AlloCiné
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Fraichement accueilli au Festival de Cannes, ce thriller déjanté est captivant de bout en bout, les inconditionnels d'émotions fortes ne devant pas être déçus. Scénario habile et montage hallucinant, pour un récit qui distille une véritable frayeur, sans effets racoleurs. Jennifer Chambers n'est donc pas uniquement "la fille de" : elle signe une série B efficace et originale qui est peut-être le polar de l'été.
Voilà un film peu connu mais qui gagne à l'être!!
Pour une première réalisation la fifille à son papa s'en sort bien même très bien. En effet surveillance est vraiment un excellent thriller comme on en voit rarement. Durant tout le film, la tension et le suspens sont omniprésents dans ce quasi-huit-clos au fin fond de l'Amérique. On embarque très vite dans cette histoire où tout a quelque chose à cacher et où personne n'est à l'abri de la folie meurtrière qui sévit dans la ville. Tout cela joué par d'excellents acteurs, avec à leur tête le grand Bill Pullman.
Bref un excellent thriller qui vous prend en otage jusqu'au bout et épate par sa mise en scéne impeccable. Si jamais il sort dans votre ville n'hésitez pas courez le voir!
Pour un coup d'essai c'est un coup de maître!
Pour une première réalisation la fifille à son papa s'en sort bien même très bien. En effet surveillance est vraiment un excellent thriller comme on en voit rarement. Durant tout le film, la tension et le suspens sont omniprésents dans ce quasi-huit-clos au fin fond de l'Amérique. On embarque très vite dans cette histoire où tout a quelque chose à cacher et où personne n'est à l'abri de la folie meurtrière qui sévit dans la ville. Tout cela joué par d'excellents acteurs, avec à leur tête le grand Bill Pullman.
Bref un excellent thriller qui vous prend en otage jusqu'au bout et épate par sa mise en scéne impeccable. Si jamais il sort dans votre ville n'hésitez pas courez le voir!
Pour un coup d'essai c'est un coup de maître!
Comment peut-on produire des fmls comme celui ci, si peu abouti, si puéril, si gamin? Tout est premier degré, il n'y a aucune recherche, il y a la volonté de choquer mais rien n'est bien fait. Et l'on est pas choqué mais on a juste envie de détruire toutes les bobines de ce film pour qu'il n'existe plus. n gros navet de complaisance, qui ne va pas loin.
Le film et la narration sont plutôt efficaces cependant le dénouement final est trop prévisible. Il reste un bon premier film de Jennifer Lynch. A confirmer.
Surveillance, c'est du cinéma qui veut donner du plaisir aux spectateurs. Du plaisir un peu malsain il faut bien le reconnaître car il n'y a pas plus glauque que cette histoire de serial killer mais on est au cinéma et l'humour qui règne durant tout le film nous permet de garder nos distances avec les protagonistes.
Du gore, de l'humour, quelques petites touches de bizarre qui rappellent la fibre parentale, Jennifer Lynch réussit un thriller avec des comédiens qui semblent prendre encore plus de plaisir que les spectateurs à jouer les pervers.
A déconseiller aux âmes sensible et bien pensantes, à conseiller à tous les autres !
Du gore, de l'humour, quelques petites touches de bizarre qui rappellent la fibre parentale, Jennifer Lynch réussit un thriller avec des comédiens qui semblent prendre encore plus de plaisir que les spectateurs à jouer les pervers.
A déconseiller aux âmes sensible et bien pensantes, à conseiller à tous les autres !
J'y suis allé sans a priori ( ce qui est chose rare pour moi )... Si le film commence comme une série B quelconque, la deuxième partie est diablement efficace. Jennifer Lynch réussit à se démarquer du style de son père ( le grand David Lynch ) et nous cueille en beauté avec ce deuxième long métrage. Même si Surveillance est imparfait, il a les qualités de ses défauts : à commencer par le personnage de Bill Pullman, agent du FBI raide comme un piquet d'un bout à l'autre du film ( ce choix de mise en scène n'est pas si anodin qu'il n'y paraît car s'il déroute au départ, il se révèle pertinent par la suite ). Julia Ormond a du talent, son charisme et sa beauté physique ajoute du piment à l'ensemble, pourtant déjà savoureux. Là où David Lynch privilégie l'atmosphère d'un film, sa fille tire profit d'un cinéma plus traditionnel et plus écrit. Le résultat n'est donc pas révolutionnaire ( ni même exceptionnel ) mais l'on se dit qu'il y a du style et de l'esprit. Un bon scénario ( le twist final est bluffant ), de bons acteurs ( décevants au départ, surprenants par la suite ), bref : un très bon moment en perspective, doublé d'une BO explosive ( seul point réellement négatif : l'esthétique est un peu criarde ). A voir...
j'ai aimé ce film car il déroute et il surprend. Il est préférable de ne pas trop en dire afin de ménager le suspense, mais je le recommande très vivement à tous ceux qui souhaitent voir enfin un film dont le scénario est vraiment original.
Le renversement de situation peu convaincant(même s'il est ainsi pour permettre l'expression des différents points de vue des protagonistes) gâte ce thriller notamment par sa violence et son cynisme en dépit de l'épisode sur l'autoroute qui est un bon passage.
Très classes avec leurs costumes noirs et leurs lunettes de la même couleur, deux agents du FBI débarquent dans une petite ville perdue au beau milieu de la campagne américaine, pour enquêter sur un quadruple meurtre. Face à eux, trois témoins (les seuls rescapés du drame en fait). Aucun d’eux n’a tout vu, et chacun ment un peu, beaucoup ou pas tellement, en proposant à leurs interlocuteurs une version différente de l’histoire que leur fait vivre Jennifer Lynch. De retour derrière la caméra, quinze ans après “Boxing Helena”, la réalisatrice n’oublie d’abord pas de rappeler qu’elle est bien la fille de David, en prenant deux acteurs vus chez son père (Julia Ormond et Bill Pullman, respectivement à l’affiche de “Inland Empire” et “Lost Highway”), un point de départ semblable à celui de “Twin Peaks”, et une scène d’ouverture qui rappelle certaines de ses fulgurances esthétiques. Mais passé ce clin-d’œil familial, elle lorgne nettement moins vers le cinéma de papa que vers “Rashomon” de Kurosawa, au cours d’une première partie ennuyeuse, et où l’accolage des récits n’a finalement qu’une fonction décorative, ce que ne contredit pas le recours à trois types de photos, selon le point de vue que l’on suit. Cependant, un doute finit par s’installer, quant à la part de vérité que chacun détient, tant les personnages (enquêteurs comme témoins) semblent bizarres. Un sentiment que vient confirmer la seconde moitié de “Surveillance”, quand le film s’extirpe de sa mollesse pour glisser vers la violence et l’amoralité, suite à un coup de théâtre malin qui nous emmène tout droit vers un dénouement jubilatoire, malgré une forte proximité avec le grand-guignolesque. Certes, le long métrage n’atteint pas pour autant les sommets qu’a souvent côtoyés son père, mais il contient finalement assez pour faire de Jennifer Lynch une artiste à… surveiller.
lhomme-grenouille
C'est bien simple, dès les premières images, on a peur, soit parce qu'on est fan de "Saw" et qu'on aime se faire peur avec des scènes de bains de sang filmées à la crade, soit justement parce qu'on déteste "Saw" et qu'on craint un banal film visqueux sans véritable intérêt ni originalité. Quoiqu'il en soit, la suite nous prendra tous à contre pied car le film se fait plus posé, même s'il manque cruellement de subtilité et de profondeur. On met du temps à s'accrocher à cette banale intrigue de meurtre-carnage qu'on dissèque a posteriori, jusqu'à ce que le film parvienne à nous pondre une scène forte, qui captive d'autant plus notre attention qu'elle est longue et qu'elle est de bonne augure pour le reste. Malheureusement, patatra !, en un carambolage ce "Surveillance" sombre très vite dans un déluge de n'importe quoi où toutes les folies sont permises. Et voilà que les twists et les tueries s'enchaînent dans une sorte d'orgie peu contrôlée, ce qui replonge soudainement le film dans une fade banalité. Au final, on serait presque tenté de dire que ce "Surveillance" n'est un film a réserver qu'aux ados car seuls eux pourront vraiment y prendre du « plaisir ».
Le talent serait-il héréditaire ? Apparemment oui, Mlle Lynch nous le prouve ici - même si David "papa" Lynch n’est pas bien loin (puisqu’il est le producteur exécutif). SURVEILLANCE est un régal pour les yeux - de l’efficace mise en scène aux mouvements de caméra aériens, en passant par la superbe photographie etc etc etc. De plus, le film est construit autour d’un vrai scénario et avec de (très) bons acteurs, c’est pas rien (de nos jours). Surveillance est donc un thriller, ou disons plutôt un super divertissement durant lequel (qu’on aime ou pas) il est impossible de s’ennuyer : entre les scènes d’action, de meurtres, d’interrogatoire - et ce de plusieurs points de vue : l’histoire change à chaque fois qu’un personnage raconte 'sa' version des faits - ça n’arrête jamais ! En Bref : cette jolie p’tite surprise, joliment emballée qui plus est, est un vrai délice. [NOTE = 7/10]
J'étais impatient d'aller voir ce film. En tant que fan de David Lynch, je ne pouvais pas passer à côté de ce film. Et je dois bien avouer que j'ai vraiment aimé. Un thriller malsain, jouissif et drôle. Un bon thriller même s'il aurait pu être meilleur. Bref, je suis sorti ravi du cinéma et c'est bien là l'essentiel. Un petit mot sur les acteurs : tous excellent ! Et contrairement aux films de David Lynch, j'ai tout compris du premier coup ;). Si je devais revoir un film parmi ceux sorti en Juillet, se serait celui là.
Excellent film, on ne s'attend pas du tout à la fin qui est absolument géniale.
Un très bon thriller ; les acteurs jouent très bien (mention spéciale pour bill pullman ) et le suspence va crescendo .
Seul bémole , on comprend très vite ce qui c'est passé et on arrive à deviner facilement qui sont les commenditaires de ces meutres .
Vivement le prochain de jennifer lynch .
Seul bémole , on comprend très vite ce qui c'est passé et on arrive à deviner facilement qui sont les commenditaires de ces meutres .
Vivement le prochain de jennifer lynch .
Une réalisation soignée et maîtrisée, le récit est raconté à la manière de « Rashomon » on suit différents points de vue avant de se rendre compte que la vérité est tout autres. Pour le reste on pourra juger ce catalogue de perversions un peu gratuit et un peu vain, à l’instar du cinéma branchouille et faussement provocateur de Gaspar Noé. Une cinéaste à suivre en tout cas.
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