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chrischambers86
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2,5
Publiée le 23 août 2021
Premier film du teuton Roland Emmerich! Ce n'est pas encore le cinèaste qui fait tout pour nous faire plaisir et nous divertir! Ici nous sommes dans les peurs et les angoisses de l'enfant au milieu des 80's! La peur du noir, le soir ; la mort du père...mais qui ne l'est pas puisque Joey communique au tèlèphone avec lui! Quelque chose se passe chez les Collins mais quoi ? Est-ce l'incarnation de la magie noire ? En bon faiseur à qui l'expèrience profite, Emmerich nous attire dans son monde avec des visions qu'il essaye de rèaliser à mesure que les effets spèciaux permettent de leur donner vie! Son histoire lorgne du côtè de "Poltergeist" et "E.T" avec un gamin aux pouvoirs tèlèkinétiques et une marionnette aux yeux diaboliques! Un film imparfait mais efficace avec une dernière partie rèussie! Ceux qui sont nostalgiques du vidèo-club et du Canal Plus de la grande èpoque trouveront leur compte! Les autres diront que ce premier essai est gentiment surannè...
"Joey", film fantastique américano-ouest-allemand réalisé par Roland Emmerich, sorti en 1985. Le premier long métrage de Roland Emmerich, devenu le roi des gros blockbuster catastrophe à grand spectacle, pour notre plus grand plaisir. Entre E.T sorti en 1982 et la série des "Chucky" qui sortiront après "Joey", le film est bien réalisé, mais le contenu reste peu intéressant. Sans être véritablement un film d'horreur, le thème de la poupée possédée que l'on retrouve dans "Joey" à du mal à prendre. Les délires démoniaques surnaturels des années 80 nous semblent un peu périmés aujourd'hui. " Joey", bien que parfaitement réalisé, est assez ennuyeux.
Après "Ghost Chase" (1987), Roland Emmerich passe à partir des années 90 à la S.F et à l'action avec "Moon 44", "Universal Soldier", puis au grand spectacle très généreux avec "Stargate", "Independence Day" et "Godzilla". A partir des années 2000, Emmerich continue dans la superproduction avec "The Patriot" et les films catastrophes démentiels avec "Le Jour d'après" en 2004 et l'excellent "2012", jusqu’à "Moonfall" cette année. Roland Emmerich, débute donc avec des histoires de "fantômes" et après avoir montrer qu'il sait manier la caméra reçoit les moyens nécessaires pour s'exprimer pleinement dans le genre qu'on lui connait.
Une mise en scène soignée et efficace, un scénario qui dévit rapidement d'un sous ET pour devenir une évocation horrifique du soft power et une critique de l'amérique de l'époque. effets spéciaux réussis, un film plein de surprises (du moins dans son montage allemand d'époque d'1h41)
"Joey" s'apparente à une sorte de mix entre "E.T." et Chucky mais dans une version film d'horreur pour gamins. Passons sur cette ridicule sans queue ni tête écrit par des scénariste sous acide, ses effets spéciaux vieillots, ses acteurs à deux sous et cette brume nanar qui plâne tout au long. Bref, Emmerich s'est amusé à donner un prénom à sa propre me**e mais dommage qu'il ai oublié de tirer la chasse d'eau.
Depuis la mort de son père, Joey, 9ans, vit seul avec sa mère et ne parvient pas à faire son deuil. Jusqu’au jour où il entre en contact avec son défunt père par le biais d’un téléphone-jouet. Sauf que cette conversation téléphonique surnaturelle ne sera pas sans conséquence… avec notamment l’arrivée d’une marionnette de ventriloque maléfique.
Pour son second long-métrage (après le très mauvais et incompréhensible L'Odyssée de l'Arche de Noé - 1984), Roland Emmerich quitte l’univers de la science-fiction pour celui du film familial fantastique. Joey (1985) est un film allemand et tourné en langue anglaise, produit et intégralement réalisé en Allemagne de l'Ouest (avec de rares scènes d'extérieur filmées sur le sol américain censées nous faire croire que l'intrigue se déroule aux États-Unis).
Si l’histoire n’aura pas grand mal à séduire les 8 / 10ans, les plus vieux auront plus de difficultés à adhérer à cette histoire tirée par les cheveux et qui s’avère en un rien de temps particulièrement ɔhiante (avouons-le, on s'emmǝrde prodigieusement), ça part dans tous les sens et ça vire au grand n’importe quoi assez rapidement. Fortement inspiré par E.T. l'Extra-Terrestre (1982) de Steven Spielberg ou encore Poltergeist (1982) de Tobe Hooper, le réalisateur allemand se contente d’appliquer (de copier) ce que d’autres réalisateurs (plus talentueux) ont fait avant lui, sauf qu’à aucun moment il n’y parvient.
Roland Emmerich pourrait être comparé à notre Luc Besson national, il plagie sans vergogne et le pire, c’est qu’il le fait mal.
Bon soyons sincère, ce n'est pas un film que je conseillerais. Que ce soit un adulte ou un enfant, je pense sincèrement que si on ne l'a pas découvert à l'époque des VHS c'est compliqué.
Je ne suis pas du genre à faire l'analyste de scénario, mais là vraiment... c'est vrai que... ahaha On s'éloigne jamais vraiment du sujet mais entre deux scènes il y'a des incohérences assez flagrantes et je comprends pourquoi petit je n'y comprenais pas forcément grand chose.
Cela dit, visuellement parlant ! Wow ! Des effets lumières et couleurs ! Perso j'adore ! Faut il encore être sensible à cela, mais en tant que vidéaste j'adore ! Et puis ça respire la Pop Culture... Pacman... Star wars... la déco des maisons/chambre dans les années 80...
Je m'endors souvent devant comme ce dimanche 30 octobre 2022, mais je prends toujours autant de plaisir à le relancer une fois de temps en temps.