un film de science fiction dont le scénario a été tellement utilisé que les surprises ne sont plus là. PLV : pour ceux qui aiment se plonger dans ces ambiances futuristes.
Dans le futur, des compagnies se disputent les planètes minières, et finissent par envoyer des prisonniers en guise de pilote afin de se défendre. Dès le premier plan du film, "Moon 44" apparait comme un plagiat stylistique de "Aliens" : soldats burnés, bureaucrates évoquant la Weyland Yutani, et lune visuellement proche de la fameuse LV-426. Sans compter quelques éléments esthétiques pompés sur "Blade Runner", et une intrigue avec un policier seul sur une station spatiale évoquant "Outland". En terme de SF, le film n'est donc guère original, voire malhonnête sur les bords. Cependant, il s'avère relativement distrayant par moment. Les acteurs sont très inégaux, mais corrects dans l'ensemble (on bénéficie notamment de Malcolm McDowell). Et l'intrigue, bien que brouillonne dans la dernière partie, se laisse suivre au départ. Au final, le meilleur point du film est la BO de Jerry Goldsmith. "Moon 44" est donc impersonnel et très moyen.
Dans le marécage des nanars de science fiction que je me suis auto-administré, Moon 44 restera dans ma mémoire comme celui , le premier, où je n'ai pas réussi à aller au bout du traitement. Je passe rapidement sur les effets spéciaux et le scénario inexistant, l'essentiel étant visiblement de montrer spoiler: une bande d'adolescent pré-pubères face à une bande de voyous body-buildés mais dans l'espace. Comme dans beaucoup d'autres productions du même type, le réalisateur s'imagine sans doute que la mode des années 80 franchira les siècles, nous retrouvons avec nostalgie donc les spencers avec des épaulettes, les permanentes à la brillantine et les débardeurs funkies. Coté technologie, alors que l'humanité a conquis l'espace, les répondeurs téléphoniques ont des mini cassettes et les djeunes utilisent des walkmans et ça vraiment ça n'aide pas à rentrer dans le film. Mais c'est l'aspect culturel qui sombre dans le grotesque lorsque le djeune au walkman est tout fier d'annoncer qu'il écoute de la musique moderne : du rap ! De tous les futurs morbides imaginés par les plus sociopathes des scénaristes de la planète, du cyberpunk le plus glauque au post-apo le plus désespérant, aucun de ce que j'avais vu auparavant ne m'avait préparé à cette vision cauchemardesque : Un futur où les jeunes de 2037 écouteront encore du rap. Une indicible angoisse m'a subitement étreint, j'ai rabattu le capot de l'ordi et j'ai dormi la lumière allumée.
Un film franchement pas terrible mais sympathique. Les dialogues sont pauvres et les acteurs ne s'impliquent pas vraiment dans leur rôle, mention spécial a Michael Pare qui est tellement froid et sérieux qu'il ressemble a un légume tout au long du film. Seul l'apparition de Malcolm Mcdowell et la bande original redonne un peu de peps a ce film qui ne se differencie pas vraiment des autres nanars scenaristiques de Roland Emmerich. S'il te plaît Roland refait nous des films a la hauteur de Stargate ! Ce film reste néanmoins correct et l'on passe un bon moment.
Impossible de s'intéresser à cette histoire pourtant j'y suis arrivé avec des bien plus grosses daubes en SF, mais là rien! Même pas pour la rigolade car on ne peut pas dire que la réalisation soit archi nul, juste parfois le sentiment de regarder une pub pétrol hahn.
Je crois que tout le budget a servi aux décors, pour le reste pas de bons acteurs, il faut dire que les dialogues sont des plus basiques. Il y aurait eu quelques chose à faire avec le principe des gros musclés qui pilotent et les petits futés qui les dirigent, mais non rien à part se faire sodomiser dans les douches c'est lamentable.Heureusement Hemrich a su nous faire plaisir avec un peu plus de moyens par la suite dans des films catastrophe.
Film de science fiction presque potable qui aura le mérite de faire connaître un créateur de blockbuster assez fumeux (R.Emmerich !). Les décors, l'ambiance et les effets sont particulièrement réussis il faut le reconnaître mais les personnages terriblement creux et caricaturaux. Le scénario ne va pas très loin et le tout se résume très vite à des images de poursuites spatiales et des scènes de violence dans le vaisseau "carcéral"... mais la réalisation n'est même pas assez efficace pour se faire créditer de bon film d'action.
La collaboration entre un r emmerich et un mickael pare devait forcément déboucher sur un navet c'est chose faite,aucune tension,aucun attrait,c'est long et c'est mal joué avec un budget digne des plus mauvaises série b, même si pour ce réal de grands moyens ne servent pas à grand chose, le résultat sera le même.
mon dieu!! quelle torture, j'avais jamais vu et je n'aurai jamais du m'y essayer, bon je suis aller au bout dès fois que....... mais non, des dialogues plus que cul-cul la praline, certain on vu de l'humour??? ce doit etre ironique!!! les acteurs pitoyables!! tout à été mis au détriment des effet spéciaux et de la musique qui pour l'époque sont pas mal ( c'est pas lucas-art bien évidament). bon aller j'oublie mais v surement revoir pour la 20°fois STARGATE ;)
Cet insoutenable navet diminue encore le peu de respect que l’on peut avoir pour Roland Emmerich. Non content d’avoir gâché un grand nombre d’honnêtes scénarios (lire notre critique de « Stargate »), le réalisateur allemand, fleuron d’un certain Hollywood bourrin et commercial qui fait la joie des anti-américains primaires, a pondu sans vergogne une quantité impressionnante de médiocrités dont ce Moon 44. Ramassis de situations avariées, de répliques rances et de personnages épais, ce rejeton de la SF a l’unique avantage de constituer l’un des plus redoutables produits laxatifs sur le marché.
peut être le film le plus engagé d'emmerich, en plus d'une belle réussite esthétique et d'un spectacle prenant. très bon, surtout si on aime le cinéma d'emmerich.
Roland Emmerich n'a pas la réputation d'être le maître du film de SF, mais il nous livre toutefois une bonne série B, divertissante et avec son lot de clichés dignes des meilleurs téléfilms du genre. Gros bémol tout de même pour le scénario qui visiblement eut autant d'importance que le choix des acteurs...
Méme à ses débuts,Roland Emmerich ne savait pas tenir une caméra et n'a jamais été touché par une quelconque créativité de débutant.Emmerich nous rabachait déja ses clichés de science fiction vieux comme le monde vu des centaines de fois au cinéma.Tout ce petit menu ne sera pas aidé par des acteurs tous plus nuls les uns que les autres,des dialogues à la choucroute et des effets spéciaux à deux sous.Et non ca ne sert à rien de claquer tout son budget pour une musique originale d'orchestre pour rendre son film spectaculaire.