en vase clos en nous anesthésiant sur place.
Chronic'art.com
La Niña santa reprend l'architecture de base de la jeune Martel's touch (...) Dans cette entreprise lubrifiée où tout (...) est soigné à l'extrême, le désir le plus visible est surtout celui de la cinéaste, dont l'offre semble pensée pour coller à la demande d'un public festivalier, avide de garantie quant au standing auteur de ses jeunes chouchous.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
(...) le film n'est pas vraiment prenant. Certes la cinéaste construit un espace étrange, concentré dans les différents étages d'un hôtel, entre les chambres, le restaurant et la piscine. Mais la sauce ne prend pas entièrement, de sorte que le spectateur se sent extérieur à ce qu'il regarde, en attente d'un climat plus intrigant, car sur le papier, les situations le sont.
Positif
Remarquée pour son premier long métrage (La Ciénaga), Lucrecia Martel confirme avec La nina santa son talent pour créer des atmosphères particulières et faire ressentir le poids d'une situation ambiguë, d'un décor glauque. (...) Pourtant, c'est la déception. Intimiste, le film repose sur le jeu puissant des acteurs et la densité des ambiances, c'est trop allusif.
Synopsis
Lucrecia Martel tisse un huis clos sensuel et étouffant qui déconcerte, mais qui transcende l'évènement en mettant en scène de multiples crises. (...) Tout à première vue semble un peu chaotique, mais, au bout du compte, on s'aperçoit que les pièces du puzzle se répondent et composent une symphonie très maîtrisée.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Nul doute que ce parfum discret saura trouver ses amateurs. Pourtant, il nous a semblé éventé, avec un arrière-goût de cette recherche de la psychologie qu'on trouvait dans les années cinquante et dans l'impossibilité de proposer une forme neuve sur une conception aussi datée de la représentation à l'écran. Dommage. (critique cannoise)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
The Hollywood Reporter
Ce drame est hélas d'une extrême sècheresse (...) Ce film terne et très peu rythmé est dépourvu d'ironie et sa narration est anémique. (critique cannoise)
TéléCinéObs
Passe encore que la très surestimée réalisatrice de "la Ciénaga" nous inflige un film où le moindre figurant semble rongé par des démons intérieurs dont on ne saura jamais rien. Mais qu'elle prétende développer une réflexion métaphysique (...), c'est déjà beaucoup plus dur à avaler.
Zurban
C'est impressionnant de constater à quel point la maîtrise formelle se révèle vaine lorsqu'elle est au service d'une narration obscure et délitée. (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
(Contre) Les figures et motifs sont connus et se répètent (...) La Nina Santa flirte avec la redite et assèche son récit là où La Cienaga était justement si généreux en fluides.