Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Les Enfants terribles (...) dont le mélange de passion et de haine électrise ce film romanesque. (...) la force de ce film : mettre en scène les choses dérangeantes en les intégrant insensiblement à la chronique d'une simple famille d'immigrés portugais.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Zurban
par Olivier Pélisson
Si sa piètre qualité numérique rebute au départ, cette chronique intime séduit petit à petit grâce à un climat prenant et troublant. Anna da Palma installe en effet un ton libre et sans jugement moral sur cet amour fraternel passionnel, teinté d'une émouvante peinture de l'héritage familial. Solistes aux visages enfantins, Aurélien Wiik et Bérénice Béjo donnent chair à ce premier long, subtil ballet de silences, de regards et de frôlements.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Rémy Batteault
SANS ELLE (...) se révèle touchant par ses maladresses, qu'il a malgré tout un peu trop nombreuses. (...) le film aurait gagné à plus de clarté. Pour aboutir à une réflexion, mieux vaut ne pas trop caricaturer, simplifier. Cependant, l'ensemble du casting s'implique totalement, c'est la force du film. L'observation d'un individu perdu entre deux cultures (...)aurait pu être davantage développée.
Première
par Gaël Golhen
Si la première partie du film décrit avec beaucoup de pudeur l'immigration portugaise et un amour impossible, la seconde, qui voit le héros s'accoquiner avec des nazillons, laisse perplexe. La chronique ado filmée dans l'urgence s'abîme alors dans les clichés et la fable sociologique lourdingue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Pete Wakefield
Ca démarre bien avec une sale histoire d'amour entre un frère et sa soeur jumelle. On dit bravo à la prestation d'Aurélien Wiik et de Bérénice Bejo qui parviennent à créer une aura inquiétante, trouble et malsaine autour de leur relation. Mais (...) le film s'épuise, alourdi par trop de digressions (...). C'est dommage quand on sait que le face-à-face gémellaire aurait pu donner lieu à un bien joli film.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Pas toujours convaincant, mais finalement assez touchant. (...) Anna de Palma (...) signe un premier film ardent et troublant. Mais cette dernière, qui a pourtant les mains liées par un budget minuscule qui rend le film techniquement peu convaincant, parvient, à force de sincérité, à susciter l'intérêt des spectateurs. (...) des personnages brillamment interprétés par les trop rares Aurélien Wiik et Bérénice Bejo
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Anna Da Palma cherche à sonder les troubles identitaires d'un immigré et les affres de la gémellité. Rythmée de scènes-clichés, son intrigue évoque d'autant plus le téléfilm qu'elle est filmée en vidéo, caméra à la main, collée aux personnages : un parti pris qui apparaît comme une incapacité à définir un cadre, imaginer une mise en scène, imposer un regard.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Une trouble affaire de famille qui s'étire interminablement dans un propos confus et maladroit. Bérénice Bejo et Aurélien Wiik n'y peuvent rien.
Positif
par Grégory Valens
Il y a dans le rapport intime, échappant encore à l'analyse, entre deux jumeaux une dose de fascination légitime. De là à penser qu'il suffit d'alterner des séquences où un frère et une soeur, jumeaux et séparés pour la première fois pendant les grandes vacances, ressentent ce que fait l'autre, pour obtenir le matériau dramatique d'un long métrage, il y a un pas qu'Anna Da Palma n'aurait jamais dû franchir.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Benoît Deschodt
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Trop de raccourcis et de clichés (la frustration sexuelle comme moteur des dérives du héros) finissent par entamer les ambitions de la cinéaste, qui, pour traiter conjointement ces deux thèmes délicats, manque encore de distance et de rigueur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Tourner en DV est peut-être une nécessité financière pour un jeune cinéaste, mais artistiquement, c'est parfois une catastrophe. (...) on est (vaguement) intéressé par la façon, à la fois imprévue et fatale, dont il tombe sous l'emprise d'un nazillon. D'autant qu'il est interprété par un Jocelyn Quivrin humain et inquiétant. Sans doute sincère, le film, mal écrit, est totalement inabouti.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Les Enfants terribles (...) dont le mélange de passion et de haine électrise ce film romanesque. (...) la force de ce film : mettre en scène les choses dérangeantes en les intégrant insensiblement à la chronique d'une simple famille d'immigrés portugais.
Zurban
Si sa piètre qualité numérique rebute au départ, cette chronique intime séduit petit à petit grâce à un climat prenant et troublant. Anna da Palma installe en effet un ton libre et sans jugement moral sur cet amour fraternel passionnel, teinté d'une émouvante peinture de l'héritage familial. Solistes aux visages enfantins, Aurélien Wiik et Bérénice Béjo donnent chair à ce premier long, subtil ballet de silences, de regards et de frôlements.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
SANS ELLE (...) se révèle touchant par ses maladresses, qu'il a malgré tout un peu trop nombreuses. (...) le film aurait gagné à plus de clarté. Pour aboutir à une réflexion, mieux vaut ne pas trop caricaturer, simplifier. Cependant, l'ensemble du casting s'implique totalement, c'est la force du film. L'observation d'un individu perdu entre deux cultures (...)aurait pu être davantage développée.
Première
Si la première partie du film décrit avec beaucoup de pudeur l'immigration portugaise et un amour impossible, la seconde, qui voit le héros s'accoquiner avec des nazillons, laisse perplexe. La chronique ado filmée dans l'urgence s'abîme alors dans les clichés et la fable sociologique lourdingue.
Score
Ca démarre bien avec une sale histoire d'amour entre un frère et sa soeur jumelle. On dit bravo à la prestation d'Aurélien Wiik et de Bérénice Bejo qui parviennent à créer une aura inquiétante, trouble et malsaine autour de leur relation. Mais (...) le film s'épuise, alourdi par trop de digressions (...). C'est dommage quand on sait que le face-à-face gémellaire aurait pu donner lieu à un bien joli film.
aVoir-aLire.com
Pas toujours convaincant, mais finalement assez touchant. (...) Anna de Palma (...) signe un premier film ardent et troublant. Mais cette dernière, qui a pourtant les mains liées par un budget minuscule qui rend le film techniquement peu convaincant, parvient, à force de sincérité, à susciter l'intérêt des spectateurs. (...) des personnages brillamment interprétés par les trop rares Aurélien Wiik et Bérénice Bejo
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Anna Da Palma cherche à sonder les troubles identitaires d'un immigré et les affres de la gémellité. Rythmée de scènes-clichés, son intrigue évoque d'autant plus le téléfilm qu'elle est filmée en vidéo, caméra à la main, collée aux personnages : un parti pris qui apparaît comme une incapacité à définir un cadre, imaginer une mise en scène, imposer un regard.
Ouest France
Une trouble affaire de famille qui s'étire interminablement dans un propos confus et maladroit. Bérénice Bejo et Aurélien Wiik n'y peuvent rien.
Positif
Il y a dans le rapport intime, échappant encore à l'analyse, entre deux jumeaux une dose de fascination légitime. De là à penser qu'il suffit d'alterner des séquences où un frère et une soeur, jumeaux et séparés pour la première fois pendant les grandes vacances, ressentent ce que fait l'autre, pour obtenir le matériau dramatique d'un long métrage, il y a un pas qu'Anna Da Palma n'aurait jamais dû franchir.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Trop de raccourcis et de clichés (la frustration sexuelle comme moteur des dérives du héros) finissent par entamer les ambitions de la cinéaste, qui, pour traiter conjointement ces deux thèmes délicats, manque encore de distance et de rigueur.
Télérama
Tourner en DV est peut-être une nécessité financière pour un jeune cinéaste, mais artistiquement, c'est parfois une catastrophe. (...) on est (vaguement) intéressé par la façon, à la fois imprévue et fatale, dont il tombe sous l'emprise d'un nazillon. D'autant qu'il est interprété par un Jocelyn Quivrin humain et inquiétant. Sans doute sincère, le film, mal écrit, est totalement inabouti.