" constant gardener" . Tiré d'un livre de John le Carré " constant gardener" séduit dans sa première partie. Malheureusement, la seconde partie est nettement moins réussie en raison de la mise en scène. F Meirelles, réalisateur Brésilien, se trouve vraiment à court d'idées dans les trois derniers quarts d'heure. En résumé, il s agit d un diplomate britannique réservé et honnête qui fait la rencontre d une journaliste interprétée par Rachel Weiz ( future Madame Daniel Craig à la ville). Ils entament une relation et ils décident de partir ensemble lors de son affectation au Kenya. Sur place, son épouse découvre qu un laboratoire anglais utilise la population locale, comme cobaye pour tester un médicament contre la tuberculose. Le laboratoire essaye de cacher qu une soixantaine d utilisateurs du médicament sont décédés des suites du traitement. L ex journaliste est assassinée pour la faire taire. Le diplomate commence son enquête à son tour et finit par savoir ce que son épouse avait découvert.. j avais vu le film lors de sa sortie en salle et de le revoir quelques années plus tard, de nombreux défauts apparaissent. Le film se laisse voir, mais on sent vraiment que le film pâtit de sa mise en scène. Ralph Fienes tient le film sur ses épaules. Rachel Weiz assure tres correctement le service. Mais c est une actrice vraiment trop neutre et ici du moins, sans beaucoup de charisme.
Un film puissant et une très belle claque émotionnelle, merveilleusement jouée, mise en scène et montée... Un film intense, pertinent, brillant, bouleversant, d'autant plus pour l'amoureux de l'Afrique que je suis.
Du cinoch' intelligent, un traitement de l'image choc, des interprêtes excellents, un histoire terrifiante, bien que probablement bien en dessous de la réalité ... Vraiment ce film est une des meilleurs surprises du début d'année. L'histoire est réellement poignante et ne vous laissera pas indifférente.
The Constant Gardener est un excellent film mais un peu déroutant tout de même. Il était temps qu'un film parle un peu de ce qui se passe en Afrique et du rôle qu'y jouent certianes entreprises car je ne doute pas que les faits relatés soient réels. Se rajoute à cela une histoire d'amour que rien ne saurait altérer pas même la mort. Et malgré un thème aussi dur, Fernando Meirelles signe une réalisation digne et épurée qui ne tient pas à faire dans le sensationnel. C'est de côté que le film étonne, car on peut imaginer que le même projet entre les mains d'un réalisateur Américian aurait été tout autre au final, mais ce n'est absolument pas une critique.
Vu les notes des spectateurs, je m'attendais à beaucoup mieux. Je me suis ennuyé devant ce film qui manque vraiment de dynamisme. Même l'acteur principal, Ralph Fiennes, est mou. Il véhicule bien le stress, l'incompréhension, le flegme britannique mais à aucun moment on ne sent la révolte et la fureur qui devraient l'habiter suite à ce qui est arrivé à sa femme et surtout après avoir appris les raisons qui ont conduit à son assassinât. Certes, le sujet est touchant, on ne peut cautionner que les multinationales pharmaceutiques expérimentent à moindre coût leurs médicaments sur les populations africaines démunies. Mais tout est trop lent, trop mou, trop distant. Je ne me suis jamais senti en phase avec Justin Quayle. Le dénouement est très bien, mais là encore c'est mou et distant. Ce film est d'une platitude exaspérante.
des images à couper le souffle un bon thriller quoique un peu long mais largement excusé par le sujet complexe qu'il aborde , trés bon film dans son ensemble , mereilles est un réal sur le quelle on peut compter déjà auteur du très bon " cité de dieu "
Après La Cité de Dieu, Fernando Meirelles réalise un film étonnant et choquant ! La conspiration organisée par les grands groupes pharmaceutiques en Afrique est impensable et pourtant ce film reflète la triste vérité !
Un thriller qui est bien basé et bien imaginé entre deux grands thèmes : l'amour de deux êtres humaines et la misère en Afrique. Le scénario est pas mal mais au niveau de l’enchaînement des scènes, je me suis peu perdu dans l'histoire, c'est le montage qui est un peu foiré. Ralph Fiennes est pas mal dans son rôle du mari apeuré mais je souligne surtout l'interprétation de Rachel Weisz. Quand on regarde des scènes de l'Afrique, le film se montre intéressant mais ailleurs, c'est un peu monotone pendant les scène dialogues. Petit à petit, le film monte en intensité jusqu'à une fin inattendue. Des décors renversants de l'Afrique et des costumes simples. Un thriller qui aurait pu être bien mais pas assez percutant.
je vais pas faire un procès à Rachel Weisz comme mes collègues d'étoiles (j'en vois pas l'intêret). Je dirai juste que le film met beaucoup de temps à se lancer narrativement, que les abus de mouvements de caméra donnent mal au crâne.Que la manière de filmer(style reportage) aurait pu être moins brutale. Et l'histoire d'amour est presque convaincante si on garde en tête le fait que Fiennes joue un romantique jardinier,mais on y arrive pas.On a sinon un joli panorama d'un coin quelconque de l'Afrique.(J'ai pas suivi où ça se déroulait) Arf puis la théorie du complot mondial....non quoi.. non!
Ce qui est sûr, c'est qu'on n'en sort pas indifférent. ce film touche dans son injustice, boulverse par ses images et révolte par sa cause. Les acteurs sont beaux et accrocheurs, mais le scénario en soi reste un scénario d'enquête comme tout autre fiml. Et c'est là où j'ai été déçue. De plus, y a trop d'éléments, qui perturbent un peu dans la compréhension de l'enquête faite. Ce qui fait qu'on se laisse aller sans vraiment capter le "point".
Un film humaniste et réaliste qui scande des valeurs tellement paradoxales que les humains eux-mêmes ne comprennent pas. Des illusions, ou... désillusion. Signé par le réalisateur de "La cité de dieu", Fernando Meirelles, et basé sur un roman de John Le Carré ("L'espion qui venait du froid" et "La maison russie", c'est lui), un film qui vaut son pesant d'or par un duo aussi charismatque que serré (Fiennes "l'Anglais" - Weisz "renaîssant à la vie"), des flashbacks incessants, une musique apaisante, mais aussi le rythme que donne Fernando. Un film puissant superbement interprété...
Film engagé denonçant l'enrichissement des firmes pharmaceutiques et plus largement des pays développés, sur le dos du continent africain en proie à de nombreuses maladies et guerres civiles. Les acteurs sont touchant de simplicité, notamment Ralph Fiennes en homme réveur obligé de rattraper la réalité. Je regrette cependant, le scénario un peu trop linéaire, pauvre en rebondissement mais aussi et surtout, de nombreuses longueurs.
Merveilleux film qui place l'Afrique au cur d'un sombre scandale industrielle et d'une superbe histoire d'amour. Les images vraies du Kenya hors clichés de safaris sont d'une extrême beauté et les habitants sont d'une dignité qui les remettent à leur vraies places dans la familles des êtres humains que nous sommes tous. Rachel Weisz est merveilleusement belle, avec ses yeux qui sourient en même temps que son sourire. Ralph Fiennes est d'une douloureuse vérité. Leur amour est magnifiquement réel. Un grand film sur lamour entre deux êtres et sur un superbe continent.
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5,0
Publiée le 26 septembre 2021
The Constant Gardener cherche à jongler avec trois styles cinématographiques la romance, le thriller et un réalisme social provocateur. Et il y parvient car sur ces trois styles diffèrent le film réussit et surtout dans le dernier. Une grande partie du mérite revient au réalisateur Fernando Meirelles qui a synthétisé ce manuel virtuel de différentes techniques cinématographiques. L'utilisation des décors l'utilisation des tournages en extérieur du montage du film et des gros plans sont tout simplement éblouissants. Si les scènes panoramiques du paysage africain sont à couper le souffle les gros plans des scènes en ville sont d'un contraste saisissant. La partie romantique du film a été ancrée par les deux personnages joués par Ralph Fiennes (Justin) et Rachel Weisz (Tessa). Leur première rencontre est présentée de manière dynamique Tessa étant une activiste sociale qui chahute Justin alors qu'il fait un discours politique. Cependant lorsque la salle est libérée et vide c'est Justin qui réconforte Tessa après son emportement. En même temps le principal coupable qui apparaît dans l'histoire est la main lourde de la cupidité des compagnies pharmaceutiques exploitant des victimes sans défense de la tuberculose dans le but de tester et de commercialiser un médicament expérimental. À un moment du film Justin apprend que l'industrie pharmaceutique n'est pas différente des marchands d'armes ce qui dans ce cas est un peu vrai. The Constant Gardener est un film important car il dénonce les pratiques peu recommandables des compagnies pharmaceutiques dans le monde entier...