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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
hi-hi-hi, je n'ai été voir le film car vu la bande annonce au cinema,et ... on avais été prevenu. Je me marre quand je vois les critiques. Les gens sont decu evidament, j'appelle pas ca du cinema. En fait les realisateurs, producteurs ont tester un nouveau procedé HD pour filmer et pour le rentabiliser, ils filment Zidane et le font payer aux spectateurs imprudents qui y vont car ils aiment Zidane. Et bien sur il le diffuse en pleine periode de coupe du monde pour avoir un max de gens. Pas cons les mecs. Bien sur cela ne va pas durer tres longtemps car l'info va vite passer que le film n'a aucun interet, autre que technique. Meme moi qui suis technicien dans la video ,je ne vais pas au cinema pour la technique. J'ai lu une critique interessante, je pense que ce film serait bien en ecran de veille de mon ordinatreur, donc j'attend. HI HI HI La prochaine fois soyez prudent,
Et pourtant, on l'aime notre Zizou, on l'aime notre Darius Kondji (à la photo). Mais là l'expérience va trop loin. L'absurdité graphique et la contemplation, vides de sens nous plongent dans un ennui total. Ce n'est pas un documentaire, ce n'est pas du cinéma, ce n'est pas du sport, ce n'est pas de l'art. Et ce n'est même pas grave.
Techniquement, le travail de Philippe Parreno & Douglas Gordon est stupéfiant. Mais à y regarder de plus près, quand dix-sept caméras filment seulement Zinedine Zidane, ça fatigue à la longue ! Lintrigue, si on peut appeler ça comme ça, se déroule en avril 2005, durant un match avec le Real Madrid. Le principe ? Nous faire vivre toutes les émotions ressenties par le plus célèbre des footballeurs Français. Nous montrer, nous faire entendre tout ce que lon ne perçoit pas depuis un stade ou depuis sa télévision. Et le résultat est là, on y voit la beauté du geste, les milliers de supporters en délire hurler dans le stade, tout est passer au crible. Un véritable travail artistique et original, qui aurait sans doute mérité plus, que de simplement se focaliser sur Zidane, ses pieds, son visage, son jeu de jambes, etc.
Pauvre zimdime, il donne un bien piêtre image de lui. Si ça se trouve il savait même pas qu'il était filmé le pauvre homme. Carton rouge pour le film documentaire le plus nul de l'année !