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Tony Gatlif ne filme qu'avec son coeur indomptable. (...) Ce film, poétique, semé de références aux oeuvres de Godard et de Chris Marker, a le mérite d'aller au-delà de la digression opportuniste ou du simple reportage.
Caméra à l'épaule, Tony Gatlif montre superbement l'exemple dans ce doc dont les plans punchy contrastent avec l'injustice qui enlaidit peu à peu cette bonne vieille Europe.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Une sorte de clip long et répétitif porté par les sonorités de Delphine Mantoulet et Valentin Dahmani. Sans commentaires aucuns, puisque les images parlent d'elles-mêmes. Cela va sans dire...
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Si les acquis à la cause auront sans doute plaisir à se retrouver sous sa bannière, il n'est pas certain que la curiosité et la volonté de réflexion des autres trouvent ici à se nourrir.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
"Indignados" n'a d'autre propos que de maintenir le niveau d'indignation de son auteur et de ses spectateurs et il n'est pas sûr que de ce point de vue, il fasse plus d'effet que n'importe quel journal télévisé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dans ce qui aurait voulu être une vaste fresque des récentes révoltes populaires nées de la crise mondiale, Tony Gatlif s'égare et s'éparpille. Il en vient presque à desservir les intentions pures et sincères qui le guidaient...
Plutôt convaincant lorsqu'il se contente de filmer les révolutions au travail (sa veine buissonnière, la meilleure), Tony Gatlif s'abandonne encore à des séquences lyriques disgracieuses où les symboles censément poétiques clignotent à nos yeux étourdis puis aveugles.
Pour brocarder l'optimalité supposée du marché, la métaphore du renard libre dans un poulailler libre est conceptuellement parfaite. Transposée au cinéma de façon naturaliste, son efficacité s'émousse beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Positif
"Indignados", porté par la rage du réalisateur depuis le discours " anti-Roms " de Sarkozy à Grenoble (juillet 2010) et tourné dans l'urgence, souffre d'un vrai manque de colonne vertébrale.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
En mixant violence et passion grâce à son arme fétiche, la musique, et en gravant sur l'image des slogans (...) comme dans un vieux Godard, Gatlif démontre qu'il n'a rien perdu de sa saine colère. Mais une heure et demie, c'est un peu long.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Tony Gatlif reste un cinéaste. Et, quand il est bon, il est sacrément bon. (...) On pense surtout qu'[il] signe là un de ses meilleurs films.
Le Journal du Dimanche
Tony Gatlif ne filme qu'avec son coeur indomptable. (...) Ce film, poétique, semé de références aux oeuvres de Godard et de Chris Marker, a le mérite d'aller au-delà de la digression opportuniste ou du simple reportage.
Elle
Caméra à l'épaule, Tony Gatlif montre superbement l'exemple dans ce doc dont les plans punchy contrastent avec l'injustice qui enlaidit peu à peu cette bonne vieille Europe.
Ouest France
Une sorte de clip long et répétitif porté par les sonorités de Delphine Mantoulet et Valentin Dahmani. Sans commentaires aucuns, puisque les images parlent d'elles-mêmes. Cela va sans dire...
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Le film inspire une certaine forme de sympathie, ce qui peut être le pire des compliments.
La Croix
Si les acquis à la cause auront sans doute plaisir à se retrouver sous sa bannière, il n'est pas certain que la curiosité et la volonté de réflexion des autres trouvent ici à se nourrir.
Le Monde
"Indignados" n'a d'autre propos que de maintenir le niveau d'indignation de son auteur et de ses spectateurs et il n'est pas sûr que de ce point de vue, il fasse plus d'effet que n'importe quel journal télévisé.
Le Parisien
Ce film à fleur de peau, à fleur d'image et assourdi de musique, pâtit d'être trop brouillon quand il ne s'englue pas dans d'interminables séquences.
Le Point
Voir le site du Point
Les Fiches du Cinéma
Dans ce qui aurait voulu être une vaste fresque des récentes révoltes populaires nées de la crise mondiale, Tony Gatlif s'égare et s'éparpille. Il en vient presque à desservir les intentions pures et sincères qui le guidaient...
Les Inrockuptibles
Plutôt convaincant lorsqu'il se contente de filmer les révolutions au travail (sa veine buissonnière, la meilleure), Tony Gatlif s'abandonne encore à des séquences lyriques disgracieuses où les symboles censément poétiques clignotent à nos yeux étourdis puis aveugles.
Positif
Pour brocarder l'optimalité supposée du marché, la métaphore du renard libre dans un poulailler libre est conceptuellement parfaite. Transposée au cinéma de façon naturaliste, son efficacité s'émousse beaucoup.
Première
Gatlif préfère surfer sur l'esthétique traditionnelle de la révolte altermondialiste plutôt que de creuser son sujet.
TéléCinéObs
"Indignados", porté par la rage du réalisateur depuis le discours " anti-Roms " de Sarkozy à Grenoble (juillet 2010) et tourné dans l'urgence, souffre d'un vrai manque de colonne vertébrale.
Télérama
En mixant violence et passion grâce à son arme fétiche, la musique, et en gravant sur l'image des slogans (...) comme dans un vieux Godard, Gatlif démontre qu'il n'a rien perdu de sa saine colère. Mais une heure et demie, c'est un peu long.