Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
(critique cannoise) (...) une oeuvre profondément émouvante, qui vous transporte (...) Cet épisode avait été brièvement mais brillamment relaté dans Ah Dieu que la guerre est jolie de Richard Attenborough (1969). Le film de Carion, joliment réalisé et interprété, étoffe cette histoire et la rend ainsi encore plus mémorable.
(critique cannoise) Même les plus cyniques, qui trouveront le sujet un peu trop consensuel ne pourront qu'être impressionnés par ce film qui se situe fièrement hors des modes et trouve une forte resonance dans le monde contemporain. Un exemple salutaire de co-production européenne trilingue (...)
La critique complète est disponible sur le site Variety
Inspiré d'évènements réels survenus, ce film dégage sans forcer une vraie puissance : par son propos évidemment mais aussi par sa forme propre aux grandes oeuvres classiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Emouvant jusqu'aux larmes, ce film intense méritait un début plus brutal, moins théâtral, afin que l'horreur contraste davantage avec le silence des armes. Guillaume Canet, Gary Lewis et Daniel Brühl font honneur à cette histoire exemplaire, tandis que Dany Boon, excellent, hisse son second rôle en première ligne.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
C'est ce qu'on pourrait reprocher à ce Joyeux Noël : le film qui va représenter la France aux oscars ne quitte jamais le terrain de l'anecdote et des bons sentiments. Et le jeu des acteurs, Guillaume Canet, Diane Krüger, Daniel Brühl, Benno Furmann, s'en ressent. Et pourtant quel sujet !
Et ce qui fait la grandeur (sur un sujet analogue) de ce chef-d'oeuvre qu'est La Grande Illusion de Jean Renoir, c'est son refus du schématisme, son pessimisme, sa vigilance à ne pas nier les rapports de classe, le racisme, la règle du jeu social. Carion traite au premier degré ce que Renoir teintait d'ironie amère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) l'international casting (...) transmet l'émotion avec la plus grande des sobriétés. On regrette simplement que Christian Carion ne se signale pas plus souvent. Il fait un beau travail de direction d'acteurs mais reste beaucoup trop sage dans la pure mise en scène.
Christian Carion s'attache dans une démarche très plan-plan à simplement emboîter le pas de quelques figures contrastées, que campent avec application Guillaume Canet, Dany Boon (...) Un peu à la manière des Choristes, on y verra un drame capable de toucher le plus grand nombre. S'il ne bouleverse pas le cinéma, il touche le coeur.
Christian Carion s'est longtemps battu pour mettre en scène cet épisode historique méconnu (...) Dommage qu'il n'en tire qu'une oeuvre qualité France trop académique, illuminé par quelques beaux moments (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Faute de souffle, la mise en scène et l'interprétation ne débordent guère le cadre de l'image d'Epinal. C'est un peu court pour être submergé par l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Musique emphatique, grands sentiments, excellents comédiens, love-story ... Christian Carion donne plus dans le bon téléfilm que dans l'oeuvre cinématographique.
Rien de neuf dans la tranchée de l'imaginaire poilu de la Grande Guerre (...) Le vrai sommet international de cette Grosse Illusion ne se passe toutefois pas dans les tranchées, mais dans son plan de financement (...) que le film s'occupe de raconter, faute de mieux.
(...) le film n'a rien à raconter. Absolument cohérent en cela, sans problème aucun, il n'est qu'un concentré d'émotion vraie, destiné qu'il est à faire pleurer les mémés.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Tellement irréel, non maîtrisé, de mauvais goût, stupide, que ça en atteint parfois des sommets poétiques (...) c'est tellement abject qu'on soupçonne Carion d'être un provocateur surréaliste.
"Joyeux Noël" devrait logiquement faire pleurer dans les chaumières sur fond de cornemuses, mais tout autant faire grincer des dents ceux qui ne supportent pas les images d'Epinal ou qu'on enfonce des portes ouvertes à coup de Grosse Bertha.
La critique complète est disponible sur le site Score
C'est assurément une chose saisissante que des ennemis improvisent une paix éphémère et clandestine, renvoyant le conflit à son absurdité. Mais le film n'a rien à ajouter à cette évidence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) film à formules où humanisme rime avec opportunisme ! (...) Au final, tous ces procédés servent une production écoeurante de bons sentiments à la sauce américaine avec son lot de sacrifices, sa quête naïve pour la paix et sa générosité chrétienne.
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) (...) une oeuvre profondément émouvante, qui vous transporte (...) Cet épisode avait été brièvement mais brillamment relaté dans Ah Dieu que la guerre est jolie de Richard Attenborough (1969). Le film de Carion, joliment réalisé et interprété, étoffe cette histoire et la rend ainsi encore plus mémorable.
Variety
(critique cannoise) Même les plus cyniques, qui trouveront le sujet un peu trop consensuel ne pourront qu'être impressionnés par ce film qui se situe fièrement hors des modes et trouve une forte resonance dans le monde contemporain. Un exemple salutaire de co-production européenne trilingue (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Inspiré d'évènements réels survenus, ce film dégage sans forcer une vraie puissance : par son propos évidemment mais aussi par sa forme propre aux grandes oeuvres classiques.
Paris Match
Emouvant jusqu'aux larmes, ce film intense méritait un début plus brutal, moins théâtral, afin que l'horreur contraste davantage avec le silence des armes. Guillaume Canet, Gary Lewis et Daniel Brühl font honneur à cette histoire exemplaire, tandis que Dany Boon, excellent, hisse son second rôle en première ligne.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Si le film demeure très classique, il apporte des pièces captivantes à un dossier qui fascine de plus en plus.
Elle
"Joyeux Noël", c'est "Les Choristes", mais en mieux. Ou en pire, c'est vous qui voyez.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
C'est ce qu'on pourrait reprocher à ce Joyeux Noël : le film qui va représenter la France aux oscars ne quitte jamais le terrain de l'anecdote et des bons sentiments. Et le jeu des acteurs, Guillaume Canet, Diane Krüger, Daniel Brühl, Benno Furmann, s'en ressent. Et pourtant quel sujet !
Le Monde
Et ce qui fait la grandeur (sur un sujet analogue) de ce chef-d'oeuvre qu'est La Grande Illusion de Jean Renoir, c'est son refus du schématisme, son pessimisme, sa vigilance à ne pas nier les rapports de classe, le racisme, la règle du jeu social. Carion traite au premier degré ce que Renoir teintait d'ironie amère.
MCinéma.com
(...) l'international casting (...) transmet l'émotion avec la plus grande des sobriétés. On regrette simplement que Christian Carion ne se signale pas plus souvent. Il fait un beau travail de direction d'acteurs mais reste beaucoup trop sage dans la pure mise en scène.
Ouest France
Christian Carion s'attache dans une démarche très plan-plan à simplement emboîter le pas de quelques figures contrastées, que campent avec application Guillaume Canet, Dany Boon (...) Un peu à la manière des Choristes, on y verra un drame capable de toucher le plus grand nombre. S'il ne bouleverse pas le cinéma, il touche le coeur.
Première
Christian Carion s'est longtemps battu pour mettre en scène cet épisode historique méconnu (...) Dommage qu'il n'en tire qu'une oeuvre qualité France trop académique, illuminé par quelques beaux moments (...)
Télé 7 Jours
Faute de souffle, la mise en scène et l'interprétation ne débordent guère le cadre de l'image d'Epinal. C'est un peu court pour être submergé par l'émotion.
Zurban
Musique emphatique, grands sentiments, excellents comédiens, love-story ... Christian Carion donne plus dans le bon téléfilm que dans l'oeuvre cinématographique.
Cahiers du Cinéma
Rien de neuf dans la tranchée de l'imaginaire poilu de la Grande Guerre (...) Le vrai sommet international de cette Grosse Illusion ne se passe toutefois pas dans les tranchées, mais dans son plan de financement (...) que le film s'occupe de raconter, faute de mieux.
Chronic'art.com
(...) le film n'a rien à raconter. Absolument cohérent en cela, sans problème aucun, il n'est qu'un concentré d'émotion vraie, destiné qu'il est à faire pleurer les mémés.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Tellement irréel, non maîtrisé, de mauvais goût, stupide, que ça en atteint parfois des sommets poétiques (...) c'est tellement abject qu'on soupçonne Carion d'être un provocateur surréaliste.
Positif
C'est beau comme un traité constitutionnel, émouvant comme une première communion. Joyeux Noël quand même !
Score
"Joyeux Noël" devrait logiquement faire pleurer dans les chaumières sur fond de cornemuses, mais tout autant faire grincer des dents ceux qui ne supportent pas les images d'Epinal ou qu'on enfonce des portes ouvertes à coup de Grosse Bertha.
Télérama
C'est assurément une chose saisissante que des ennemis improvisent une paix éphémère et clandestine, renvoyant le conflit à son absurdité. Mais le film n'a rien à ajouter à cette évidence.
aVoir-aLire.com
(...) film à formules où humanisme rime avec opportunisme ! (...) Au final, tous ces procédés servent une production écoeurante de bons sentiments à la sauce américaine avec son lot de sacrifices, sa quête naïve pour la paix et sa générosité chrétienne.