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Un visiteur
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Excellent film,d'une force insoupçonnable au premier abord.Un film tout en contraste,le début,calme,l'insouciance de la jeunesse en vacance,puis le reste,un garcon qui ne comprend pas ce que font ses parents,mais lorsqu'il realise il va prendre ses responsabilités,montrant que les enfants aident aussi les adultes a se construire La musique est envoutante,sans saturé,et les acteurs sont tres bons,tres vrais,tres naturels. Bravo
Un thriller dramatique très loin des clichés de productions américaines. Le contraste entre les paysages lyriques et le scénario sordide s'estime parfaitement grâce à une très bonne mise en scène. Le jeu des acteurs est parfait. Le jeune Giuseppe Cristiano y est bluffant. La musique est magnifique. La lumière et les très beaux paysages rustiques apportent un effet très réussit de souffle de liberté et de poésie. Entre légèreté et crainte, beauté et vertige, on suit l'histoire, racontée comme un conte, qu'un jeune enfant de 10 ans écrit chaque soir sous son drap. Naviguant de thriller à drame en tirant légèrement vers le fantastique et le moralisme, L'Eté où j'ai grandi est la très belle histoire d'une insouciance rafraîchissante qui apprend à connaître le monde cruel des adultes. Dommage que la fin trop théâtrale brise la délicate sensibilité de ce film. [Mon blog de critiques cinématographiques : http://redross.skyblog.com]
Dans le sud de l’Italie, un jeune garçon découvre au hasard de ses jeux un enfant de son âge séquestré dans un trou près d’une vieille maison abandonnée. En découvrant qui sont les auteurs du kidnapping, il perdra une part d’innocence qu’il compensera par un acte héroïque. C’est ce que le film raconte avec subtilité, en évitant les écueils du manichéisme. Car il montre aussi que ce sont des conditions sociales défavorables qui peuvent conduire à tels actes. L’homme est un loup pour l’homme, certes, mais ce dur constat est toutefois adouci par une vision poétique et éthérée, avec l’omniprésence de ces magnifiques champs de blé (tout un symbole) sous un ciel bleu limpide. Bref, ce n’est rien de moins qu’une ode à l’enfance, peut-être quelque peu idéalisée, mais avec tellement de sensibilité et de poésie ! Superbe, à voir absolument, un petit bijou.
Très beau film, violent mais sans violences, qui peut être vu par des ados ou pré-ados et où l'on voit que les enfants, s'ils savent grandir, peuvent aussi faire grandir leurs parents. Prendre ses responsabilités est l'une des choses les plus difficiles de notre société de consommation passive. Ce film montre que c'est pourtant toujours possible. Magnifique scénario, magnifiques prises de vue.
L'été ou j'ai grandi nous emmène dans l'Italie du Sud d'il y a quelques décennies. Le récit est passionnant, et narre l'amitié interdite entre deux garçons d'une dizaine d'année. Le jeune Giuseppe joue merveilleusement bien. Ce film apporte fraicheur et émotion. J'adhère !
Des acteurs justes, bien que très jeunes. De bons plans, une réalisation juste et magnifique dans le sens esthétique.Il est en effet rare d'apprécier un film après l'avoir lu, meme pas! Bon film à voir.
Un film qui nous change des américaniaiseries du moment. Le cinéma italien a encore des ressources. Des images colorées, des acteurs de qualité, tout pour passer un agréable moment, même si la peur est présente. A voir absolument.
C'est un regard magnifique sur l'enfance. Un chant pour l'amitié. Les jeunes acteurs donnent un charme particulier à ce film. Le décor est épuré: des champs de blé et le bleu du ciel pour horizon. Tout semble simple dans ce ptit monde où les enfants jouent et où se joue pourtant une vie...
ce film est emballant. Il s'agit véritablement d'un thriller savamment dosé de touches attendrissantes liées au monde de l'enfance. il n'en reste pas moins qu'il s'agit aussi de la critique acerbe de l'enlèvement d'enfant pour de l'argent. a voir.
2ème meileur film de l'année sur 76 films vus depuis le 1er janvier. Des champs de blés à perte de vue au sud de l'italie que l'on a déjà vu dans notre enfance et qui nous rapelle notre insouciance. Si l'histoire est quelque peu macabre elle reste néanmoins basé sur une amitié. du rêve, de la peur comme un cauchemard d'enfant et l'on se réveille en étant vivant. Sublimement filmé, rien ne manque à ce film ! ceux qui ont aimé "va vis et deviens" vont adoré ce film !
ce film est vraiment surprenant par son histoire brute, ses paysages, et cette musique remarquable ! l'enfant est plongé dans un monde de découvertes obscures mais reste fidèle à lui-même : un être faible pour les adultes et fort en sincérité.
J'ai enregistré ce film sur ARTE... par erreur. Voilà une erreur que je ne regrete vraiment pas, et je vais le graver sur DVD afin de le conserver. "Non le cinéma italien n'est pas mort" car il bouge encore...
Du bon cinéma auquel nous ne faisons guère de place. Il aurait mérité au moins d'être présent à Cannes, ne serais-ce que pour l'interprétation et la photographie. Merci à ARTE de nous faire découvrir - de temps à autre - du cinéma de qualité, même s'il ne fait pas des millions d'entrées.