Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Toutes proportions gardées, il faut remonter aux 400 Coups, voire à Zéro de Conduite pour trouver une peinture de l'adolescence lycéenne, aussi riche, aussi respectueuse de la réalité enfantine. Antihéros condamné à devenir adulte malgré lui, Damien Jouillerot est stupéfiant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Jean-Jacques Zilbermann a su restituer l'atmosphère d'un pensionnat des années 60. (...) Début de la mixité, discipline, dortoirs sinistres, création d'une coopérative entre élèves, passage brutal de l'enfance à l'âge adulte. On donne 10/10 à Damien Jouillerot, gamin bizuté qui saura redresser la tête.
Libération
par Antoine de Baecque
Les Fautes d'orthographe, c'est l'anti-Choristes. Ce qui habite l'enfant du film (...), 15 ans qui en paraît 13, gros lard binoclard à la puberté ingrate, (...) c'est la honte, la frustration, la souffrance, la violence ou l'hystérie, c'est-à-dire le malaise de la vie sans intimité dans un pensionnat de garçons de la fin des années 60. (...) De quoi remettre les pendules adultes à l'heure d'une autre enfance, irréconciliable.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Bien sûr, la cour d'école est devenue un univers ultra-balisé au cinéma, avec ses références incontournables, de La Guerre des Boutons aux Choristes. Et Les Fautes d'orthographe n'arrive pas toujours à s'en démarquer. Pourtant, on suit avec plaisir les petits tracas du héros et son chemin vers l'affirmation de soi.
Studio Magazine
par Jean Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Avec un titre et un casting pareils, Les Fautes d'orthographes est condamné à se complaire dans le genre comédie familiale, avec une gentillesse de futur prime-time en ligne de mire. (...) Pour la finesse, on repassera. Dommage : à force de rester incognito dans le système pour l'exploser de l'intérieur, le micro-anarchiste Zilbermann s'est fait à moitié digérer.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Stéphanie Lamôme
Une sorte de version politique des Choristes où l'on regrette que la partie initiation s'estompe progressivement devant Mai-68.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Dans une ambiance de déjà-vu, Jean-Jacques Zilbermann (L'homme est une femme comme les autres) parvient à glisser quelques notes personnelles avec une vraie finesse de touche (...). Mais sans doute aurait-il fallu faire de cette passion le fil directeur du film, plutôt qu'un épisode ponctuel, pour sortir du lot.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Avec ses personnages convenus, ses répliques ou plaisanteries potaches et ses refrains nunuches, cette reconstitution plan-plan de la vie en pensionnat dans les années 1960 est loin de Jean Vigo.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
Reconstitution académico-anecdotique de la vie d'un pensionnat des années 60 (on n'en sort pas !), le film ne tient pas les promesses de ses premiers plans et préfère retomber dans l'ornière nauséeuse et anecdotique où les Choristes, Saint Ange, Le Pensionnat de Chavagnes à la télé, se sont déjà vautrés avec complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
Toutes proportions gardées, il faut remonter aux 400 Coups, voire à Zéro de Conduite pour trouver une peinture de l'adolescence lycéenne, aussi riche, aussi respectueuse de la réalité enfantine. Antihéros condamné à devenir adulte malgré lui, Damien Jouillerot est stupéfiant.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Jean-Jacques Zilbermann a su restituer l'atmosphère d'un pensionnat des années 60. (...) Début de la mixité, discipline, dortoirs sinistres, création d'une coopérative entre élèves, passage brutal de l'enfance à l'âge adulte. On donne 10/10 à Damien Jouillerot, gamin bizuté qui saura redresser la tête.
Libération
Les Fautes d'orthographe, c'est l'anti-Choristes. Ce qui habite l'enfant du film (...), 15 ans qui en paraît 13, gros lard binoclard à la puberté ingrate, (...) c'est la honte, la frustration, la souffrance, la violence ou l'hystérie, c'est-à-dire le malaise de la vie sans intimité dans un pensionnat de garçons de la fin des années 60. (...) De quoi remettre les pendules adultes à l'heure d'une autre enfance, irréconciliable.
MCinéma.com
Bien sûr, la cour d'école est devenue un univers ultra-balisé au cinéma, avec ses références incontournables, de La Guerre des Boutons aux Choristes. Et Les Fautes d'orthographe n'arrive pas toujours à s'en démarquer. Pourtant, on suit avec plaisir les petits tracas du héros et son chemin vers l'affirmation de soi.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Avec un titre et un casting pareils, Les Fautes d'orthographes est condamné à se complaire dans le genre comédie familiale, avec une gentillesse de futur prime-time en ligne de mire. (...) Pour la finesse, on repassera. Dommage : à force de rester incognito dans le système pour l'exploser de l'intérieur, le micro-anarchiste Zilbermann s'est fait à moitié digérer.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Une sorte de version politique des Choristes où l'on regrette que la partie initiation s'estompe progressivement devant Mai-68.
Télérama
Dans une ambiance de déjà-vu, Jean-Jacques Zilbermann (L'homme est une femme comme les autres) parvient à glisser quelques notes personnelles avec une vraie finesse de touche (...). Mais sans doute aurait-il fallu faire de cette passion le fil directeur du film, plutôt qu'un épisode ponctuel, pour sortir du lot.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Avec ses personnages convenus, ses répliques ou plaisanteries potaches et ses refrains nunuches, cette reconstitution plan-plan de la vie en pensionnat dans les années 1960 est loin de Jean Vigo.
Les Inrockuptibles
Reconstitution académico-anecdotique de la vie d'un pensionnat des années 60 (on n'en sort pas !), le film ne tient pas les promesses de ses premiers plans et préfère retomber dans l'ornière nauséeuse et anecdotique où les Choristes, Saint Ange, Le Pensionnat de Chavagnes à la télé, se sont déjà vautrés avec complaisance.