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Votre avis sur L'Eté où j'ai grandi ?
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Tombé par hasard sur ce film, retenu par ces enfances dans les paysages amples et secs de l'Italie du Sud, happé par une situation digne d'un film fantastique, surpris par le dénuement de ces paysans dans l'un des pays les plus riches d'Europe, embarqué finalement dans un polar de tout premier ordre.
Un peu un air de "Respiro", le côté glauque en plus des rapts d'enfants qui nous replongent dans les années de plomb (Ca, ça rappelle plutôt Buogiorno notte, sur l'enlèvement et l'assassinat d'Aldo Moro).
Un joli film sur l'enfance, en dépit du sujet assez hard, des gosses qui jouent vraiment comme des gosses italiens, c'est-à-dire magnifiquement, mais des adultes un peu effacés, pas tout à fait à la hauteur.
Un joli film sur l'enfance, en dépit du sujet assez hard, des gosses qui jouent vraiment comme des gosses italiens, c'est-à-dire magnifiquement, mais des adultes un peu effacés, pas tout à fait à la hauteur.
Ce film ataraxique nous rappelle pourquoi on aime autant le (ce) cinéma.
Quel bonheur de voir à l'écran de tels acteurs (les enfants y sont vraiment magnifiques) évoluer dans des décors aussi somptueux et féériques.
Ce film nous rappelle que l'innocence de l'enfance, ne peut malheureusement nous habiter ad vitam eternam.
Et en y réfléchissant bien, vous finirez tous par vous rappeler de "l'été où vous avez grandi".
Quel bonheur de voir à l'écran de tels acteurs (les enfants y sont vraiment magnifiques) évoluer dans des décors aussi somptueux et féériques.
Ce film nous rappelle que l'innocence de l'enfance, ne peut malheureusement nous habiter ad vitam eternam.
Et en y réfléchissant bien, vous finirez tous par vous rappeler de "l'été où vous avez grandi".
Magnifique mise en scène avec un happy ending qui ne me dérange pas parce que ça cadre bien avec l'espoir misé sur l'innocence et l'insouciance de l'enfance. Ce film est d'une poésie et d'une efficacité à vous couper le souffle. Un nouveau genre de thriller très inventif sans les déballages techniques inutiles et combien l'image parle d'elle-même et laisse au public la place pour l'imagination et le rêve.Je préfère le titre en italien, plus direct parce que ça parle de peur et de courage. Je me suis accrochée à mon siège à des moments pendant le film tellement l'histoire est bien menée. Le titre en français n'est pas très accrocheur et si j'ai voulu voir le film c'est grâce aux critiques positives du public, alors je veux encourager ceux qui hésitent à faire le pas pour découvrir ce chef d'oeuvre.
Film découvert en cours d'italien, et je remercie ma prof de me l'avoir fait découvrir. Trés beau film sur l'enfance tout d'abord ainsi que sur l'histoire italienne et plus précisement la période noire des années 70. Ce film prouve que le cinéma italien n'est pas mort avec Fellini. Film à voir, je le conseillerais plutot en version originale (tout comme le titre "Io non ho paura" - je n'ai pas peur)
Conte cruel :
"L'Été où j'ai grandi" emprunte au fantastique et à la poésie. C'est un film d'une sensibilité rare qui, sous des airs faussement innocents, est un voyage initiatique au pays de la Cruauté. Où l'on voit Michele, gamin superbe et insouciant de dix ans, faire l'apprentissage du courage. La découverte macabre qu'il fait dès le début du film va le projeter dans l'univers impitoyable des adultes. Lui apprendre le goût de l'autre aussi. La différence. Les confrontations sont multiples, et toutes riches d'enseignements. Que ce soit avec ses compagnons de jeux, son père, dont les parties de bras-de-fer deviennent hautement symboliques, "l'autre", l'enfant "sauvage", sorte de Petit Prince livré à la cupidité des hommes. Un "Été" aux plans superbes, à la photo impressionniste. Filmé à hauteur d'un Petit Homme qui se révèle plus "grand" que tous les adultes qui l'entourent. Celui par qui l'humanité arrive À voir d'urgence!
Karibou
"L'Été où j'ai grandi" emprunte au fantastique et à la poésie. C'est un film d'une sensibilité rare qui, sous des airs faussement innocents, est un voyage initiatique au pays de la Cruauté. Où l'on voit Michele, gamin superbe et insouciant de dix ans, faire l'apprentissage du courage. La découverte macabre qu'il fait dès le début du film va le projeter dans l'univers impitoyable des adultes. Lui apprendre le goût de l'autre aussi. La différence. Les confrontations sont multiples, et toutes riches d'enseignements. Que ce soit avec ses compagnons de jeux, son père, dont les parties de bras-de-fer deviennent hautement symboliques, "l'autre", l'enfant "sauvage", sorte de Petit Prince livré à la cupidité des hommes. Un "Été" aux plans superbes, à la photo impressionniste. Filmé à hauteur d'un Petit Homme qui se révèle plus "grand" que tous les adultes qui l'entourent. Celui par qui l'humanité arrive À voir d'urgence!
Karibou
Un film beau qui parle de la peur, du coeur, de l'aveuglement des adultes, de l'amour...
L'ambiance est magique, les enfants émouvants, la nature omniprésente.
A voir absolument
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