10e chambre – Instants d'audience : Critique presse
10e chambre – Instants d'audience
Note moyenne
4,5
13 titres de presse
Aden
L'Humanité
Le Monde
Les Inrockuptibles
Télérama
Zurban
Chronic'art.com
Ciné Live
L'Express
L'Obs
Le Figaro
Libération
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Depardon entre ici au coeur d'une angoisse éternelle : l'homme en proie au jugement des autres. Et, on le sait, dans cet engrenage, un dérapage anodin peut entraîner le pire. Ça ne se passe pas ici, mais on sent à chaque instant la pesanteur du système. Lequel, en prônant en toute bonne foi la justice, peut se transformer aussi bien en machine à broyer les hommes.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Jean Roy
Admirable Depardon qui, sans mépris, à hauteur d'homme, nous donne à voir ce qui est sous nos yeux. Il va de soi qu'il faut découvrir 10e Chambre.
Le Monde
par Isabelle Régnier
10e chambre est un document exceptionnel : actuellement, seuls les procès à caractère historique peuvent être enregistrés à la condition de n'être diffusés que vingt ans plus tard (...)C'est surtout un grand film de mise en scène. Très simple, le principe imaginé pour cet enregistrement de la justice en action n'en est pas moins un véritable parti pris.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
10e chambre, film ouvert sur des hommes et femmes perdus ou dispersés, condamnés ou libérés. 10e chambre : chambre close comme une cellule ou un destin, et chambre d'écho d'une société.
Télérama
par Pierre Murat
1Oe Chambre, instants d'audience est un film poignant et drôle qui montre les forces et les limites de notre système judiciaire. Raymond Depardon ne dénonce rien ni personne. Il observe plus en philosophe qu'en moraliste. Après, c'est à nous de voir...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Un film exemplaire, à la mise en scène très minimaliste, qui revient, tel un boomerang, heurter la moindre de nos certitudes.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
le dispositif minimal de Depardon est d'une totale efficacité, et en même temps il reste un angle mort, entre l'audience et le jugement : la délibération proprement dite, c'est-à-dire le moment où le corps judiciaire s'échappe de l'espace publique, se retire de la scène vers un autre espace, mystérieux, invisible, où la parole se donne selon d'autres modalités. Finalement, c'est peut-être ce moment-là qu'il importait vraiment de filmer. Une vue sur ces coulisses, c'eut été énorme.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Ces Instants d'audiences dessinent une comédie qui prend parfois les allures d'un drame intime, selon le point de vue adopté par le cinéaste et selon que le spectateur le partage ou non.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
par Philippe Azoury
Passionnant par intermittences, le film a toutes les qualités d'un dispositif télévisuel génial.
Première
par Olivier de Bruyn
Dix ans après Délits flagrants, Depardon retourne fixer de l'intérieur le dispositif judiciaire et les gens prisonniers de ses rets. Apparemment, le docu obéit aux lois strictes du cinéma direct. La caméra en plan fixe enregistre, au gré de longues séquences, la parole et les regards, tantôt terrifiés, tantôt faussement sereins, d'une poignée de nos contemporains confrontés à un système qui les dépasse. (...) Grand film.
Aden
Depardon entre ici au coeur d'une angoisse éternelle : l'homme en proie au jugement des autres. Et, on le sait, dans cet engrenage, un dérapage anodin peut entraîner le pire. Ça ne se passe pas ici, mais on sent à chaque instant la pesanteur du système. Lequel, en prônant en toute bonne foi la justice, peut se transformer aussi bien en machine à broyer les hommes.
L'Humanité
Admirable Depardon qui, sans mépris, à hauteur d'homme, nous donne à voir ce qui est sous nos yeux. Il va de soi qu'il faut découvrir 10e Chambre.
Le Monde
10e chambre est un document exceptionnel : actuellement, seuls les procès à caractère historique peuvent être enregistrés à la condition de n'être diffusés que vingt ans plus tard (...)C'est surtout un grand film de mise en scène. Très simple, le principe imaginé pour cet enregistrement de la justice en action n'en est pas moins un véritable parti pris.
Les Inrockuptibles
10e chambre, film ouvert sur des hommes et femmes perdus ou dispersés, condamnés ou libérés. 10e chambre : chambre close comme une cellule ou un destin, et chambre d'écho d'une société.
Télérama
1Oe Chambre, instants d'audience est un film poignant et drôle qui montre les forces et les limites de notre système judiciaire. Raymond Depardon ne dénonce rien ni personne. Il observe plus en philosophe qu'en moraliste. Après, c'est à nous de voir...
Zurban
Un film exemplaire, à la mise en scène très minimaliste, qui revient, tel un boomerang, heurter la moindre de nos certitudes.
Chronic'art.com
le dispositif minimal de Depardon est d'une totale efficacité, et en même temps il reste un angle mort, entre l'audience et le jugement : la délibération proprement dite, c'est-à-dire le moment où le corps judiciaire s'échappe de l'espace publique, se retire de la scène vers un autre espace, mystérieux, invisible, où la parole se donne selon d'autres modalités. Finalement, c'est peut-être ce moment-là qu'il importait vraiment de filmer. Une vue sur ces coulisses, c'eut été énorme.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Ces Instants d'audiences dessinent une comédie qui prend parfois les allures d'un drame intime, selon le point de vue adopté par le cinéaste et selon que le spectateur le partage ou non.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Passionnant par intermittences, le film a toutes les qualités d'un dispositif télévisuel génial.
Première
Dix ans après Délits flagrants, Depardon retourne fixer de l'intérieur le dispositif judiciaire et les gens prisonniers de ses rets. Apparemment, le docu obéit aux lois strictes du cinéma direct. La caméra en plan fixe enregistre, au gré de longues séquences, la parole et les regards, tantôt terrifiés, tantôt faussement sereins, d'une poignée de nos contemporains confrontés à un système qui les dépasse. (...) Grand film.