Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
L'ensemble est fluide, touchant comme une chronique sociale, survolté comme un film d'action, riche comme une saga familiale. Une réussite.
Première
par Hugo Deschamps
Morel (...) mélange l'action et la morale. Et son regard radical fait grincer des dents. C'est l'une des raisons qui pousse à voir ce film incandescent, brut et musclé. L'autre raison est la distribution juste et cohérente, Rideau en tête, qui a pris des épaules.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Disciple émérite de Téchiné (...), Morel a souvent signé des films prometteurs mais approximatifs (...). Or, dans Le clan, les scories ne sont plus. On est d'emblée séduit par la rigueur d'un scénario épuré (...), qui sait être grave sans surligner les scènes, poignant sans faire du chantage à l'émotion, dense sans faire d'esbroufe.
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Le Clan n'excède ainsi jamais un compartimentage en trois comportements, entre communion physique, carriérisme guindé et péril de celui qui ne parvient pas à choisir. Des corps qui se touchent, des qui se rangent, d'autres qui se brisent. Et partout une horreur du social qui fige les créatures dans la candeur ou la médiocrité.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
La vraie valeur du film, on la trouvera dans ces longs plans inspirés qui suivent l'un ou l'autre des frères (...). Libéré d'une narration qui semble toujours lui peser, Gaël Morel trouve alors des mouvements de cinéastes, une intimité avec ses acteurs qui l'instant d'après lui échappent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
serait maladroit, devant le fim de Gaël Morel, de hurler au chef-d'oeuvre. Le film, imparfait par essence (...) décevrait. Tout comme il serait complètement à côté de la plaque de lui reprocher ses ambitions : sa grande force, en même temps que sa naïveté lyrique revendiquée, est justement de ne rien se refuser.
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Comme à son habitude, le cinéaste rend plutôt finement le côté écorché vif de la jeunesse. Dommage, cependant, que le traitement de la masculinité se résume à une mise en scène répétitive et exhibitionniste de la sexualité hétéro et homo des personnages.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
En changeant à plusieurs reprises de centre de gravité, et au fil des saisons, Gaël Morel parvient finalement à saisir pour chacun de ses personnages ce moment indéfini où le destin se cristallise, plus souvent pour le pire que pour le meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le plus énervant, c'est que l'on perçoit dans cet océan de platitudes les réelles qualités de cinéaste de Gael Morel : un sens du cadre, l'envie de faire émerger des acteurs une part intime... Le film atteint une certaine émotion dans sa dernière partie (si on tient jusque-là) avec l'histoire du petit frère. Son récit, distancé, est enfin débarrassé de cette emphase naïve et parfois ridicule dans laquelle baignent les trois quarts du film.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Morel filme (...) avec un mélange de fausse candeur et de certitudes trop ressassées : grandes plages naïves et attendues (les corps des garçons luisant au soleil, s'ébrouant au ralenti dans l'eau) trouées par de molles saillies hard-rock, virilité travaillée par la féminité et la fascination émerveillée des corps, impression d'un piétinement stérile en général.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle FROIS
Un drame pseudo social. A travers l'histoire de cette fratrie, Gaël Morel assouvit en fait ses fantasmes. Il filme les corps d'hommes, une scène de sexe collectif ou le rasage de parties intimes. Pas poilant. Très rasoir !
Positif
par Eithne O'Neill
Ces Vitelloni, malgré de bonnes intentions, sont morts-nés de la complaisance.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
L'ensemble est fluide, touchant comme une chronique sociale, survolté comme un film d'action, riche comme une saga familiale. Une réussite.
Première
Morel (...) mélange l'action et la morale. Et son regard radical fait grincer des dents. C'est l'une des raisons qui pousse à voir ce film incandescent, brut et musclé. L'autre raison est la distribution juste et cohérente, Rideau en tête, qui a pris des épaules.
aVoir-aLire.com
Disciple émérite de Téchiné (...), Morel a souvent signé des films prometteurs mais approximatifs (...). Or, dans Le clan, les scories ne sont plus. On est d'emblée séduit par la rigueur d'un scénario épuré (...), qui sait être grave sans surligner les scènes, poignant sans faire du chantage à l'émotion, dense sans faire d'esbroufe.
Cahiers du Cinéma
Le Clan n'excède ainsi jamais un compartimentage en trois comportements, entre communion physique, carriérisme guindé et péril de celui qui ne parvient pas à choisir. Des corps qui se touchent, des qui se rangent, d'autres qui se brisent. Et partout une horreur du social qui fige les créatures dans la candeur ou la médiocrité.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
La vraie valeur du film, on la trouvera dans ces longs plans inspirés qui suivent l'un ou l'autre des frères (...). Libéré d'une narration qui semble toujours lui peser, Gaël Morel trouve alors des mouvements de cinéastes, une intimité avec ses acteurs qui l'instant d'après lui échappent.
Libération
serait maladroit, devant le fim de Gaël Morel, de hurler au chef-d'oeuvre. Le film, imparfait par essence (...) décevrait. Tout comme il serait complètement à côté de la plaque de lui reprocher ses ambitions : sa grande force, en même temps que sa naïveté lyrique revendiquée, est justement de ne rien se refuser.
TéléCinéObs
Comme à son habitude, le cinéaste rend plutôt finement le côté écorché vif de la jeunesse. Dommage, cependant, que le traitement de la masculinité se résume à une mise en scène répétitive et exhibitionniste de la sexualité hétéro et homo des personnages.
Télérama
En changeant à plusieurs reprises de centre de gravité, et au fil des saisons, Gaël Morel parvient finalement à saisir pour chacun de ses personnages ce moment indéfini où le destin se cristallise, plus souvent pour le pire que pour le meilleur.
Aden
Le plus énervant, c'est que l'on perçoit dans cet océan de platitudes les réelles qualités de cinéaste de Gael Morel : un sens du cadre, l'envie de faire émerger des acteurs une part intime... Le film atteint une certaine émotion dans sa dernière partie (si on tient jusque-là) avec l'histoire du petit frère. Son récit, distancé, est enfin débarrassé de cette emphase naïve et parfois ridicule dans laquelle baignent les trois quarts du film.
Chronic'art.com
Morel filme (...) avec un mélange de fausse candeur et de certitudes trop ressassées : grandes plages naïves et attendues (les corps des garçons luisant au soleil, s'ébrouant au ralenti dans l'eau) trouées par de molles saillies hard-rock, virilité travaillée par la féminité et la fascination émerveillée des corps, impression d'un piétinement stérile en général.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un drame pseudo social. A travers l'histoire de cette fratrie, Gaël Morel assouvit en fait ses fantasmes. Il filme les corps d'hommes, une scène de sexe collectif ou le rasage de parties intimes. Pas poilant. Très rasoir !
Positif
Ces Vitelloni, malgré de bonnes intentions, sont morts-nés de la complaisance.