Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Positif
par Matthieu Darras
De façon bien plus tragique et intelligente que celui de Gaspard Noé, le film de Jacob Aaron Estes donne à ressentir ce que peut être un acte irréversible. Ce n'est pas la seule de ses qualités. A sa vision, on se dit au final qu'on connaît peu et mal la jeunesse américaine. (...) un premier film américain parmi les plus brillants de ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
par La rédaction
L'ombre lointaine de Stand by Me et même de Délivrance plane sur ce premier long métrage. Mais, plus que la conduite d'un récit initiatique (...), c'est le regard du cinéaste, très proche de ses personnages, qui rend le film sensible. On y sent passer les espoirs et les déceptions de ces enfants largués dans une Amérique infantile qui, sacrifiés par les adultes, doivent choisir entre le ressentiment et le pardon.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Jacob Aaron Estes tient à remplir ses personnages, à les affecter, là où les dispositifs d'autres (Larry Clark, Gus Van Sant) s'emploient à creuser, à interroger le vide intérieur qui les anime. C'est peut-être moins passionnant, ou novateur, mais c'est tout à fait louable, et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
Jacob Estes se garde (...) de donner une vision univoque de l'adolescence. C'est en scrutant au plus près les bouillonnements et les troubles qui " agissent " ses personnages qu'il restitue les vérités universelles de cet âge en vrais termes de tragédie.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
par Olivier Nicklaus
Une intrigue à la Bully filmée en assumant une certaine joliesse bucolique. (...) On commence par faire la grimace, puis on finit par se laisser séduire par un style qu'on doit bien admettre comme celui de Jacob Aaron Estes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno BAYON
Exempt de la pédérastie constitutive du cinéma de Clark, ce Bully croisé de Club des Cinq sur la rivière de Délivrance est un campus film modèle ; sobre, tendu et malsain avec mesure, réaliste, doté de qualités cinématographiques.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
C'est à une fascinante ballade au fil de l'eau que nous convie Jacob Estes pour son premier long métrage, Mean Creek. En quelques plans, il réussit à façonner un climat sobre et touchant qui charme immédiatement le spectateur.
Première
par Gérard Delorme
S'appuyant sur un script assez réaliste, le metteur en scène tourne en DV pour rester proche de ses personnages, énergiquement incarnés par de jeunes acteurs inconnus. Ce premier film leur servira de carte de visite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Face aux dérapages juvéniles, l'auteur-réalisateur louvoie entre la fascination contemplative et le psychologisme, entre l'empathie et le sens de la morale. (...) la bande de jeunes acteurs, intelligemment hétéroclite, mérite vraiment le détour (...) à l'arrivée, le film fait de sa timidité une différence, en sachant finir mezzo voce dans la grisaille du fait divers et de la vie à continuer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
Plusieurs rouages de rotation contraire se combinent dans Mean Creek, provoquant chez le spectateur de doux écartelements émotionnels, jusqu'à ce qu'un dernier quart d'heure banalement moral et policier vienne hélas gripper l'horlogerie.
Le Monde
par Florence Colombani
Jacob Estes, dont c'est le premier film, tenait là un sujet en or : (...) la première demi-heure laisse espérer une bonne dose de perversité juvénile sur fond de nature idyllique. Mais Estes se décourage en cours de route devant l'amertume de son sujet. Lorsque la plaisanterie tourne mal, toute l'ambiguïté des personnages a déjà été épuisée, et il ne reste plus au film qu'à suivre le cours attendu du crime et du châtiment.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La rédaction
Cette production indépendante a les défauts de ses qualités : elle se démarque des habituels " films d'ados " par sa sobriété et sa profondeur psychologique, tout en souffrant du minimalisme de son scénario. Bref, il ne s'y passe pas grand-chose... Reste un convaincant portrait de groupe, servi par de jeunes acteurs remarquables.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Le crescendo dramatique est négocié avec beaucoup d'intensité, les jeunes acteurs sont tous étonnants mais, malgré son intelligence, le regard que porte le réalisateur sur ses personnages demeure trop distant pour aboutir au grand film qu'on sent poindre plus d'une fois.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
Entre réalisme et poésie, sentiments bruts et philosophie, Mean creek se cherche, balance, hésite et ne trouve jamais son rythme.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
De façon bien plus tragique et intelligente que celui de Gaspard Noé, le film de Jacob Aaron Estes donne à ressentir ce que peut être un acte irréversible. Ce n'est pas la seule de ses qualités. A sa vision, on se dit au final qu'on connaît peu et mal la jeunesse américaine. (...) un premier film américain parmi les plus brillants de ces dernières années.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
L'ombre lointaine de Stand by Me et même de Délivrance plane sur ce premier long métrage. Mais, plus que la conduite d'un récit initiatique (...), c'est le regard du cinéaste, très proche de ses personnages, qui rend le film sensible. On y sent passer les espoirs et les déceptions de ces enfants largués dans une Amérique infantile qui, sacrifiés par les adultes, doivent choisir entre le ressentiment et le pardon.
Chronic'art.com
Jacob Aaron Estes tient à remplir ses personnages, à les affecter, là où les dispositifs d'autres (Larry Clark, Gus Van Sant) s'emploient à creuser, à interroger le vide intérieur qui les anime. C'est peut-être moins passionnant, ou novateur, mais c'est tout à fait louable, et touchant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Jacob Estes se garde (...) de donner une vision univoque de l'adolescence. C'est en scrutant au plus près les bouillonnements et les troubles qui " agissent " ses personnages qu'il restitue les vérités universelles de cet âge en vrais termes de tragédie.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Une intrigue à la Bully filmée en assumant une certaine joliesse bucolique. (...) On commence par faire la grimace, puis on finit par se laisser séduire par un style qu'on doit bien admettre comme celui de Jacob Aaron Estes.
Libération
Exempt de la pédérastie constitutive du cinéma de Clark, ce Bully croisé de Club des Cinq sur la rivière de Délivrance est un campus film modèle ; sobre, tendu et malsain avec mesure, réaliste, doté de qualités cinématographiques.
MCinéma.com
C'est à une fascinante ballade au fil de l'eau que nous convie Jacob Estes pour son premier long métrage, Mean Creek. En quelques plans, il réussit à façonner un climat sobre et touchant qui charme immédiatement le spectateur.
Première
S'appuyant sur un script assez réaliste, le metteur en scène tourne en DV pour rester proche de ses personnages, énergiquement incarnés par de jeunes acteurs inconnus. Ce premier film leur servira de carte de visite.
Télérama
Face aux dérapages juvéniles, l'auteur-réalisateur louvoie entre la fascination contemplative et le psychologisme, entre l'empathie et le sens de la morale. (...) la bande de jeunes acteurs, intelligemment hétéroclite, mérite vraiment le détour (...) à l'arrivée, le film fait de sa timidité une différence, en sachant finir mezzo voce dans la grisaille du fait divers et de la vie à continuer.
Cahiers du Cinéma
Plusieurs rouages de rotation contraire se combinent dans Mean Creek, provoquant chez le spectateur de doux écartelements émotionnels, jusqu'à ce qu'un dernier quart d'heure banalement moral et policier vienne hélas gripper l'horlogerie.
Le Monde
Jacob Estes, dont c'est le premier film, tenait là un sujet en or : (...) la première demi-heure laisse espérer une bonne dose de perversité juvénile sur fond de nature idyllique. Mais Estes se décourage en cours de route devant l'amertume de son sujet. Lorsque la plaisanterie tourne mal, toute l'ambiguïté des personnages a déjà été épuisée, et il ne reste plus au film qu'à suivre le cours attendu du crime et du châtiment.
Le Parisien
Cette production indépendante a les défauts de ses qualités : elle se démarque des habituels " films d'ados " par sa sobriété et sa profondeur psychologique, tout en souffrant du minimalisme de son scénario. Bref, il ne s'y passe pas grand-chose... Reste un convaincant portrait de groupe, servi par de jeunes acteurs remarquables.
TéléCinéObs
Le crescendo dramatique est négocié avec beaucoup d'intensité, les jeunes acteurs sont tous étonnants mais, malgré son intelligence, le regard que porte le réalisateur sur ses personnages demeure trop distant pour aboutir au grand film qu'on sent poindre plus d'une fois.
aVoir-aLire.com
Entre réalisme et poésie, sentiments bruts et philosophie, Mean creek se cherche, balance, hésite et ne trouve jamais son rythme.