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Tous les personnages de l'histoire sont bien dessinés et bien campés, du cruel Feofar Khan au traître Ivan Ogareff. Ce dessin animé a également le mérite de donner aux enfants l'envie de se plonger dans l'oeuvre du grand écrivain.
L'adaptation du roman éponyme de Jules Verne de Bruno-René Huchez est le descendant direct de ces tubes télé à l'ambiance et au graphisme si particulier (Goldorak, Albator...), comme si ces bobines avient été découvertes sous une couverture poussiéreuse après un sommeil de vingt ans. Attendez-vous donc à humer un doux parfum familier, celui des P'tit Lu que vous dévoriez devant votre télé après l'école.
Du déjà vu et revu. Avec ces aventures pas si extraordinaires que cela, nous voici donc revenus au temps de CANDY, PRINCESSE SARAH et autres séries nippones bas de gamme des années 70 et 80, celles qui firent les belles heures de la télé française. Seuls les nostalgiques de ces souvenirs cathodiques apprécieront... ainsi que les tout-petits auxquels ce film est avant tout destiné. Puissent-ils un jour imiter le rat prof du film et lire le roman de Jules Verne...
Le souffle romanesque semble se perdre dans la transposition. On ne voit plus, dans cette mise en images, que les faiblesses de l'oeuvre initiale : un ennemi d'une méchanceté monolithique (Ivan Ogareff) et des Tartares fantasmés.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'animation est sans âme, la morale lénifiante, la vérité historique approximative, et il est peu probable que cette production à but lucratif résiste à la tornade "Shrek 2". Ce n'est pas parce que les enfants sont supposés innocents qu'il faut les prendre pour des imbéciles.
" Aventures " veut dire ici : alternance de frayeurs et de nunucherie. L'animation manque de fluidité. Musique de Jean-Jacques Debout. Réservé aux préados pas trop regardants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
Tous les personnages de l'histoire sont bien dessinés et bien campés, du cruel Feofar Khan au traître Ivan Ogareff. Ce dessin animé a également le mérite de donner aux enfants l'envie de se plonger dans l'oeuvre du grand écrivain.
Première
L'adaptation du roman éponyme de Jules Verne de Bruno-René Huchez est le descendant direct de ces tubes télé à l'ambiance et au graphisme si particulier (Goldorak, Albator...), comme si ces bobines avient été découvertes sous une couverture poussiéreuse après un sommeil de vingt ans. Attendez-vous donc à humer un doux parfum familier, celui des P'tit Lu que vous dévoriez devant votre télé après l'école.
MCinéma.com
Du déjà vu et revu. Avec ces aventures pas si extraordinaires que cela, nous voici donc revenus au temps de CANDY, PRINCESSE SARAH et autres séries nippones bas de gamme des années 70 et 80, celles qui firent les belles heures de la télé française. Seuls les nostalgiques de ces souvenirs cathodiques apprécieront... ainsi que les tout-petits auxquels ce film est avant tout destiné. Puissent-ils un jour imiter le rat prof du film et lire le roman de Jules Verne...
Aden
Le souffle romanesque semble se perdre dans la transposition. On ne voit plus, dans cette mise en images, que les faiblesses de l'oeuvre initiale : un ennemi d'une méchanceté monolithique (Ivan Ogareff) et des Tartares fantasmés.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
La ressemblance avec les pires productions japonaises des années 1970 est frappante.
TéléCinéObs
L'animation est sans âme, la morale lénifiante, la vérité historique approximative, et il est peu probable que cette production à but lucratif résiste à la tornade "Shrek 2". Ce n'est pas parce que les enfants sont supposés innocents qu'il faut les prendre pour des imbéciles.
Télérama
" Aventures " veut dire ici : alternance de frayeurs et de nunucherie. L'animation manque de fluidité. Musique de Jean-Jacques Debout. Réservé aux préados pas trop regardants.