Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Beau comme un souvenir qui transperce : un peu flou, parce qu'on va trop vite pour se fixer ; en noir et blanc parce que l'inconnu fait peur comme une ombre dans la nuit. (...) A tout de suite abandonne l'idée d'une forme de cinéma parfaite. Dans ce renoncement à polir l'objet, la maîtrise du cinéaste, et de tous ses collaborateurs, rejaillit d'autant mieux (...).
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Mia Hansen-Love
On aurait tort de prendre A tout de suite pour un petit film, car il n'est en mineur que comme l'est une musique. (...) Le fait que le récit d'un déchirement si féminin serve la plus masculine des fictions n'est pas le moindre de ses charmes.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Des films de Benoît Jacquot, A tout de suite est sans aucun doute l'un des plus étranges et les plus fascinants (...) A tout de suite est la radiographie saisissante d'un cinéma dont l'humilité l'empêche d'effacer trop fièrement une histoire (du genre, des figures qui s'y déploient) mais dont la puissance lui ouvre, paradoxalement, les portes d'un royaume aux puretés inexplorées.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Elisabeth Quin
Une fois de plus l'exceptionnelle sensibilité de Benoît Jacquot s'exprime dans une histoire qui recèle tous les archétypes du film noir-intimiste-lyrique, mais s'en affranchit pour entrer directement dans le cerveau de sa protagoniste (...) Un voyage initiatique fiévreux dans sa forme et assez désespéré (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
Terrienne et lumineuse, filmée entre ces deux extrêmes, Isild Le Besco est magnifique parce qu'elle est confondante de justesse, au coeur de ce personnage absolu qui n'autorise aucune retenue. (...) La facilité avec laquelle la caméra bouge autour des acteurs, le sentiment de simplicité qu'apporte le noir et blanc, allié au grain un peu épais de l'image, tout cela nous met en prise directe avec l'essence de ces personnages.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
France Soir
par Alexandre Simon
Un road-movie saisissant (...). Caméra à l'épaule, Benoît Jacquot choisit la crudité, et non la romance. Isild Le Besco, antihéroïne égarée, est parfaite dans sa quête d'absolu.
L'Humanité
par Jean Roy
Une oeuvre contemporaine qui semble sortir de boîtes où elle aurait sommeillé trente ans intacte, miraculée et miraculeuse.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le nouveau film de Benoît Jacquot est tout en brutalité et en douceur. (...) Le film touche juste, il est comme une parenthèse qui ne se refermerait jamais, comme une blessure. (...) Un film splendide.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Nimbé d'un noir et blanc qui rappelle la fébrilité authentique des premiers films de la Nouvelle Vague, la fureur de vivre d'A bout de souffle de Jean-Luc Godard (...) A tout de suite rappelle aussi tout ce que Benoît Jacquot, disciple de Fritz Lang, doit aux Contrebandiers de Moonfleet : une vision météorique du cinéma comme un art de faire surgir un paysage ténébreux dans une âme d'enfant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Le spectateur, dépassé par les évènements, assiste à leur déroulement sans comprendre, plongé dans une réalité à la fois très concrète (...) et en même temps complètement insaisissable dans ce changement de décor permanent. L'étrangeté, presque fantastique, et la beauté du film sont dans ce paradoxe, cette contradiction du visible et de l'invisible qui rend le cinéma si passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Peron
Un film qui fait écho, dix ans après, à la Fille seule qui relançait la carrière du cinéaste pour un sprint second souffle à perdre haleine qui depuis n'a pas faibli (...) La photo garelienne de Caroline Champetier, les notes de Tangerine Dream et la mise en scène au coutelas de Jacquot célèbrent l'adéquation absolue du couple d'acteurs, l'éphèbe Ouassini Embarek et l'amazone Isild Le Besco à la fébrilité du récit (...).
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Avec A tout de suite, Benoît Jacquot s'offre une parenthèse enchantée et un bain de jouvence. Tourné en noir et blanc et en numérique, cette course en avant procure un sentiment d'oppression et de libération au spectateur. (...) Entre fait divers et portrait intimiste, le film est un road movie géographique et intérieur captivant, filmé de Paris à Athènes au plus près d'une actrice.
Paris Match
par Alain Spira
Une ditribution sans failles. Benoît Jacquot signe ici un road-movie sombre et flamboyant (...). Un film à voir tout de suite.
Positif
par Fabien Baumann
Benoît Jacquot réussit le prodige de ne pas réaliser une reconstitution de 1975 mais de tourner, en 2004, un film de 1975. (...) Jacquot ne filme que l'écume de la vie, mais cette écume est la vie.
Première
par Sophie Grassin
Constamment inspiré. Constamment déchiré. Unique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Mathilde Lorit
Un film intense, inspiré d'une histoire vraie. (...) L'incroyable naturel des amants maudits, Isild Le Besco et Ouassini Embarek, n'a pas fini de jeter le trouble sur les écrans français.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Synopsis
par Valérie Ganne
Jacquot, qui signe là l'un de ses plus beaux films, fait évoluer ses acteurs dans un noir et blanc mystérieux et granuleux (...) Pas de discours (...), mais une héroïne littéralement consumée (...). Sec et frappant.
Zurban
par Claire Vassé
Illuminant les plans de sa liberté animale, Isild Le Besco entraîne son personnage dans un dénuement bouleversant et Jacquot prouve que la solitude des jeunes femmes lui réussit. La Fille seule (1995) était son plus beau film. A tout de suite vient se hisser à sa hauteur.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Chapeau ! Dix-neuf ans après ses débuts, le très productif Benoît Jacquot nous offre l'un des meilleurs films de sa carrière. Touché par la grâce, il réalise une oeuvre confondante de jeunesse, un magnifique périple à travers les années 70.
Ciné Live
par Emmanuel Cirrode
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
On peut lui reprocher quelques lenteurs complaisantes pour son interprète. Mais la mise en scène joue admirablement sur l'espace et le silence. Ou plutôt les silences, toujours différents, toujours captivants. Benoît Jacquot donne à ce bref petit récit, rêveur et nerveux, qui pourrait être irritant, une élégance farouche.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La Rédaction
Entre urgence et lenteur, une cavale portée par le tonus de ses interprètes. En tout premier lieu Isild Le Besco sur laquelle la caméra s'attarde jusqu'à la complaisance. Plus que la reconstitution réaliste d'un fait divers, une esquisse de portrait en pointillés savamment installés, sur le chemin d'un voyage initiatique.
Score
par V. McKay
A tout de suite carbure à la DV instinctive. Idéal pour filmer au plus près l'éclosion d'une comédienne en très grande actrice. Isild Le Besco portant vaillamment ce film mi-jazz mi-blues sur ses épaules en Bonnie qui perd son Clyde.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Image joliment granuleuse, noir et blanc vérité, c'est un film de Benoît Jacquot (...) Isild Le Besco y tient ses promesses, avec éclat.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
Une histoire forte et authentique, une actrice incandescente qui bouffe la pellicule, une caméra magnétisée qui cueille toutes les émotions sur ce visage offert. (...) En privilégiant l'histoire d'amour et le strict point de vue de l'héroïne (...), Benoît Jacquot s'est peut-être privé d'un grand film noir -à moins qu'il n'ait réussi le premier film noir pour jeune fille. A vous de juger.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
L'amour fou donne des ailes au personnage et à l'actrice, et ce beau spectacle est le coeur battant du film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
Beau comme un souvenir qui transperce : un peu flou, parce qu'on va trop vite pour se fixer ; en noir et blanc parce que l'inconnu fait peur comme une ombre dans la nuit. (...) A tout de suite abandonne l'idée d'une forme de cinéma parfaite. Dans ce renoncement à polir l'objet, la maîtrise du cinéaste, et de tous ses collaborateurs, rejaillit d'autant mieux (...).
Cahiers du Cinéma
On aurait tort de prendre A tout de suite pour un petit film, car il n'est en mineur que comme l'est une musique. (...) Le fait que le récit d'un déchirement si féminin serve la plus masculine des fictions n'est pas le moindre de ses charmes.
Chronic'art.com
Des films de Benoît Jacquot, A tout de suite est sans aucun doute l'un des plus étranges et les plus fascinants (...) A tout de suite est la radiographie saisissante d'un cinéma dont l'humilité l'empêche d'effacer trop fièrement une histoire (du genre, des figures qui s'y déploient) mais dont la puissance lui ouvre, paradoxalement, les portes d'un royaume aux puretés inexplorées.
Elle
Une fois de plus l'exceptionnelle sensibilité de Benoît Jacquot s'exprime dans une histoire qui recèle tous les archétypes du film noir-intimiste-lyrique, mais s'en affranchit pour entrer directement dans le cerveau de sa protagoniste (...) Un voyage initiatique fiévreux dans sa forme et assez désespéré (...).
Fluctuat.net
Terrienne et lumineuse, filmée entre ces deux extrêmes, Isild Le Besco est magnifique parce qu'elle est confondante de justesse, au coeur de ce personnage absolu qui n'autorise aucune retenue. (...) La facilité avec laquelle la caméra bouge autour des acteurs, le sentiment de simplicité qu'apporte le noir et blanc, allié au grain un peu épais de l'image, tout cela nous met en prise directe avec l'essence de ces personnages.
France Soir
Un road-movie saisissant (...). Caméra à l'épaule, Benoît Jacquot choisit la crudité, et non la romance. Isild Le Besco, antihéroïne égarée, est parfaite dans sa quête d'absolu.
L'Humanité
Une oeuvre contemporaine qui semble sortir de boîtes où elle aurait sommeillé trente ans intacte, miraculée et miraculeuse.
L'Obs
Le nouveau film de Benoît Jacquot est tout en brutalité et en douceur. (...) Le film touche juste, il est comme une parenthèse qui ne se refermerait jamais, comme une blessure. (...) Un film splendide.
Le Monde
Nimbé d'un noir et blanc qui rappelle la fébrilité authentique des premiers films de la Nouvelle Vague, la fureur de vivre d'A bout de souffle de Jean-Luc Godard (...) A tout de suite rappelle aussi tout ce que Benoît Jacquot, disciple de Fritz Lang, doit aux Contrebandiers de Moonfleet : une vision météorique du cinéma comme un art de faire surgir un paysage ténébreux dans une âme d'enfant.
Les Inrockuptibles
Le spectateur, dépassé par les évènements, assiste à leur déroulement sans comprendre, plongé dans une réalité à la fois très concrète (...) et en même temps complètement insaisissable dans ce changement de décor permanent. L'étrangeté, presque fantastique, et la beauté du film sont dans ce paradoxe, cette contradiction du visible et de l'invisible qui rend le cinéma si passionnant.
Libération
Un film qui fait écho, dix ans après, à la Fille seule qui relançait la carrière du cinéaste pour un sprint second souffle à perdre haleine qui depuis n'a pas faibli (...) La photo garelienne de Caroline Champetier, les notes de Tangerine Dream et la mise en scène au coutelas de Jacquot célèbrent l'adéquation absolue du couple d'acteurs, l'éphèbe Ouassini Embarek et l'amazone Isild Le Besco à la fébrilité du récit (...).
MCinéma.com
Avec A tout de suite, Benoît Jacquot s'offre une parenthèse enchantée et un bain de jouvence. Tourné en noir et blanc et en numérique, cette course en avant procure un sentiment d'oppression et de libération au spectateur. (...) Entre fait divers et portrait intimiste, le film est un road movie géographique et intérieur captivant, filmé de Paris à Athènes au plus près d'une actrice.
Paris Match
Une ditribution sans failles. Benoît Jacquot signe ici un road-movie sombre et flamboyant (...). Un film à voir tout de suite.
Positif
Benoît Jacquot réussit le prodige de ne pas réaliser une reconstitution de 1975 mais de tourner, en 2004, un film de 1975. (...) Jacquot ne filme que l'écume de la vie, mais cette écume est la vie.
Première
Constamment inspiré. Constamment déchiré. Unique.
Rolling Stone
Un film intense, inspiré d'une histoire vraie. (...) L'incroyable naturel des amants maudits, Isild Le Besco et Ouassini Embarek, n'a pas fini de jeter le trouble sur les écrans français.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Jacquot, qui signe là l'un de ses plus beaux films, fait évoluer ses acteurs dans un noir et blanc mystérieux et granuleux (...) Pas de discours (...), mais une héroïne littéralement consumée (...). Sec et frappant.
Zurban
Illuminant les plans de sa liberté animale, Isild Le Besco entraîne son personnage dans un dénuement bouleversant et Jacquot prouve que la solitude des jeunes femmes lui réussit. La Fille seule (1995) était son plus beau film. A tout de suite vient se hisser à sa hauteur.
aVoir-aLire.com
Chapeau ! Dix-neuf ans après ses débuts, le très productif Benoît Jacquot nous offre l'un des meilleurs films de sa carrière. Touché par la grâce, il réalise une oeuvre confondante de jeunesse, un magnifique périple à travers les années 70.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
On peut lui reprocher quelques lenteurs complaisantes pour son interprète. Mais la mise en scène joue admirablement sur l'espace et le silence. Ou plutôt les silences, toujours différents, toujours captivants. Benoît Jacquot donne à ce bref petit récit, rêveur et nerveux, qui pourrait être irritant, une élégance farouche.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
Entre urgence et lenteur, une cavale portée par le tonus de ses interprètes. En tout premier lieu Isild Le Besco sur laquelle la caméra s'attarde jusqu'à la complaisance. Plus que la reconstitution réaliste d'un fait divers, une esquisse de portrait en pointillés savamment installés, sur le chemin d'un voyage initiatique.
Score
A tout de suite carbure à la DV instinctive. Idéal pour filmer au plus près l'éclosion d'une comédienne en très grande actrice. Isild Le Besco portant vaillamment ce film mi-jazz mi-blues sur ses épaules en Bonnie qui perd son Clyde.
Télé 7 Jours
Image joliment granuleuse, noir et blanc vérité, c'est un film de Benoît Jacquot (...) Isild Le Besco y tient ses promesses, avec éclat.
TéléCinéObs
Une histoire forte et authentique, une actrice incandescente qui bouffe la pellicule, une caméra magnétisée qui cueille toutes les émotions sur ce visage offert. (...) En privilégiant l'histoire d'amour et le strict point de vue de l'héroïne (...), Benoît Jacquot s'est peut-être privé d'un grand film noir -à moins qu'il n'ait réussi le premier film noir pour jeune fille. A vous de juger.
Télérama
L'amour fou donne des ailes au personnage et à l'actrice, et ce beau spectacle est le coeur battant du film.
Studio Magazine
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