Mon compte
    Mean Creek
    Note moyenne
    3,8
    18 titres de presse
    • Ciné Live
    • Positif
    • Studio Magazine
    • Aden
    • Chronic'art.com
    • L'Express
    • L'Humanité
    • Le Figaro
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • MCinéma.com
    • Première
    • Télérama
    • Cahiers du Cinéma
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • TéléCinéObs
    • aVoir-aLire.com

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    18 critiques presse

    Ciné Live

    par Philippe Paumier

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    Positif

    par Matthieu Darras

    De façon bien plus tragique et intelligente que celui de Gaspard Noé, le film de Jacob Aaron Estes donne à ressentir ce que peut être un acte irréversible. Ce n'est pas la seule de ses qualités. A sa vision, on se dit au final qu'on connaît peu et mal la jeunesse américaine. (...) un premier film américain parmi les plus brillants de ces dernières années.

    La critique complète est disponible sur le site Positif

    Studio Magazine

    par Thierry Cheze

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine

    Aden

    par La rédaction

    L'ombre lointaine de Stand by Me et même de Délivrance plane sur ce premier long métrage. Mais, plus que la conduite d'un récit initiatique (...), c'est le regard du cinéaste, très proche de ses personnages, qui rend le film sensible. On y sent passer les espoirs et les déceptions de ces enfants largués dans une Amérique infantile qui, sacrifiés par les adultes, doivent choisir entre le ressentiment et le pardon.

    La critique complète est disponible sur le site Aden

    Chronic'art.com

    par Jean-Philippe Tessé

    Jacob Aaron Estes tient à remplir ses personnages, à les affecter, là où les dispositifs d'autres (Larry Clark, Gus Van Sant) s'emploient à creuser, à interroger le vide intérieur qui les anime. C'est peut-être moins passionnant, ou novateur, mais c'est tout à fait louable, et touchant.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    L'Express

    par Christophe Carrière

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    L'Humanité

    par Dominique Widemann

    Jacob Estes se garde (...) de donner une vision univoque de l'adolescence. C'est en scrutant au plus près les bouillonnements et les troubles qui " agissent " ses personnages qu'il restitue les vérités universelles de cet âge en vrais termes de tragédie.

    Le Figaro

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    Les Inrockuptibles

    par Olivier Nicklaus

    Une intrigue à la Bully filmée en assumant une certaine joliesse bucolique. (...) On commence par faire la grimace, puis on finit par se laisser séduire par un style qu'on doit bien admettre comme celui de Jacob Aaron Estes.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Bruno BAYON

    Exempt de la pédérastie constitutive du cinéma de Clark, ce Bully croisé de Club des Cinq sur la rivière de Délivrance est un campus film modèle ; sobre, tendu et malsain avec mesure, réaliste, doté de qualités cinématographiques.

    MCinéma.com

    par Hugo de Saint Phalle

    C'est à une fascinante ballade au fil de l'eau que nous convie Jacob Estes pour son premier long métrage, Mean Creek. En quelques plans, il réussit à façonner un climat sobre et touchant qui charme immédiatement le spectateur.

    Première

    par Gérard Delorme

    S'appuyant sur un script assez réaliste, le metteur en scène tourne en DV pour rester proche de ses personnages, énergiquement incarnés par de jeunes acteurs inconnus. Ce premier film leur servira de carte de visite.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Télérama

    par Louis Guichard

    Face aux dérapages juvéniles, l'auteur-réalisateur louvoie entre la fascination contemplative et le psychologisme, entre l'empathie et le sens de la morale. (...) la bande de jeunes acteurs, intelligemment hétéroclite, mérite vraiment le détour (...) à l'arrivée, le film fait de sa timidité une différence, en sachant finir mezzo voce dans la grisaille du fait divers et de la vie à continuer.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Cahiers du Cinéma

    par Sylvain Coumoul

    Plusieurs rouages de rotation contraire se combinent dans Mean Creek, provoquant chez le spectateur de doux écartelements émotionnels, jusqu'à ce qu'un dernier quart d'heure banalement moral et policier vienne hélas gripper l'horlogerie.

    Le Monde

    par Florence Colombani

    Jacob Estes, dont c'est le premier film, tenait là un sujet en or : (...) la première demi-heure laisse espérer une bonne dose de perversité juvénile sur fond de nature idyllique. Mais Estes se décourage en cours de route devant l'amertume de son sujet. Lorsque la plaisanterie tourne mal, toute l'ambiguïté des personnages a déjà été épuisée, et il ne reste plus au film qu'à suivre le cours attendu du crime et du châtiment.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Parisien

    par La rédaction

    Cette production indépendante a les défauts de ses qualités : elle se démarque des habituels " films d'ados " par sa sobriété et sa profondeur psychologique, tout en souffrant du minimalisme de son scénario. Bref, il ne s'y passe pas grand-chose... Reste un convaincant portrait de groupe, servi par de jeunes acteurs remarquables.

    TéléCinéObs

    par Bernard Achour

    Le crescendo dramatique est négocié avec beaucoup d'intensité, les jeunes acteurs sont tous étonnants mais, malgré son intelligence, le regard que porte le réalisateur sur ses personnages demeure trop distant pour aboutir au grand film qu'on sent poindre plus d'une fois.

    La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs

    aVoir-aLire.com

    par Pierre Langlais

    Entre réalisme et poésie, sentiments bruts et philosophie, Mean creek se cherche, balance, hésite et ne trouve jamais son rythme.

    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top