Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Brazil
par Alex Masson
Justianno n'a en effectivement pas peur d'embrayer pour aller vers un film incroyablement romanesque dans sa première partie, faisant de Kathy une héroïne malgré elle [...]dopant le le minimaliste rigoureux de la mise en scène par un soudain rythme feuilletonnesque à l'ancienne.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Pour ne pas tomber dans le pathos, il se cramponne à la sobriété et filme au plus près, sans lyrisme, avec une précision documentaire, mais non sans poésie (...) Ce que l'on retient, c'est la fierté, le courage et la rigueur du personnage, admirablement interprété par la jeune Manuela Martelli (...) Un film qui confirme le renouveau du cinéma sud-américain.
Libération
par Gilles Renault
(...) le film de Gonzalo Justiniano bénéficie de la présence peu ordinaire de la jeune Manuela Martelli (...) Traversée par une énergie canalisée, elle sert au plus juste une évocation qui, soutenue par un montage vif en courtes séquences, ne se repaît pas du marasme ambiant, mais n'en dresse pas moins un état des lieux sans concession.
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Le réalisateur Gonzalo Justiniano (...) a su éviter le double écueil d'un film trop mélo ou trop noir. Il a trouvé le ton juste et il est parvenu à émouvoir sans pour autant sombrer dans le pathos. Deux facteurs ont contribué à cette réussite, la direction d'acteur et la qualité de l'interprétation de Manuela Martelli. Malgré son manque d'expérience, puisqu'il s'agit de son tout premier rôle, la jeune comédienne interprète une Katty attachante, à la fois fragile et forte. Elle est étonnante et criante de vérité.
Télérama
par Pierre Murat
(...) un mélo que Gonzalo Justiniano filme sans refuser les lois du genre, mais sans jouer non plus sur un misérabilisme lacrymal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un joli film sur l'abandon et le droit au bonheur, magnifié par le talent de son héroïne du petit quotidien. Le renouveau du cinéma chilien se confirme, à ne pas rater.
Le Monde
par Thomas Sotinel
C'est un peu trop parfois, ce qui arrive à cette jeune fille (interprétée avec une énergie farouche par Manuela Martelli, que l'on a vue récemment dans Machuca) - Gonzalo Justiniano est si convaincu de la justesse de sa cause qu'il charge un peu la barque - mais le film est parcouru d'une vraie colère, d'une empathie sincère et parfois maladroite, esquissant une image terrifiante du Chili, ravagé par la corruption et la violence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Ce mélodrame sans surprise, qui charme par l'authenticité de ses interprètes, est poignant comme de l'Hector Malot. D'ailleurs, il pourrait s'intituler "Les Malheurs de Kathy".
Positif
par Fabien Baumann
(...) B-happy exalte (...) l'irréductible joie de vivre qui doit nous animer même en proie à la pire adversité (...). L'intérêt esthétique s'en trouve certes accru, mais Gonzalo Justiniano devrait se méfier : ce genre d'affectation, peut mener, si l'on n'y prend garde, jusqu'à la religion.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le charme de l'héroïne, incarnée par Manuella Martelli, à la grâce exquise, fait oublier l'inclination un brin misérabiliste de ce film chilien.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout est cousu de fil blanc, ostentatoire et pittoresque. Jouant sur un misérabilisme de convention, le cinéaste se croit tout permis pour démontrer les facultés de survie de Katty. Elle en voit autant en quelques mois - aucun sens de la durée - que des héros de romans tragiques en plusieurs décennies, mais les malheurs glissent sur elle comme l'eau sur les plumes d'un canard. Trop facile.
Ouest France
par La rédaction
Malgré le tempérament et la présence énormes de la jeune Manuela Martelli, une chronique de l'adolescence qui ne parvient pas à se sortir des clichés misérabilistes trop attendus.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Isabelle Danel
Dans ce film péniblement édifiant, seule Manuela Martelli, la découverte de "Mon ami Machuca", est à sauver.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Pete Wakefield
Le récit, pas tendre, est inoportunément plombé par une utilisation sans discernement du fondu au noir. Se traînant sur un rythme brisé, la narration révèle trop tardivement son vrai potentiel, lorsque le voyage initiatique mène l'héroïne hors de son village.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Véronique le Bris
Traiter d'un tel sujet sans tomber dans le voyeurisme ou le misérabilisme est une prouesse que Gonzalo Justiniano accomplit haut la main, brillament aidé par la jeune Manuella Martelli, qui trouve ici son premier rôle au cinéma. Toutefois, ce portrait extrêmement positif aurait mérité plus d'air pour gagner en ampleur, histoire de mieux capter notre attention.
Brazil
Justianno n'a en effectivement pas peur d'embrayer pour aller vers un film incroyablement romanesque dans sa première partie, faisant de Kathy une héroïne malgré elle [...]dopant le le minimaliste rigoureux de la mise en scène par un soudain rythme feuilletonnesque à l'ancienne.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Pour ne pas tomber dans le pathos, il se cramponne à la sobriété et filme au plus près, sans lyrisme, avec une précision documentaire, mais non sans poésie (...) Ce que l'on retient, c'est la fierté, le courage et la rigueur du personnage, admirablement interprété par la jeune Manuela Martelli (...) Un film qui confirme le renouveau du cinéma sud-américain.
Libération
(...) le film de Gonzalo Justiniano bénéficie de la présence peu ordinaire de la jeune Manuela Martelli (...) Traversée par une énergie canalisée, elle sert au plus juste une évocation qui, soutenue par un montage vif en courtes séquences, ne se repaît pas du marasme ambiant, mais n'en dresse pas moins un état des lieux sans concession.
MCinéma.com
Le réalisateur Gonzalo Justiniano (...) a su éviter le double écueil d'un film trop mélo ou trop noir. Il a trouvé le ton juste et il est parvenu à émouvoir sans pour autant sombrer dans le pathos. Deux facteurs ont contribué à cette réussite, la direction d'acteur et la qualité de l'interprétation de Manuela Martelli. Malgré son manque d'expérience, puisqu'il s'agit de son tout premier rôle, la jeune comédienne interprète une Katty attachante, à la fois fragile et forte. Elle est étonnante et criante de vérité.
Télérama
(...) un mélo que Gonzalo Justiniano filme sans refuser les lois du genre, mais sans jouer non plus sur un misérabilisme lacrymal.
aVoir-aLire.com
Un joli film sur l'abandon et le droit au bonheur, magnifié par le talent de son héroïne du petit quotidien. Le renouveau du cinéma chilien se confirme, à ne pas rater.
Le Monde
C'est un peu trop parfois, ce qui arrive à cette jeune fille (interprétée avec une énergie farouche par Manuela Martelli, que l'on a vue récemment dans Machuca) - Gonzalo Justiniano est si convaincu de la justesse de sa cause qu'il charge un peu la barque - mais le film est parcouru d'une vraie colère, d'une empathie sincère et parfois maladroite, esquissant une image terrifiante du Chili, ravagé par la corruption et la violence.
Paris Match
Ce mélodrame sans surprise, qui charme par l'authenticité de ses interprètes, est poignant comme de l'Hector Malot. D'ailleurs, il pourrait s'intituler "Les Malheurs de Kathy".
Positif
(...) B-happy exalte (...) l'irréductible joie de vivre qui doit nous animer même en proie à la pire adversité (...). L'intérêt esthétique s'en trouve certes accru, mais Gonzalo Justiniano devrait se méfier : ce genre d'affectation, peut mener, si l'on n'y prend garde, jusqu'à la religion.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Le charme de l'héroïne, incarnée par Manuella Martelli, à la grâce exquise, fait oublier l'inclination un brin misérabiliste de ce film chilien.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Tout est cousu de fil blanc, ostentatoire et pittoresque. Jouant sur un misérabilisme de convention, le cinéaste se croit tout permis pour démontrer les facultés de survie de Katty. Elle en voit autant en quelques mois - aucun sens de la durée - que des héros de romans tragiques en plusieurs décennies, mais les malheurs glissent sur elle comme l'eau sur les plumes d'un canard. Trop facile.
Ouest France
Malgré le tempérament et la présence énormes de la jeune Manuela Martelli, une chronique de l'adolescence qui ne parvient pas à se sortir des clichés misérabilistes trop attendus.
Première
Dans ce film péniblement édifiant, seule Manuela Martelli, la découverte de "Mon ami Machuca", est à sauver.
Score
Le récit, pas tendre, est inoportunément plombé par une utilisation sans discernement du fondu au noir. Se traînant sur un rythme brisé, la narration révèle trop tardivement son vrai potentiel, lorsque le voyage initiatique mène l'héroïne hors de son village.
Zurban
Traiter d'un tel sujet sans tomber dans le voyeurisme ou le misérabilisme est une prouesse que Gonzalo Justiniano accomplit haut la main, brillament aidé par la jeune Manuella Martelli, qui trouve ici son premier rôle au cinéma. Toutefois, ce portrait extrêmement positif aurait mérité plus d'air pour gagner en ampleur, histoire de mieux capter notre attention.