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Flotibo
57 abonnés
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5,0
Publiée le 28 août 2008
Le deuxième volet de l’une des plus grandes trilogies de l’histoire du 7ème art. Et celui-ci ne déçoit pas, toujours aussi soigné en terme de réalisation, les acteurs sont une nouvelle fois formidable. On découvre avec intérêt comment les deux taupes en sont arrivées là, et l’on cerne également les relations que chacun entretient avec les autres. Rien à redire !
Conspirations , infiltrations , corruptions et revelations sont au programme ce second opus de la trilogie entamée par Alan Mak et Andrew Lau , qui est en fait une prequelle au premier opus. le tout baigne dans une mise en scene plus nerveuse , une ambiance qui n'as rien a envier au film Le Parrain , un scenario encore plus infernale , et touts ces points n'auraient pas lieues d'étre sans les acteurs , Talentueux et Charismatiques en meme temps. a Noter aussi de belles sequences d'actions.
Peut-être le plus dispensable des trois, beaucoup d'éléments avaient déjà été évoqués (ce second opus correspondant au préquel du premier), mais il ne manque pas d'intérêt car il permet de voir beaucoup plus en détails le fonctionnement des triades ainsi que le temps et le travail nécessaire pour mettre en place des infiltrés. On assiste ici à tous les évènements qui mèneront à la situation du premier film. Il apporte une vision intéressante sur la manière d'appréhender la lutte contre le crime organisé (ce que Scorcese avait directement fait dans "Les Infiltrés").
Deuxième volet de la trilogie Infernal Affairs, ce film reprend le principe du premier opus. En parallèle évoluent deux univers, les gangsters et les policiers. Mais contrairement à son aîné, Infernal Affairs II ne se résume pas à un thriller policier mais bien à une peinture de la société mafieuse hongkongaise. On ne peut d'ailleurs s'empêcher de penser au Parrain de Coppola, avec ses lots de trahisons et prises de pouvoir, mêlant des personnages faibles et forts, dans un jeu où le respect est la clé de la survie. Mais, en plus de son homologue américain, Infernal Affairs II garde l'intrigue de la double taupe et se sert de ce prétexte pour nous plonger encore plus au cœur des manipulations mortelles des protagonistes. Véritable chef d'œuvre aux facettes multiples, il est honteux que ce film soit sorti uniquement en DVD en France.
Une fausse suite bercée par une musique mélancolique. Ce 2ème volet est une formidable source de renseignements sur les personnages principaux. La musique est toujours aussi belle, les acteurs toujours aussi bons, le scénario toujours aussi intelligent et complexe pour un film toujours aussi captivant.
deception , cette suite me rapelle les suites de rambo ou rocky . le premier était vraiment bien , celui la est plus qu'ennuyeux . évitez à tout prix le troisiéme. une étoile , en souvenir du premier.
Un polar Hong-Kongais digne du 1er opus. Tony Leung et Andy Lau laissent leurs places de personnages principaux à Erci Tsang et Anthony Wong vraiment parfaits dans ce film. Les deux jeunes héros Shawn Yu et Edison Chen sont eux aussi excellents. Ce prequel répond vraiment à toutes les questions que l'on pouvait se poser après avoir vu le 1er épisode. Il alterne parfaitement action et émotion jusqu'à cette fin ou tout ce démèle pour nous conduire à la situation du début de Infernal Affairs 1. La musique est splendide (celle du générique de début en particulier). Le cinéma Asiatique est vraiment impressionnant!
Attendez, attendez, j'hésite... est ce que je peux dire ça? Oui, je crois.... Je pense que c'est le meilleur vlet de la trilogie même si l'une ne va pas sans l'autre! Je dis ça parce que le travail qu'ont fourni Andrew Lau et Alan Mak est juste incroyable. Le premier film était déjà sorti et là avec ce deuxième volet ils décident de raconter ce qui s'est passé avant le volet un! Un défi où tout le monde aurait pu se casser la gueule mais là, le travail est re-mar-qua-ble!
Tout tient la route, on sait très bien quels sont les personnages qui survivent ou pas mais on est tenus en haleine, surpris parfois bléssés par ce qui arrive dans ce deuxième volet qui est vraiment excellent
Edison Chen et Shawn Yue qui sont un peu le relève du cinéma hong kongais (encore que pour Edison, j'ai des doutes vu les scandales de l'an passé! Le pauvre!!!) ont su porté le film sur leurs épaules tels des petits Andy Lau ou Tony Leung.
Pour ce deuxième volet riche en émotions et en révélations, je mets 4 etoiles.
Le meilleur volet de la trilogie ! On ne retrouve pas la virtuosité du scénario du premier opus, mais Infernal Affairs II propose néanmoins une musique encore meilleure, un montage rythmé et des personnages plus fouillés, auxquels on s'attache, et plus d'émotion. En plus des taupes Lau Kin Ming et Yan, l'histoire propose une galerie de "seconds" rôles brillants. Les relations entre chacun sont complexes. Pas de personnage manichéen ici. Enfin, mention spéciale à Francis Ng, dont l'interprétation de Ngai Wing Hau, fils d'un parrain de Hong Kong, est saisissante.
On assiste à un style mélancolique de la mafia, et c'est très agréable de ce point de vue. Il y a un contraste entre le style esthétique, qui est lent, calme, sobre, et le côté conflit entre les différents chefs de gang. Bref, c'est ce côté sentimental qui m'a vraiment plu. Et que dire de plus sur le scénario, la tension monte progressivement et c'est sublime. Bref, une réalisation irréprochable, une BO extra et une histoire captivante. Toutefois, ce deuxième volet est un tout petit peu en dessous du premier.
Ce préquelle du premier est une bonne idée car il nous attachent plus aux personnages avec un scénario tout aussi étonnant, la mise en scène reste la même mais il y a ce quelque chose qui fait que l'on apprécie plus que le premier.
Encore mieux que le premier, Infernal Affairs II est une bombe! Tout semble un petit ton au-dessus du premier volet. L'ambiance est plus noire et dense, la mise en scène semble encore plus personnelle, les musiques mieux distillées, il y a un peu moins d'effets tapageurs, et surtout le scénario est plus fouillé. Remontant donc aux origines de la saga, il se dote d'une galerie de personnages charismatiques et complexes et d'enjeux dont l'intensité ne faiblira pas jusqu'au générique final.