Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
"L'été où j'ai grandi" est un film impressionnant (...) Sa grande force réside dans son scénario dense et fluide, sa photo belle et lumineuse comme de l'aquarelle, son interprétation robuste et surtout sa forme, éclatante
Brazil
par Eric Coubard
On est très sensible à ce thriller baigné par une chaleur d'été et une innocence rafraîchissante que vient assombrir le monde cruel des adultes. Auréolé de nombreuses distinctions (...), ce long-métrage mérite vraiment qu'on s'y attarde.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Gilles Renault
Un climat détraqué, âpre, qui contraste avec la touffeur liminaire et que Salvatores restitue à une ou deux maladresses près (...) avec un tact salutaire.
MCinéma.com
par Camille Brun
Ce récit initiatique peut sembler de prime abord plutôt classique. Pourtant, il profite d'un scénario malin et habile et (...) bénéficie d'une lumière magnifique, violemment ensoleillée, et de paysages grandioses qui apportent une touche très réussie de lyrisme rocailleux.
Première
par Gael Golhen
Salvatores navigue entre le thriller, le fantastique et le film mental dans un climat sensuel et inquiétant. Encore une fois, sans symbolisme, sans hauteur, sinon le mètre trente du héros.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par V. McKey
L'été où j'ai grandi est en apparence un thriller, loin des stéréotypes auxquels le cinéma américain nous avait habitués. Les racines profondément latines du film l'emmènent vers des zones sombres.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Ce beau film met l'ampleur de sa mise en scène au service d'un récit angoissant et poignant avec intelligence et doigté.
Zurban
par Véronique Le Bris
Les acteurs (...) sont épatants. Seul bémol, la fin trop théâtrale rompt avec la subtile sensibilité de l'ensemble.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Gabriele Salvatores affiche un indéniable savoir-faire. On ne lui reprochera qu'une propension à abuser des effets (...) une curieuse invraisemblance (...) et une fin assez grandiloquente.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Après un beau début lyrique, ce petit thriller rural se délite graduellement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Jean Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Anne Dessuant
Salvatores pose un regard d'une extrême tendresse sur tous, enfants volontaires ou parents paumés, et sur cette Italie désespérée. Il maîtrise l'équilibre entre le lyrisme des paysages et le sordide de l'histoire ; son finale emphatique lui sera d'autant moins pardonné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par La rédaction
Le metteur en scène a du mal à trouver un itinéraire qui fasse l'équilibre de directions contraires. Il met de l'emphase à trancher entre la poésie candide de la jeunesse et la sordide cruauté des parents.
Positif
par Grégory Valens
(...) on trouvera ce retour au mieux sympathique, sinon aux frontières du ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
"L'été où j'ai grandi" est un film impressionnant (...) Sa grande force réside dans son scénario dense et fluide, sa photo belle et lumineuse comme de l'aquarelle, son interprétation robuste et surtout sa forme, éclatante
Brazil
On est très sensible à ce thriller baigné par une chaleur d'été et une innocence rafraîchissante que vient assombrir le monde cruel des adultes. Auréolé de nombreuses distinctions (...), ce long-métrage mérite vraiment qu'on s'y attarde.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Un climat détraqué, âpre, qui contraste avec la touffeur liminaire et que Salvatores restitue à une ou deux maladresses près (...) avec un tact salutaire.
MCinéma.com
Ce récit initiatique peut sembler de prime abord plutôt classique. Pourtant, il profite d'un scénario malin et habile et (...) bénéficie d'une lumière magnifique, violemment ensoleillée, et de paysages grandioses qui apportent une touche très réussie de lyrisme rocailleux.
Première
Salvatores navigue entre le thriller, le fantastique et le film mental dans un climat sensuel et inquiétant. Encore une fois, sans symbolisme, sans hauteur, sinon le mètre trente du héros.
Score
L'été où j'ai grandi est en apparence un thriller, loin des stéréotypes auxquels le cinéma américain nous avait habitués. Les racines profondément latines du film l'emmènent vers des zones sombres.
TéléCinéObs
Ce beau film met l'ampleur de sa mise en scène au service d'un récit angoissant et poignant avec intelligence et doigté.
Zurban
Les acteurs (...) sont épatants. Seul bémol, la fin trop théâtrale rompt avec la subtile sensibilité de l'ensemble.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Gabriele Salvatores affiche un indéniable savoir-faire. On ne lui reprochera qu'une propension à abuser des effets (...) une curieuse invraisemblance (...) et une fin assez grandiloquente.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Après un beau début lyrique, ce petit thriller rural se délite graduellement.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Salvatores pose un regard d'une extrême tendresse sur tous, enfants volontaires ou parents paumés, et sur cette Italie désespérée. Il maîtrise l'équilibre entre le lyrisme des paysages et le sordide de l'histoire ; son finale emphatique lui sera d'autant moins pardonné.
Ouest France
Le metteur en scène a du mal à trouver un itinéraire qui fasse l'équilibre de directions contraires. Il met de l'emphase à trancher entre la poésie candide de la jeunesse et la sordide cruauté des parents.
Positif
(...) on trouvera ce retour au mieux sympathique, sinon aux frontières du ridicule.